En effet, avec 398 livres-pied, le ML320 CDI produit plus de couple que la version ML550 au V8 de 5,5 litres à essence (391 livres-pied). Par surcroît, le couple maximal du premier est disponible à seulement 1600 tours/minute, comparativement à 2800 tours/minute pour le second. En revanche, le turbodiesel ne développe que 215 chevaux contre 382 pour le gros V8.
Mais si l'on veut vraiment comparer le rendement de ces deux machines, il faut aussi tenir compte de la consommation. Le ML320 CDI 2008 affiche une cote de 11,3 L/100 km en ville et de 8,3 L/100 km sur l'autoroute, alors que le ML550 ne peut faire mieux que 16,0 et 11,2 L/100 km, respectivement. Impressionnant!
Le dernier clou dans le cercueil du V8 est son incapacité à remorquer de plus lourdes charges que le V6 turbodiesel. En effet, les deux peuvent tirer jusqu'à 3265 kilos (7200 livres). Et si vous croyez que le diesel livre des accélérations décevantes, détrompez-vous. Mercedes-Benz soutient qu'il permet de franchir les 100 km/h en seulement 8,6 secondes. Pas mal pour un VUS relativement costaud.
Sur la route avec le ML320 CDI
En enfonçant l'accélérateur, quelle que soit la vitesse du véhicule, la poussée qui s'ensuit est très solide. En fait, mes attentes ont été surpassées, surtout au décollage. Le ML exploite une boîte automatique sophistiquée à sept rapports bien étagés, ce qui assure un bon dynamisme à toutes les plages de régime -- que l'on recherche un rendement économique ou des accélérations explosives.
De petites palettes derrière le volant permettent au conducteur de contrôler manuellement la boîte de vitesses, et ce, du bout des doigts. Cette fonction est remarquablement pratique et encourage l'utilisation du frein moteur pour ralentir ou immobiliser complètement le véhicule.
Le Mercedes-Benz ML320 CDI 2008 livre une performance des plus raffinée. Le turbodiesel fonctionne hyper discrètement, ne faisant sentir sa présence que lorsque fortement sollicité. Autrement, les occupants bénéficient d'un habitacle serein et silencieux, agrémenté par un roulement doux et bien équilibré.
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| Le turbodiesel fonctionne hyper discrètement. |
Mais si l'on veut vraiment comparer le rendement de ces deux machines, il faut aussi tenir compte de la consommation. Le ML320 CDI 2008 affiche une cote de 11,3 L/100 km en ville et de 8,3 L/100 km sur l'autoroute, alors que le ML550 ne peut faire mieux que 16,0 et 11,2 L/100 km, respectivement. Impressionnant!
Le dernier clou dans le cercueil du V8 est son incapacité à remorquer de plus lourdes charges que le V6 turbodiesel. En effet, les deux peuvent tirer jusqu'à 3265 kilos (7200 livres). Et si vous croyez que le diesel livre des accélérations décevantes, détrompez-vous. Mercedes-Benz soutient qu'il permet de franchir les 100 km/h en seulement 8,6 secondes. Pas mal pour un VUS relativement costaud.
Sur la route avec le ML320 CDI
En enfonçant l'accélérateur, quelle que soit la vitesse du véhicule, la poussée qui s'ensuit est très solide. En fait, mes attentes ont été surpassées, surtout au décollage. Le ML exploite une boîte automatique sophistiquée à sept rapports bien étagés, ce qui assure un bon dynamisme à toutes les plages de régime -- que l'on recherche un rendement économique ou des accélérations explosives.
De petites palettes derrière le volant permettent au conducteur de contrôler manuellement la boîte de vitesses, et ce, du bout des doigts. Cette fonction est remarquablement pratique et encourage l'utilisation du frein moteur pour ralentir ou immobiliser complètement le véhicule.
Le Mercedes-Benz ML320 CDI 2008 livre une performance des plus raffinée. Le turbodiesel fonctionne hyper discrètement, ne faisant sentir sa présence que lorsque fortement sollicité. Autrement, les occupants bénéficient d'un habitacle serein et silencieux, agrémenté par un roulement doux et bien équilibré.
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| Les occupants bénéficient d'un habitacle serein et silencieux. |