Véritable tout-ou-rien, l’édition 40e Anniversaire comprend aussi la technologie SynchroRev Match qui imite le talon-pointe en rétrogradation et un indicateur lumineux de changement de rapports. J’en conclus que la voiture cherche essentiellement à en mettre plein la vue. Alors que Justin se dit «électrisé et récompensé» en la conduisant, je continue d’être agacé par sa double personnalité.
La route ou la piste?
Les freins de la Z peuvent vous passer le K-O et la tenue de route s’avère phénoménale. Les pneus ont cependant la fâcheuse habitude d’embrasser toutes les ornières sur leur chemin, alors mieux vaut garder deux mains fermes sur le volant en tout temps… à moins que vous vouliez échanger quelques marques de peinture avec votre voisin. Par surcroît, la direction ultra sensible réagit au moindre mouvement du volant et ce manque de progressivité ne fait que réitérer la nécessité d’une prise en main solide doublée d’un grand doigté.
Ce que je viens d’écrire ici s’applique aux voies publiques. Décidément, quelque chose ne tourne pas rond…
J’aurais bien aimé avoir la chance de tester ce modèle sur un circuit et l’évaluer en tant que vrai bolide de course. Voici quand même mon conseil aux gens de Nissan : offrez la version Nismo au Canada, faites-en une voiture spécialisée et, de grâce, rendez l’édition 40e Anniversaire plus civilisée et conviviale.
Mot de la fin
Affichant un prix de 48 498 $, la Nissan 370Z 40e Anniversaire 2010 n’est pas donnée. Ses plus proches rivales, selon moi, s’avèrent la Ford Mustang GT (412 chevaux) et la Hyundai Genesis Coupé (306 chevaux). À équipement comparable, la première ne dépasse pas les 45 000 $ et la seconde, sans écran de navigation, reste sous la barre des 37 000 $. En prime, chacune comporte une banquette arrière et se montre plus accommodante au quotidien (vous ne me ferez pas croire que plus d’un conducteur de Nissan Z sur dix exploite vraiment sa répartition du poids quasi égale sur une piste).
Oui, la belle Japonaise captive et même paralyse avec son look d’enfer mais, personnellement, je dirais presque qu’elle nous jette de la poudre aux yeux. Vive la Mustang!
La route ou la piste?
Les freins de la Z peuvent vous passer le K-O et la tenue de route s’avère phénoménale. Les pneus ont cependant la fâcheuse habitude d’embrasser toutes les ornières sur leur chemin, alors mieux vaut garder deux mains fermes sur le volant en tout temps… à moins que vous vouliez échanger quelques marques de peinture avec votre voisin. Par surcroît, la direction ultra sensible réagit au moindre mouvement du volant et ce manque de progressivité ne fait que réitérer la nécessité d’une prise en main solide doublée d’un grand doigté.
Ce que je viens d’écrire ici s’applique aux voies publiques. Décidément, quelque chose ne tourne pas rond…
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| Affichant un prix de 48 498 $, la Nissan 370Z 40e Anniversaire 2010 n’est pas donnée. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
J’aurais bien aimé avoir la chance de tester ce modèle sur un circuit et l’évaluer en tant que vrai bolide de course. Voici quand même mon conseil aux gens de Nissan : offrez la version Nismo au Canada, faites-en une voiture spécialisée et, de grâce, rendez l’édition 40e Anniversaire plus civilisée et conviviale.
Mot de la fin
Affichant un prix de 48 498 $, la Nissan 370Z 40e Anniversaire 2010 n’est pas donnée. Ses plus proches rivales, selon moi, s’avèrent la Ford Mustang GT (412 chevaux) et la Hyundai Genesis Coupé (306 chevaux). À équipement comparable, la première ne dépasse pas les 45 000 $ et la seconde, sans écran de navigation, reste sous la barre des 37 000 $. En prime, chacune comporte une banquette arrière et se montre plus accommodante au quotidien (vous ne me ferez pas croire que plus d’un conducteur de Nissan Z sur dix exploite vraiment sa répartition du poids quasi égale sur une piste).
Oui, la belle Japonaise captive et même paralyse avec son look d’enfer mais, personnellement, je dirais presque qu’elle nous jette de la poudre aux yeux. Vive la Mustang!
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