Le côté moins réjouissant se situait au niveau du moteur de base, un 4 cylindres de 2,4 litres qui produisait une puissance raisonnable de 150 chevaux, mais il manquait sérieusement de raffinement. Il a été
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| Le 4 cylindres de 2,4 litres a été avantageusement remplacé par l'actuel Ecotec de 2,2 litres en 2002. Ce dernier lui concède 10 chevaux, mais son fonctionnement économique est beaucoup plus doux. (Photo : General Motors du Canada) |
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avantageusement remplacé par l'actuel Ecotec de 2,2 litres en 2002. Ce dernier lui concède 10 chevaux, mais son fonctionnement économique est beaucoup plus doux. Un autre point contre l'Alero était l'absence de la transmission manuelle jusqu'en 2000. Pratiquement tous les compétiteurs en offraient une et étaient plus en mesure d'attirer les amateurs de conduite sportive. Alors ces derniers tournaient les talons pour visiter Honda, Toyota ou tout autre manufacturier étranger. La transmission automatique à quatre rapports était la seule disponible et c'est la même qui équipe encore aujourd'hui les nouvelles Chevrolet Malibu et Pontiac G6.
Si le V6 de 3,4 litres assurait de meilleures performances avec ses 170 chevaux et ses 200 lb-pi de couple, sa vieille technologie à tiges poussoirs ne le favorisait pas car il se plaignait régulièrement lorsqu'il était poussé. Les V6 DACT multisoupapes des véhicules importés pouvaient atteindre les hauts régimes sans broncher. Leur sonorité était plus agréable à
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| À l'arrière, l'espace y est assez généreux pour 5 personnes, mais le confort est meilleur pour 4 adultes. (Photo : General Motors du Canada) |
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l'oreille et leur niveau de NVH inférieur, mais en ce qui concerne les performances, la consommation et la fiabilité générale du 3,4 litres, il n'y avait rien à redire.
Voilà pour la mécanique. Du côté de l'habitacle, l'espace y est assez généreux pour 5 personnes, mais le confort est meilleur pour 4 adultes. En effet, les places arrière sont un peu plus serrées pour trois personnes que certaines de ses rivales, car le pilier arrière très incliné limite l'espace pour les épaules. Concernant le coffre, il est très logeable tel que mentionné plus haut et grâce au dossier rabattable, on peut y loger des items plus longs.
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| Comme pour les plus récents modèles Oldsmobile, le design des instruments et des commandes est bien exécuté, bien dessiné et de bonne qualité. (Photo : General Motors du Canada) |
Le conducteur et le passager avant jouissent de plus d'espace et tout comme dans les plus récents modèles Oldsmobile, le design des instruments et des commandes est bien exécuté, bien dessiné et de bonne qualité. Tout est facile à lire et à atteindre, tous les items importants comme les commandes de chauffage/climatisation et le système audio sont faciles à utiliser qu'ils soient sur le tableau de bord ou sur la console centrale. Le volant est assez massif et facile à manier tout comme les multiples boutons qui sont assez grands pour que leur manipulation soit facile même avec des gants.
Comme il fallait s'y attendre, les sièges baquets trahissent les origines de la voiture avec leur support latéral insuffisant et leur rembourrage qui manque trop de consistance à mon goût. C'est vraiment malheureux quand on pense que la voiture tient bien la route grâce à sa caisse rigide, ses ajustements de suspension et la précision de sa direction à pignon et crémaillère. De plus, le roulement est confortable et le niveau sonore inférieur à la moyenne de cette catégorie.
