À l’intérieur, la Lancer offre une atmosphère simple, bien qu’efficace. On pourrait améliorer la finition du tableau de bord, toutefois les commandes audio et de climatisation sont faciles à utiliser et à atteindre. La console centrale inclut deux porte-gobelets, cependant la façon dont ils ont été conçus, on dirait qu’un couvercle rabattable y prenait place initialement et qu’on l’a oublié lorsque la production a débuté.
Les commandes audio, Bluetooth et le régulateur de vitesse au volant sont parfaitement bien placés, et l’ordinateur de bord en couleur qui se loge entre l’indicateur de vitesse et le compte-tours, s’opère plutôt aisément.
Les sièges soutenants s’habillent de cuir lorsqu’on choisit le Groupe Soleil et Musique à 2 700 $, qui ajoute également toit ouvrant électrique, chaîne audio Rockford Fosgate de 710 watts, changeur à 6 CD et système de clé intelligente.
Mais attendez—la surface des sièges est en cuir, pourtant autour des coussins et à l’arrière des dossiers, on retrouve du vinyle. Bon, tricher avec du vinyle sur des sièges en cuir afin de réduire les coûts n’a rien de nouveau, n’empêche que dans la Lancer, la différence des textures et des teintes saute aux yeux.
D’un autre côté, l’espace intérieur ne pose pas de problème, particulièrement à l’arrière : au niveau des voitures compactes, la banquette arrière de la Lancer loge parmi les plus spacieuses.
Puisque la Sportback n’est disponible qu’en versions GTS et Ralliart, les deux reçoivent des ajouts aérodynamiques de bas de caisse, un aileron arrière et des jolies jantes en alliage, alors toutes les Sportback profitent d’une apparence, évidemment, sportive. Le porte-à-faux avant plutôt long semble jurer avec le reste de la carrosserie svelte, sinon autrement, comme on l’a dit, la Lancer arbore son propre style.
Le prix de départ s’amorce à 24 098 $ pour la Sportback GTS, et notre voiture d’essai coûte 28 398 $, incluant le groupe d’options ainsi que les frais de transport et de préparation. Une Mazda3 Sport GT équivalente coûte 27 580 $, une Subaru Impreza 2.5i Limited 29 120 $, et une Volkswagen Golf 2.5L Highline 27 840 $.
En somme, la Lancer Sportback GTS est une des plus sportives dans son segment. Elle semble légèrement moins raffinée que ses rivales mentionnées ici, et elle n’a rien d’une aubaine. De plus, il n’y a peut-être pas encore de concessionnaire dans votre voisinage.
Malgré tout, la Mitsubishi Lancer reste une proposition intéressante. Son allure dynamique, sa vaste sélection de finitions et de motorisations ainsi que la paix d’esprit de sa garantie de 10 ans ou 160 000 km sur le groupe motopropulseur font en sorte qu’on peut la sous-estimer : la concurrence devrait garder un œil dessus.
Les commandes audio, Bluetooth et le régulateur de vitesse au volant sont parfaitement bien placés, et l’ordinateur de bord en couleur qui se loge entre l’indicateur de vitesse et le compte-tours, s’opère plutôt aisément.
Les sièges soutenants s’habillent de cuir lorsqu’on choisit le Groupe Soleil et Musique à 2 700 $, qui ajoute également toit ouvrant électrique, chaîne audio Rockford Fosgate de 710 watts, changeur à 6 CD et système de clé intelligente.
Mais attendez—la surface des sièges est en cuir, pourtant autour des coussins et à l’arrière des dossiers, on retrouve du vinyle. Bon, tricher avec du vinyle sur des sièges en cuir afin de réduire les coûts n’a rien de nouveau, n’empêche que dans la Lancer, la différence des textures et des teintes saute aux yeux.
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| La finition du tableau de bord pourrait être légèrement plus soignée. (Photo: Michel Deslauriers/Auto123.com) |
D’un autre côté, l’espace intérieur ne pose pas de problème, particulièrement à l’arrière : au niveau des voitures compactes, la banquette arrière de la Lancer loge parmi les plus spacieuses.
Puisque la Sportback n’est disponible qu’en versions GTS et Ralliart, les deux reçoivent des ajouts aérodynamiques de bas de caisse, un aileron arrière et des jolies jantes en alliage, alors toutes les Sportback profitent d’une apparence, évidemment, sportive. Le porte-à-faux avant plutôt long semble jurer avec le reste de la carrosserie svelte, sinon autrement, comme on l’a dit, la Lancer arbore son propre style.
Le prix de départ s’amorce à 24 098 $ pour la Sportback GTS, et notre voiture d’essai coûte 28 398 $, incluant le groupe d’options ainsi que les frais de transport et de préparation. Une Mazda3 Sport GT équivalente coûte 27 580 $, une Subaru Impreza 2.5i Limited 29 120 $, et une Volkswagen Golf 2.5L Highline 27 840 $.
En somme, la Lancer Sportback GTS est une des plus sportives dans son segment. Elle semble légèrement moins raffinée que ses rivales mentionnées ici, et elle n’a rien d’une aubaine. De plus, il n’y a peut-être pas encore de concessionnaire dans votre voisinage.
Malgré tout, la Mitsubishi Lancer reste une proposition intéressante. Son allure dynamique, sa vaste sélection de finitions et de motorisations ainsi que la paix d’esprit de sa garantie de 10 ans ou 160 000 km sur le groupe motopropulseur font en sorte qu’on peut la sous-estimer : la concurrence devrait garder un œil dessus.
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