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Mercedes SLK 1998-2004 : occasion

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Justin Pritchard
La SLK était adorée pour son raffinement et son style, mais les vérifications particulières aux décapotables et aux voitures allemandes s'appliquent
Du plaisir décapotable, sexy et relativement abordable à la sauce allemande, ça vous dit? Vous pourriez bien passer une soirée ou deux à sillonner la Reeperbahn, le quartier chaud de Hambourg, mais il existe une alternative plus simple et éthique : la dernière génération de la Mercedes SLK. Débarquée au Canada en 1997, cette décapotable allemande à deux places s’en est prise aux BMW Z4, Audi TT, Nissan 350Z et, dans une certaine mesure, aux Mazda MX-5/Miata de ce monde.

Mercedes-Benz Classe SLK 2000 (Photo: Mercedes-Benz)

Destinée à infuser le marché du roadster du raffinement, du luxe et des performances propres à la marque, la SLK est entrée en scène équipée d’un quatre-cylindres suralimenté de 2,3 litres développant 185 ou 190 ch. À l’origine, seule une boîte automatique à cinq rapports l’accompagnait : les premières SLK étaient surtout axées sur la détente un brin sportive que sur les performances enivrantes.

Une boîte manuelle à cinq rapports est apparue en 1999, rapidement suivie par le V6 de 3,2 litres et 215 ch de la marque. Dans la SLK, ce moteur éprouvé pouvait être jumelé à une boîte manuelle ou automatique.

Vous y trouverez entre autres un climatiseur automatique, des accessoires électriques, un volant inclinable et télescopique, des sièges en cuir chauffants et électriques, un rétroviseur à atténuation automatique, le contrôle de la stabilité et une chaîne Bose à six haut-parleurs.

Peut-être plus important encore, la SLK disposait d’un toit rigide motorisé et bien isolé muni d’une lunette vitrée : par mauvais temps, on pouvait se balader allègrement à la manière d’un coupé. Encore mieux, contrairement à beaucoup de modèles à toit souple, sous la pluie l’habitacle de la SLK ne rappelait pas l’intérieur d’une tente.

Les propriétaires de SLK en appréciaient typiquement la tenue de route « solide », la conduite raffinée assurée par le rapide toit ouvrant électrique et l’impression générale de sang-froid. Évidemment, le style, la réputation de la marque et le luxe attiraient également les acheteurs! Enfin, la plupart des conducteurs font état d’une bonne consommation ainsi que de manœuvres et de stationnements aisés.

Mercedes-Benz Classe SLK 2004 (Photo: Mercedes-Benz)
Justin Pritchard
Justin Pritchard
Expert automobile
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