Les sièges avant sont extrêmement enveloppants et accommodants. Leurs multiples ajustements combinés à la colonne de direction inclinable et télescopique favorisent une position de conduite optimale. En fait, on se croirait presque assis dans un vrai cockpit. À l'arrière, le coffre est impressionnant de par sa finition et son volume; on peut y loger quatre sacs de golf.
Sportive sous le capot?
Le V6 de 3,0 litres est en partie dérivé de Ford. Sa puissance de 212 chevaux est ordinaire quand on la compare à celle des autres V6 similaires. Il travaille donc très fort pour faire accélérer la voiture. Ma version GT-V6 était également munie d'une transmission manuelle à cinq rapports pour acheminer la puissance aux roues avant. Encore une fois, j'ai trouvé la performance décevante: la précision et la sensibilité du levier ne sont pas à la hauteur. On n'a pas vraiment l'impression que ce dernier est connecté au moteur, encore moins à la route. Je souligne par ailleurs que ma consommation moyenne a été de 13,5 L/100 km, ce qui est peu reluisant compte tenu de la performance modeste.
Sportive sur la route
Outre le design intérieur et extérieur, la plus grande force de Mazda repose dans son châssis polyvalent très évolué. Je dis «polyvalent» parce qu'il sert de base à plusieurs modèles au sein du groupe Ford.
Cette plate-forme est à la fois accommodante et ultra rigide. Ce qui la désavantage, c'est le poids additionnel du V6 (176 lb) au-dessus de l'essieu avant. Dans les courbes, les transferts de poids sont bien contrôlés mais un peu lents. La Mazda6 Sport GT-V6 a tendance à sous-virer quand on la pousse à fond, tandis que la réponse de la direction est rapide mais étouffée. Je me rappelle que la Mazda6 au moteur à quatre cylindres de 2,3 litres a des réflexes plus vifs et un comportement plus alerte. Pour ce qui est de la suspension, je n'ai senti aucune différence entre les versions à quatre et à six cylindres.
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| Les performances du V6 de 3,0 litres sont modestes. |
Sportive sous le capot?
Le V6 de 3,0 litres est en partie dérivé de Ford. Sa puissance de 212 chevaux est ordinaire quand on la compare à celle des autres V6 similaires. Il travaille donc très fort pour faire accélérer la voiture. Ma version GT-V6 était également munie d'une transmission manuelle à cinq rapports pour acheminer la puissance aux roues avant. Encore une fois, j'ai trouvé la performance décevante: la précision et la sensibilité du levier ne sont pas à la hauteur. On n'a pas vraiment l'impression que ce dernier est connecté au moteur, encore moins à la route. Je souligne par ailleurs que ma consommation moyenne a été de 13,5 L/100 km, ce qui est peu reluisant compte tenu de la performance modeste.
Sportive sur la route
Outre le design intérieur et extérieur, la plus grande force de Mazda repose dans son châssis polyvalent très évolué. Je dis «polyvalent» parce qu'il sert de base à plusieurs modèles au sein du groupe Ford.
Cette plate-forme est à la fois accommodante et ultra rigide. Ce qui la désavantage, c'est le poids additionnel du V6 (176 lb) au-dessus de l'essieu avant. Dans les courbes, les transferts de poids sont bien contrôlés mais un peu lents. La Mazda6 Sport GT-V6 a tendance à sous-virer quand on la pousse à fond, tandis que la réponse de la direction est rapide mais étouffée. Je me rappelle que la Mazda6 au moteur à quatre cylindres de 2,3 litres a des réflexes plus vifs et un comportement plus alerte. Pour ce qui est de la suspension, je n'ai senti aucune différence entre les versions à quatre et à six cylindres.
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| La Mazda6 se comporte extrêmement bien sur la route, mais elle n'est pas aussi sportive qu'elle pourrait l'être. |