Mais ne vous inquiétez pas, les performances sont là : 0 à 100 km/h en 6,27 secondes et de 80 à 120 km/h en 4,6 secondes sur les deuxième et troisième rapports. Malgré ces données impressionnantes, la consommation de carburant demeure décente pour une telle sportive : 15 litres aux 100 kilomètres.
Cockpit pour pilotes
Le pilote compte sur une instrumentation complète. J'ai apprécié l'affichage numérique du compteur de vitesse, car la consultation du cadran circulaire traditionnel est trop difficile. Bertrand me signalait que cette Boxster offre, avec ses sièges bien dessinés, une position sportive; de plus, son volant assez haut permet une meilleure prise en virage. Son pédalier bien positionné et ferme vous fait bien sentir la mécanique sous vos pieds.
Magie sur roues
Sa suspension, performante et suffisamment souple, épouse la chaussée et garde ainsi les roues soudées au sol, même sur des surfaces bosselées. La Boxster S profite d'un bon transfert de masse pour offrir une motricité efficace en toutes occasions, même s'il s'agit d'une propulsion.
Au chapitre du confort, Bertrand et moi divergeons légèrement d'opinion. Pour ma part, la suspension de la Boxster S est trop ferme en conduite urbaine pour être agréable. Bertrand n'y voyait pas trop d'inconvénient.
Son moteur, d'une souplesse exemplaire, produit un couple qui permet d'attraper rapidement sa puissance à bas régime et de monter en tours par minute à des vitesses élevées, ce qui fait son charme sportif. La boîte de vitesses à 6 rapports est bien étagée et précise, mais on pourrait réduire la course du levier et augmenter sa fermeté.
Très précise, la direction communique finement la moindre information. Les mains bien agrippées au volant, vous devinez exactement ce que vous avez sous les roues et vous savez comment réagir.
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| Cette Boxster offre une position de conduite sportive et son volant haut permet une meilleure prise en virage. |
Cockpit pour pilotes
Le pilote compte sur une instrumentation complète. J'ai apprécié l'affichage numérique du compteur de vitesse, car la consultation du cadran circulaire traditionnel est trop difficile. Bertrand me signalait que cette Boxster offre, avec ses sièges bien dessinés, une position sportive; de plus, son volant assez haut permet une meilleure prise en virage. Son pédalier bien positionné et ferme vous fait bien sentir la mécanique sous vos pieds.
Magie sur roues
Sa suspension, performante et suffisamment souple, épouse la chaussée et garde ainsi les roues soudées au sol, même sur des surfaces bosselées. La Boxster S profite d'un bon transfert de masse pour offrir une motricité efficace en toutes occasions, même s'il s'agit d'une propulsion.
Au chapitre du confort, Bertrand et moi divergeons légèrement d'opinion. Pour ma part, la suspension de la Boxster S est trop ferme en conduite urbaine pour être agréable. Bertrand n'y voyait pas trop d'inconvénient.
Son moteur, d'une souplesse exemplaire, produit un couple qui permet d'attraper rapidement sa puissance à bas régime et de monter en tours par minute à des vitesses élevées, ce qui fait son charme sportif. La boîte de vitesses à 6 rapports est bien étagée et précise, mais on pourrait réduire la course du levier et augmenter sa fermeté.
Très précise, la direction communique finement la moindre information. Les mains bien agrippées au volant, vous devinez exactement ce que vous avez sous les roues et vous savez comment réagir.
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| Sa suspension, épouse la chaussée et garde ainsi les roues soudées au sol. |