Le pilote québécois Jacques Villeneuve a effectué aujourd'hui en Caroline du Sud ses premiers essais au volant de la Toyota Camry No 32 de série NASCAR Nationwide de l'écurie Braun Racing qu'il pilotera à Montréal au NAPA Pièces d'auto 200. Villeneuve livre ses commentaires à Auto123.com.
« Il faisait terriblement chaud aujourd'hui à la piste, environ 37 ou 38 degrés Celcius, » a expliqué l'ancien champion du monde de Formule 1 qui découvrait sa monture.
« En dépit de la chaleur, ça s'est bien déroulé. Nous avons effectué un bonne journée de travail. Plus en tout cas à ce à quoi l'équipe est habituée. Nous avons fait de gros changements sur la suspension, le freinage, l'équilibre de la voiture et autres détails pour constater leur influence sur le comportement de la voiture. »
Le circuit routier de Carolina MotorSports Park est toutefois différent du circuit Gilles-Villeneuve. « Il n'y a pas un circuit routier qui ressemble à celui de Montréal, poursuit-il. La vitesse maximale ici n'est pas aussi élevée qu'à Montréal. Pour cette raison, les freinages ne sont pas aussi violents. Par contre, l'équipe m'a indiqué que le freinage n'avait pas été un problème l'an dernier. Les freins fonctionnent bien et ils sont endurants. »
« L'aérodynamique de la voiture est assez figée, explique Villeneuve. On ne peut à peu près rien changer. Que des menus détails. Et sur un circuit routier, l'aéro joue un rôle beaucoup moins important que sur un superspeedway. Nous avons surtout travaillé à ne pas sur-conduire la voiture. On n'a pas l'impression de rouler vite, mais pourtant les vitesses sont élevées. Il ne faut pas tenter de rouler plus vite que ce que la voiture peut donner. Si on franchit cette limite, la voiture devient vite inconduisible. »
Jacques Villeneuve va poursuivre ses essais demain, avec encore plusieurs choses à essayer.
« Il faisait terriblement chaud aujourd'hui à la piste, environ 37 ou 38 degrés Celcius, » a expliqué l'ancien champion du monde de Formule 1 qui découvrait sa monture.
« En dépit de la chaleur, ça s'est bien déroulé. Nous avons effectué un bonne journée de travail. Plus en tout cas à ce à quoi l'équipe est habituée. Nous avons fait de gros changements sur la suspension, le freinage, l'équilibre de la voiture et autres détails pour constater leur influence sur le comportement de la voiture. »
Le circuit routier de Carolina MotorSports Park est toutefois différent du circuit Gilles-Villeneuve. « Il n'y a pas un circuit routier qui ressemble à celui de Montréal, poursuit-il. La vitesse maximale ici n'est pas aussi élevée qu'à Montréal. Pour cette raison, les freinages ne sont pas aussi violents. Par contre, l'équipe m'a indiqué que le freinage n'avait pas été un problème l'an dernier. Les freins fonctionnent bien et ils sont endurants. »
« L'aérodynamique de la voiture est assez figée, explique Villeneuve. On ne peut à peu près rien changer. Que des menus détails. Et sur un circuit routier, l'aéro joue un rôle beaucoup moins important que sur un superspeedway. Nous avons surtout travaillé à ne pas sur-conduire la voiture. On n'a pas l'impression de rouler vite, mais pourtant les vitesses sont élevées. Il ne faut pas tenter de rouler plus vite que ce que la voiture peut donner. Si on franchit cette limite, la voiture devient vite inconduisible. »
Jacques Villeneuve va poursuivre ses essais demain, avec encore plusieurs choses à essayer.