L’assortiment de commandes et de boutons intuitifs est structuré de façon logique. J’ai particulièrement apprécié la simplicité des systèmes audio et CVCA. On devrait voir plus de constructeurs adopter une approche simpliste lorsqu’il s’agit des commandes le plus souvent utilisées.
Évidemment, ce principe n’a pas sa place sous le capot… et la Maxima l’illustre parfaitement.
Puissant V6 et transmission CVT sophistiquée à votre service
Le primé V6 à DACT de 3,5 litres de la série VQ de Nissan anime une bonne partie de la flotte du constructeur depuis maintenant plusieurs années; c’est un magnifique moteur qui continue à évoluer. Dans cette application précise, il déploie 290 chevaux à 6 400 r/min et 261 pi-lb de couple à 4 400 r/min.
Outre cette livraison soutenue de puissance, le moteur émet un grognement raffiné quand on le pousse à sa limite de 6 500 tours. À moins que le mode Sport de la transmission à variation continue soit activé, en pleine accélération le moteur racé se frotte allègrement à la ligne rouge, y restant jusqu’à ce qu’on relâche la pédale grâce à la technologie de « variation continue ».
Les transmissions à variation continue (CVT) ne sont pas habituellement utilisées dans les machines axées sur la performance, mais comme on admet appuyer un politicien impopulaire, je dois avouer que j’approuve sa présence au cœur de la sportive Maxima.
Tandis qu’on la décèle à peine en conduite normale, la CVT réussit admirablement à garder le moteur dans sa zone de confort en matière de couple en toutes circonstances. Encore mieux, une paire de palettes au volant est incluse dans l’ensemble Sport.
Cette configuration imite très bien une boîte à six vitesses traditionnelle, offrant au conducteur toute l’action qu’il pourrait possiblement désirer. Les changements de rapports dictés par le conducteur sont bien définis et suffisamment rapides pour flatter les sens de l’amateur de conduite.
Atteindre le plaisir de conduite
Nissan qualifie la Maxima de voiture sport à quatre portières, et après un moment franchement délectable passé derrière son volant, je ne lui reproche pas ce titre. La voiture est précise et ô combien nerveuse, surtout en considérant sa taille et son degré impressionnant de confort.
Évidemment, ce principe n’a pas sa place sous le capot… et la Maxima l’illustre parfaitement.
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| L’assortiment de commandes et de boutons intuitifs est structuré de façon logique. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Puissant V6 et transmission CVT sophistiquée à votre service
Le primé V6 à DACT de 3,5 litres de la série VQ de Nissan anime une bonne partie de la flotte du constructeur depuis maintenant plusieurs années; c’est un magnifique moteur qui continue à évoluer. Dans cette application précise, il déploie 290 chevaux à 6 400 r/min et 261 pi-lb de couple à 4 400 r/min.
Outre cette livraison soutenue de puissance, le moteur émet un grognement raffiné quand on le pousse à sa limite de 6 500 tours. À moins que le mode Sport de la transmission à variation continue soit activé, en pleine accélération le moteur racé se frotte allègrement à la ligne rouge, y restant jusqu’à ce qu’on relâche la pédale grâce à la technologie de « variation continue ».
Les transmissions à variation continue (CVT) ne sont pas habituellement utilisées dans les machines axées sur la performance, mais comme on admet appuyer un politicien impopulaire, je dois avouer que j’approuve sa présence au cœur de la sportive Maxima.
Tandis qu’on la décèle à peine en conduite normale, la CVT réussit admirablement à garder le moteur dans sa zone de confort en matière de couple en toutes circonstances. Encore mieux, une paire de palettes au volant est incluse dans l’ensemble Sport.
Cette configuration imite très bien une boîte à six vitesses traditionnelle, offrant au conducteur toute l’action qu’il pourrait possiblement désirer. Les changements de rapports dictés par le conducteur sont bien définis et suffisamment rapides pour flatter les sens de l’amateur de conduite.
Atteindre le plaisir de conduite
Nissan qualifie la Maxima de voiture sport à quatre portières, et après un moment franchement délectable passé derrière son volant, je ne lui reproche pas ce titre. La voiture est précise et ô combien nerveuse, surtout en considérant sa taille et son degré impressionnant de confort.
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| Le primé V6 à DACT de 3,5 litres de la série VQ de Nissan anime une bonne partie de la flotte du constructeur depuis maintenant plusieurs années. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |