Mercedes-Benz CLK cabriolet 2004
Quasi sacré
Majorque, Espagne - Maintenant que le coupé CLK a connu son heure de gloire avec l'arrivée d'une nouvelle génération l'an dernier, voilà que cet automne, la version décapotable se met au goût du jour.
Pour ce faire, la voiture adopte les mêmes lignes extérieures racées et boude le pilier B, ce qui lui donne une indéniable gueule d'enfer. Même intérieur sophistiqué ainsi que des groupes propulseurs similaires : d'abord, un V6 de 3,2 litres qui développe 215 chevaux (CLK320), puis deux puissants V8, le premier de 5 litres (CLK500, 302 chevaux, 0 à 100 km/h en 6,2 secondes) et le second de 5,5 litres (CLK55 AMG, 362 chevaux, 0 à 100 km/h en 5,4 secondes).
Technique de pointe
Côté technologie, la nouvelle version cabriolet du coupé CLK se pointe avec son toit rétractable désormais entièrement automatique. Elle reprend également de son cousin les essuie-glaces qui détectent la pluie, les rétroviseurs qui s'obscurcissent d'eux-mêmes au besoin, le régulateur de vitesse intelligent (Distronic), le système de navigation, le Linguatronic, les commandes vocales, etc.
Le simple fait de monter à bord d'une CLK, que ce soit en version coupé ou cabriolet, est presque un acte sacré. La puissance se délivre en souplesse, domestiquée par une boîte de vitesses automatique à 5 rapports (avec Touchshift) qui se fait douce et discrète. La direction est précise, et la suspension tient du nuage.
À l'arrière, les passagers ne peuvent guère se plaindre. Le nouveau cabriolet CLK leur offre deux baquets individuels fort confortables, et leur appuie-tête se règle électriquement. Devant, pas question d'oublier sa ceinture de sécurité: au premier tour de clé, elle s'étire automatiquement en suivant un guide pour se mettre en place. Fini les torsions lombaires! D'autant plus que les baquets avant - chauffés et ventilés - bénéficient de réglages lombaires latéraux absolument fantastiques...
Quasi sacré
Majorque, Espagne - Maintenant que le coupé CLK a connu son heure de gloire avec l'arrivée d'une nouvelle génération l'an dernier, voilà que cet automne, la version décapotable se met au goût du jour.
Pour ce faire, la voiture adopte les mêmes lignes extérieures racées et boude le pilier B, ce qui lui donne une indéniable gueule d'enfer. Même intérieur sophistiqué ainsi que des groupes propulseurs similaires : d'abord, un V6 de 3,2 litres qui développe 215 chevaux (CLK320), puis deux puissants V8, le premier de 5 litres (CLK500, 302 chevaux, 0 à 100 km/h en 6,2 secondes) et le second de 5,5 litres (CLK55 AMG, 362 chevaux, 0 à 100 km/h en 5,4 secondes).
Technique de pointe
Côté technologie, la nouvelle version cabriolet du coupé CLK se pointe avec son toit rétractable désormais entièrement automatique. Elle reprend également de son cousin les essuie-glaces qui détectent la pluie, les rétroviseurs qui s'obscurcissent d'eux-mêmes au besoin, le régulateur de vitesse intelligent (Distronic), le système de navigation, le Linguatronic, les commandes vocales, etc.
Le simple fait de monter à bord d'une CLK, que ce soit en version coupé ou cabriolet, est presque un acte sacré. La puissance se délivre en souplesse, domestiquée par une boîte de vitesses automatique à 5 rapports (avec Touchshift) qui se fait douce et discrète. La direction est précise, et la suspension tient du nuage.
À l'arrière, les passagers ne peuvent guère se plaindre. Le nouveau cabriolet CLK leur offre deux baquets individuels fort confortables, et leur appuie-tête se règle électriquement. Devant, pas question d'oublier sa ceinture de sécurité: au premier tour de clé, elle s'étire automatiquement en suivant un guide pour se mettre en place. Fini les torsions lombaires! D'autant plus que les baquets avant - chauffés et ventilés - bénéficient de réglages lombaires latéraux absolument fantastiques...