D'autre part, contrairement à la vaste majorité des véhicules nord-américains, la G8 place les boutons de contrôle des vitres électriques sur la console centrale. Personnellement, cela ne m'a pas dérangé, mais j'imagine facilement la frustration de tous ces conducteurs qui ne connaissent rien d'autre que les boutons sur la portière. De façon générale, l'habitacle est attrayant grâce à des matériaux de qualité intéressante et à un espace exceptionnellement généreux pour se mettre à l'aise.
Un dernier mot ici pour parler de la banquette arrière : son dossier ne se rabat même pas, ce qui limite beaucoup la capacité de chargement. Oui, c'est vrai, il y a une bonne trappe d'accès au coffre, mais que faire quand de gros objets ne rentrent pas dans ce dernier?
Puissance à l'Australienne
J'ai testé la version de base de la G8, qui est alimentée par un V6 de 3,6 litres à double arbre à cames en tête de conception australienne. Ce moteur arrive à produire 256 chevaux à 6300 tours/minute et un couple de 248 livres-pied à 2100 tours/minute via une boîte automatique à cinq rapports avec commande manuelle sans embrayage au levier. Cette transmission autorise des passages vifs en mode manuel et doux en mode automatique. Par contre, elle n'offre pas la correspondance du régime en rétrogradation ni même des palettes au volant, pourtant de plus en plus populaires.
À noter que les conducteurs à la recherche d'une mécanique plus puissante et animée peuvent se tourner vers la G8 GT. Son redoutable V8 de 6,0 litres génère pas moins de 361 chevaux à l'aide d'une boîte semi-automatique à six rapports (encore là, pas de palettes au volant).
D'autre part, contrairement à la vaste majorité des véhicules nord-américains, la G8 place les boutons de contrôle des vitres électriques sur la console centrale. Personnellement, cela ne m'a pas dérangé, mais j'imagine facilement la frustration de tous ces conducteurs qui ne connaissent rien d'autre que les boutons sur la portière. De façon générale, l'habitacle est attrayant grâce à des matériaux de qualité intéressante et à un espace exceptionnellement généreux pour se mettre à l'aise.
Un dernier mot ici pour parler de la banquette arrière : son dossier ne se rabat même pas, ce qui limite beaucoup la capacité de chargement. Oui, c'est vrai, il y a une bonne trappe d'accès au coffre, mais que faire quand de gros objets ne rentrent pas dans ce dernier?
Puissance à l'Australienne
J'ai testé la version de base de la G8, qui est alimentée par un V6 de 3,6 litres à double arbre à cames en tête de conception australienne. Ce moteur arrive à produire 256 chevaux à 6300 tours/minute et un couple de 248 livres-pied à 2100 tours/minute via une boîte automatique à cinq rapports avec commande manuelle sans embrayage au levier. Cette transmission autorise des passages vifs en mode manuel et doux en mode automatique. Par contre, elle n'offre pas la correspondance du régime en rétrogradation ni même des palettes au volant, pourtant de plus en plus populaires.
À noter que les conducteurs à la recherche d'une mécanique plus puissante et animée peuvent se tourner vers la G8 GT. Son redoutable V8 de 6,0 litres génère pas moins de 361 chevaux à l'aide d'une boîte semi-automatique à six rapports (encore là, pas de palettes au volant).
photo:Rob Rothwell
Un dernier mot ici pour parler de la banquette arrière : son dossier ne se rabat même pas, ce qui limite beaucoup la capacité de chargement. Oui, c'est vrai, il y a une bonne trappe d'accès au coffre, mais que faire quand de gros objets ne rentrent pas dans ce dernier?
Puissance à l'Australienne
J'ai testé la version de base de la G8, qui est alimentée par un V6 de 3,6 litres à double arbre à cames en tête de conception australienne. Ce moteur arrive à produire 256 chevaux à 6300 tours/minute et un couple de 248 livres-pied à 2100 tours/minute via une boîte automatique à cinq rapports avec commande manuelle sans embrayage au levier. Cette transmission autorise des passages vifs en mode manuel et doux en mode automatique. Par contre, elle n'offre pas la correspondance du régime en rétrogradation ni même des palettes au volant, pourtant de plus en plus populaires.
À noter que les conducteurs à la recherche d'une mécanique plus puissante et animée peuvent se tourner vers la G8 GT. Son redoutable V8 de 6,0 litres génère pas moins de 361 chevaux à l'aide d'une boîte semi-automatique à six rapports (encore là, pas de palettes au volant).
Après avoir trouvé une position de conduite, j'ai pu apprécier tout le confort des sièges en cuir. |
D'autre part, contrairement à la vaste majorité des véhicules nord-américains, la G8 place les boutons de contrôle des vitres électriques sur la console centrale. Personnellement, cela ne m'a pas dérangé, mais j'imagine facilement la frustration de tous ces conducteurs qui ne connaissent rien d'autre que les boutons sur la portière. De façon générale, l'habitacle est attrayant grâce à des matériaux de qualité intéressante et à un espace exceptionnellement généreux pour se mettre à l'aise.
Un dernier mot ici pour parler de la banquette arrière : son dossier ne se rabat même pas, ce qui limite beaucoup la capacité de chargement. Oui, c'est vrai, il y a une bonne trappe d'accès au coffre, mais que faire quand de gros objets ne rentrent pas dans ce dernier?
Puissance à l'Australienne
J'ai testé la version de base de la G8, qui est alimentée par un V6 de 3,6 litres à double arbre à cames en tête de conception australienne. Ce moteur arrive à produire 256 chevaux à 6300 tours/minute et un couple de 248 livres-pied à 2100 tours/minute via une boîte automatique à cinq rapports avec commande manuelle sans embrayage au levier. Cette transmission autorise des passages vifs en mode manuel et doux en mode automatique. Par contre, elle n'offre pas la correspondance du régime en rétrogradation ni même des palettes au volant, pourtant de plus en plus populaires.
À noter que les conducteurs à la recherche d'une mécanique plus puissante et animée peuvent se tourner vers la G8 GT. Son redoutable V8 de 6,0 litres génère pas moins de 361 chevaux à l'aide d'une boîte semi-automatique à six rapports (encore là, pas de palettes au volant).
photo:Rob Rothwell