L'habitacle est couvert de plastiques qui sont convaincants, agréables au toucher et qui offrent une belle qualité de finition. La console centrale entre les sièges avant est très pratique et profonde, des plateaux amovibles y sont intégrés de même qu'une prise à 12 volts.
Les passagers arrière sont également gâtés en matière d'espace, du moins, puisque en termes de divertissement, on a abandonné le lecteur multimédia. Les sièges sont rabattables 60/40 et offrent une aire de chargement acceptant les classiques panneaux de 4 sur 8. Le conducteur, lui, aura le privilège de pouvoir régler son soutien lombaire tout en bénéficiant d'un siège enveloppant et confortable à l'avant.
En action
L'Endeavor n'est pas en reste pour ce qui est de la mécanique. Il offre de série un V6 de 3,8 litres de 225 chevaux produisant un couple de 250 livres-pied. Le rendement est bon, et les reprises sont quand même étonnantes. Pour ajouter au plaisir, la boîte de vitesses automatique à 4 rapports Sportronic comporte un mode manuel. La boîte performe bien, mais elle a une légère tendance à rétrograder avec un délai.
La direction à crémaillère est bien adaptée pour offrir un certain dynamisme et un rayon de braquage qui fait plaisir dans les manoeuvres serrées. Pour sa catégorie, il est surprenant en virage en raison d'une suspension ferme qui privilégie une conduite plutôt sportive que confortable, donc le roulis en virage est limité. La suspension demeure quand même confortable sur route accidentée, mais n'est pas nécessairement conçue pour les escapades en forêt.
Conclusion
L'Endeavor est un véhicule bien construit. Il a certainement un style propre et unique, ce qui a l'avantage de le distinguer de ses concurrents. Il offre des performances honnêtes, mais affiche une consommation de carburant élevée. En effet, à 16,6 litres aux 100 kilomètres en ville et à 12,3 sur l'autoroute, on ne peut pas dire que ce soit un véhicule économique.
photo:Philippe Champoux
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| Il offre de série un V6 de 3,8 litres de 225 chevaux produisant un couple de 250 livres-pied. |
Les passagers arrière sont également gâtés en matière d'espace, du moins, puisque en termes de divertissement, on a abandonné le lecteur multimédia. Les sièges sont rabattables 60/40 et offrent une aire de chargement acceptant les classiques panneaux de 4 sur 8. Le conducteur, lui, aura le privilège de pouvoir régler son soutien lombaire tout en bénéficiant d'un siège enveloppant et confortable à l'avant.
En action
L'Endeavor n'est pas en reste pour ce qui est de la mécanique. Il offre de série un V6 de 3,8 litres de 225 chevaux produisant un couple de 250 livres-pied. Le rendement est bon, et les reprises sont quand même étonnantes. Pour ajouter au plaisir, la boîte de vitesses automatique à 4 rapports Sportronic comporte un mode manuel. La boîte performe bien, mais elle a une légère tendance à rétrograder avec un délai.
La direction à crémaillère est bien adaptée pour offrir un certain dynamisme et un rayon de braquage qui fait plaisir dans les manoeuvres serrées. Pour sa catégorie, il est surprenant en virage en raison d'une suspension ferme qui privilégie une conduite plutôt sportive que confortable, donc le roulis en virage est limité. La suspension demeure quand même confortable sur route accidentée, mais n'est pas nécessairement conçue pour les escapades en forêt.
Conclusion
L'Endeavor est un véhicule bien construit. Il a certainement un style propre et unique, ce qui a l'avantage de le distinguer de ses concurrents. Il offre des performances honnêtes, mais affiche une consommation de carburant élevée. En effet, à 16,6 litres aux 100 kilomètres en ville et à 12,3 sur l'autoroute, on ne peut pas dire que ce soit un véhicule économique.
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| L'Endeavor a certainement un style propre et unique, ce qui a l'avantage de le distinguer de ses concurrents. |
photo:Philippe Champoux
Mitsubishi Endeavor Limited 2008
Mitsubishi Endeavor Limited 2008
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