Mécanique décevante
Bizarre de mentionner une mécanique vieillissante sur un modèle pourtant nouveau, mais c’est exactement la perception que la motorisation nous laisse. Bien sûr, du haut de ses 180 chevaux, on se serait attendu à beaucoup, toutefois il manque un petit quelque chose pour prétendre au véritable titre de sportive.
La boîte de vitesse à six rapports se montre peu précise, et ne procure pas autant de sensations qu’on l’aurait souhaité, tandis que les suspensions, mal calibrées, mêlent inconfort et roulis abondant. Bref, tout ce que ne devrait pas composer un coupé sport.
En revanche, je dois admettre que j’étais loin d’être le premier journaliste à conduire la voiture, qui donnait l’impression d’avoir survécu à quelques changements plus radicaux.
Ma Scion à moi
Ce qui distingue véritablement les Scion, peu importe leurs modèles, c’est leurs facultés à s’adapter à leurs propriétaires… moyennant quelques investissements, cela va de soi.
En vérité, les véhicules Scion sont conçus pour être la base d’une vaste opération de personnalisation. À leur lancement l’année dernière, on précisait que le catalogue de pièces d’après-marché disponible s’élevait à 75. Aux États-Unis où la marque évolue depuis longtemps, on parle plutôt de 400.
Dans les faits, cela signifie que vous avez jusqu’à 400 choix pour modifier, améliorer, personnaliser votre voiture et lui donner votre signature. Bien entendu, certaines options s’avèrent coûteuses, d’autres moins, mais elles restent dans l’ensemble simples et bien pensées.
Conclusion
La Scion tC n’est pas la sportive dont je rêvais. Moins puissante, moins collante à la route aussi, j’aurais espéré quelque chose de plus… Puis j’ai regardé la fiche technique, et me suis rendu compte que pour moins de 20 000$ elle offrait tout de même un compromis acceptable.
De toute évidence, je ne serais pas le premier acheteur de ce type de modèle, toutefois Scion s’en fout un peu, puisqu’elle vise ceux qui ont la moitié de mon âge.
Bizarre de mentionner une mécanique vieillissante sur un modèle pourtant nouveau, mais c’est exactement la perception que la motorisation nous laisse. Bien sûr, du haut de ses 180 chevaux, on se serait attendu à beaucoup, toutefois il manque un petit quelque chose pour prétendre au véritable titre de sportive.
La boîte de vitesse à six rapports se montre peu précise, et ne procure pas autant de sensations qu’on l’aurait souhaité, tandis que les suspensions, mal calibrées, mêlent inconfort et roulis abondant. Bref, tout ce que ne devrait pas composer un coupé sport.
En revanche, je dois admettre que j’étais loin d’être le premier journaliste à conduire la voiture, qui donnait l’impression d’avoir survécu à quelques changements plus radicaux.
Ma Scion à moi
Ce qui distingue véritablement les Scion, peu importe leurs modèles, c’est leurs facultés à s’adapter à leurs propriétaires… moyennant quelques investissements, cela va de soi.
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| Du haut de ses 180 chevaux, on se serait attendu à beaucoup, toutefois il manque un petit quelque chose pour prétendre au véritable titre de sportive. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
En vérité, les véhicules Scion sont conçus pour être la base d’une vaste opération de personnalisation. À leur lancement l’année dernière, on précisait que le catalogue de pièces d’après-marché disponible s’élevait à 75. Aux États-Unis où la marque évolue depuis longtemps, on parle plutôt de 400.
Dans les faits, cela signifie que vous avez jusqu’à 400 choix pour modifier, améliorer, personnaliser votre voiture et lui donner votre signature. Bien entendu, certaines options s’avèrent coûteuses, d’autres moins, mais elles restent dans l’ensemble simples et bien pensées.
Conclusion
La Scion tC n’est pas la sportive dont je rêvais. Moins puissante, moins collante à la route aussi, j’aurais espéré quelque chose de plus… Puis j’ai regardé la fiche technique, et me suis rendu compte que pour moins de 20 000$ elle offrait tout de même un compromis acceptable.
De toute évidence, je ne serais pas le premier acheteur de ce type de modèle, toutefois Scion s’en fout un peu, puisqu’elle vise ceux qui ont la moitié de mon âge.
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