Le fabricant italien Fiat, qui est déjà propriétaire à 20% de Chrysler, pourrait augmenter sa participation à plus de 50% avant le retour en bourse du manufacturier américain.
Afin d'acquérir des parts de plus de 50%, la compagnie italienne ajouterait 15% à sa contribution actuelle lorsque Chrysler construira un petit moteur et atteindra ses objectifs de vente en Amérique du Nord. De plus, Fiat détient une option qui lui permettrait de donner 16% additionnels en actions aussitôt que le fabricant américain aura complètement payé ses emprunts aux gouvernements canadien et américain.
En faisant l'addition du tout, la participation de Fiat pourrait donc s’élever à 51% avant le retour de Chrysler dans les marchés boursiers. Selon l'analyste financier Philippe Houchois, une telle décision serait monétairement avantageuse pour l'Italienne, car « elle pourrait sauver entre 1 et 2,7 milliards si elle décide d'y aller de l'avant avec ce projet avant le retour en bourse du géant américain ».
Commentant à ce sujet, le président et chef de la direction de Fiat et Chrysler a mentionné qu'un tel investissement « serait avantageux s'il se concrétisait ». Il a aussi affirmé qu'une fusion entre les deux entreprises était peu probable et « qu'un regroupement d'entreprises légal ne changerait rien à nos vies » et que le retour en bourse de Chrysler pourrait se faire dans la deuxième moitié de 2011.
Rappelons que Fiat avait hérité de ses parts dans Chrysler dans la cadre de la réorganisation qui a suivi la faillite du géant américain en 2009.
Source: Bloomberg
Afin d'acquérir des parts de plus de 50%, la compagnie italienne ajouterait 15% à sa contribution actuelle lorsque Chrysler construira un petit moteur et atteindra ses objectifs de vente en Amérique du Nord. De plus, Fiat détient une option qui lui permettrait de donner 16% additionnels en actions aussitôt que le fabricant américain aura complètement payé ses emprunts aux gouvernements canadien et américain.
En faisant l'addition du tout, la participation de Fiat pourrait donc s’élever à 51% avant le retour de Chrysler dans les marchés boursiers. Selon l'analyste financier Philippe Houchois, une telle décision serait monétairement avantageuse pour l'Italienne, car « elle pourrait sauver entre 1 et 2,7 milliards si elle décide d'y aller de l'avant avec ce projet avant le retour en bourse du géant américain ».
Commentant à ce sujet, le président et chef de la direction de Fiat et Chrysler a mentionné qu'un tel investissement « serait avantageux s'il se concrétisait ». Il a aussi affirmé qu'une fusion entre les deux entreprises était peu probable et « qu'un regroupement d'entreprises légal ne changerait rien à nos vies » et que le retour en bourse de Chrysler pourrait se faire dans la deuxième moitié de 2011.
Rappelons que Fiat avait hérité de ses parts dans Chrysler dans la cadre de la réorganisation qui a suivi la faillite du géant américain en 2009.
Source: Bloomberg