Carrosserie
Il y a deux ans, Pontiac a profité du tournant du millénaire pour rajeunir sensiblement les lignes de la Bonneville. Ses lignes pataudes et mal dégrossies correspondaient mal avec la mentalité de provocateur du reste de la famille Pontiac. Peu de changements pour 2002, si ce n'est que GM a ajouté un peu à la personnalité extravertie du plus grand membre de la famille des voitures Pontiac. Une nouvelle sortie d'échappement double et ovale ainsi que des pneus de 17 pouces de série sur tous les modèles et quelques retouches au carénage de la voiture confirment un peu plus le statut athlétique de la Bonneville.
Mécanique
Si vous me permettez de transposer un vieux proverbe gaulois à la mécanique, nous pourrions affirmer : quand la mécanique va, tout va ! C'est précisément pour cette raison que c'est le statu quo dans le cas de la Bonneville. Le V6 de 3,8 litres, qui a subi maintes modifications depuis son arrivée sur le marché en 1963, a traversé l'épreuve du temps avec brio. La version de base de 205 chevaux se trouve sous le capot des versions SE et SLE. Le même moteur suralimenté avec ses 240 chevaux trouve toujours sa place sous le capot de la SSEi. Une combinaison qui s'est avérée heureuse depuis des années.
Comportement
Au volant, on découvre immédiatement les améliorations apportées à la carrosserie dont la rigidité a été améliorée. Le bon vieux V6 de 3,8 litres à culbuteurs fait encore un travail impeccable ; doux et puissant, il est capable de belle prouesses et pousse la Bonneville de 0 à 100 km/h en sept secondes (SSEi). Les freins sont beaucoup plus progressifs et mordants ; Pontiac a même emprunté le système Stabilitrak de Cadillac (pour la SSEi), pour donner plus d'assurance au véhicule. Même si les responsables de GM disent viser la concurrence européenne comme les Audi et BMW, la vraie rivale se nomme Chrysler 300M.
Il y a deux ans, Pontiac a profité du tournant du millénaire pour rajeunir sensiblement les lignes de la Bonneville. Ses lignes pataudes et mal dégrossies correspondaient mal avec la mentalité de provocateur du reste de la famille Pontiac. Peu de changements pour 2002, si ce n'est que GM a ajouté un peu à la personnalité extravertie du plus grand membre de la famille des voitures Pontiac. Une nouvelle sortie d'échappement double et ovale ainsi que des pneus de 17 pouces de série sur tous les modèles et quelques retouches au carénage de la voiture confirment un peu plus le statut athlétique de la Bonneville.
Mécanique
Si vous me permettez de transposer un vieux proverbe gaulois à la mécanique, nous pourrions affirmer : quand la mécanique va, tout va ! C'est précisément pour cette raison que c'est le statu quo dans le cas de la Bonneville. Le V6 de 3,8 litres, qui a subi maintes modifications depuis son arrivée sur le marché en 1963, a traversé l'épreuve du temps avec brio. La version de base de 205 chevaux se trouve sous le capot des versions SE et SLE. Le même moteur suralimenté avec ses 240 chevaux trouve toujours sa place sous le capot de la SSEi. Une combinaison qui s'est avérée heureuse depuis des années.
Comportement
Au volant, on découvre immédiatement les améliorations apportées à la carrosserie dont la rigidité a été améliorée. Le bon vieux V6 de 3,8 litres à culbuteurs fait encore un travail impeccable ; doux et puissant, il est capable de belle prouesses et pousse la Bonneville de 0 à 100 km/h en sept secondes (SSEi). Les freins sont beaucoup plus progressifs et mordants ; Pontiac a même emprunté le système Stabilitrak de Cadillac (pour la SSEi), pour donner plus d'assurance au véhicule. Même si les responsables de GM disent viser la concurrence européenne comme les Audi et BMW, la vraie rivale se nomme Chrysler 300M.