Comme pour toute voiture sport, la puissance acheminée aux roues est un facteur important, et la Maxima se montre de taille à tous les égards. L’efficacité de la CVT optimise le rendement du VQ, qui se traduit par de nettes accélérations peu importe la vitesse de départ. L’apport énergique de puissance nous surprend souvent.
Nissan a pas mal éliminé l’effet de couple, la bête noire des systèmes à traction. Malgré le déferlement de puissance, la Maxima demeure stable pendant que les roues avant se battent pour mordre le bitume… mais ça, c’est dans le meilleur des circonstances.
Malheureusement, sur une route cahoteuse ou une surface inégale, la bête noire ressurgit. Nissan a pris soin de s’assurer que la Maxima tienne le cap lors de fortes accélérations en ces conditions; heureusement, de telles circonstances se font assez rares.
Mon modèle d’essai profitait de l’ensemble Sport optionnel, qui comprend une suspension aux réglages sport. Ces entrailles insufflent la tenue de route d’une nervosité délicieuse, augmentant la crédibilité des prétentions de « voiture sport à quatre portes » de la Maxima.
Cet athlétisme amène avec lui une dynamique plutôt rigide. La qualité du travail de la suspension, qui ne peut en aucun cas être qualifié de brusque, n’a toutefois rien à voir avec une voiture de luxe. Il est par contre posé et confiant, grâce à la rigidité de la carrosserie et la fermeté de la plateforme.
Le mot de la fin
La Maxima de base vous coûtera 39 450 $. Mon modèle d’essai exigeait 41 635 beaux dollars, vu son ensemble Sport optionnel. Le rapport qualité-prix global est substantiel si l’on considère le cocktail de performance, de qualité et de luxe qu’offre la Maxima.
J’ai une fois de plus apprécié le temps passé en sa compagnie, comme par le passé. Voilà un véhicule raisonnablement unique dans le segment des « performances de luxe » qui tire sur le côté « performances » de la formule.
Nissan a pas mal éliminé l’effet de couple, la bête noire des systèmes à traction. Malgré le déferlement de puissance, la Maxima demeure stable pendant que les roues avant se battent pour mordre le bitume… mais ça, c’est dans le meilleur des circonstances.
Malheureusement, sur une route cahoteuse ou une surface inégale, la bête noire ressurgit. Nissan a pris soin de s’assurer que la Maxima tienne le cap lors de fortes accélérations en ces conditions; heureusement, de telles circonstances se font assez rares.
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| La Maxima de base vous coûtera 39 450 $. Mon modèle d’essai exigeait 41 635 beaux dollars, vu son ensemble Sport optionnel. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Mon modèle d’essai profitait de l’ensemble Sport optionnel, qui comprend une suspension aux réglages sport. Ces entrailles insufflent la tenue de route d’une nervosité délicieuse, augmentant la crédibilité des prétentions de « voiture sport à quatre portes » de la Maxima.
Cet athlétisme amène avec lui une dynamique plutôt rigide. La qualité du travail de la suspension, qui ne peut en aucun cas être qualifié de brusque, n’a toutefois rien à voir avec une voiture de luxe. Il est par contre posé et confiant, grâce à la rigidité de la carrosserie et la fermeté de la plateforme.
Le mot de la fin
La Maxima de base vous coûtera 39 450 $. Mon modèle d’essai exigeait 41 635 beaux dollars, vu son ensemble Sport optionnel. Le rapport qualité-prix global est substantiel si l’on considère le cocktail de performance, de qualité et de luxe qu’offre la Maxima.
J’ai une fois de plus apprécié le temps passé en sa compagnie, comme par le passé. Voilà un véhicule raisonnablement unique dans le segment des « performances de luxe » qui tire sur le côté « performances » de la formule.
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