Banquette arrière et coffre
On doit faire preuve d’agilité pour accéder à la banquette arrière de ce coupé à deux portières : fiston et compagnie n’ont eu aucun problème à s’y empiler. J’ai réussi aussi, toutefois je trouve qu’il manque de dégagement pour les jambes, et la ceinture avant nous gêne quand on essaie de sortir. Mais bon, cela n’arrive pas souvent que j’ai plus d’un ou deux passagers avec moi. Imaginez-vous que le fait que les sièges arrière soient divisés et rabattables, offrent assez d’espace pour un sac de golf, de l’épicerie, etc., laisse mon fils totalement indifférent!
Style
La nature osée de la tC transparaît de sa silhouette, qui l’a séduit au premier coup d’oeil. Le style à hayon est original et se distingue dans la mer de coupés. Et j’apprécie également la fonctionnalité du hayon. L’absence de chrome plaît à Monsieur, et à moi aussi d’ailleurs. Du nez à la croupe, les courbes, les tranchants et les surfaces planes créent un ensemble excessivement intéressant qui change d’aspect d’un angle à l’autre.
Sur la route
L’expérience de conduite de la tC est un autre point sur lequel nous nous entendons. Elle se manie très bien et nous permet de nous tricoter allègrement un passage dans la circulation. Le stationnement, à la fois en angle et en parallèle, se fait aisément une fois qu’on s’est habitué à la taille de la voiture et l’emplacement des extrémités.
Nous sommes tous deux partis sur la trotte pour ensuite comparer nos notes. Je voulais le réprimander pour ses escapades, pourtant je savais très bien que j’ai poussé la tC en virage autant que lui! Et comme lui, j’ai aimé la prévisibilité de la voiture. Nous avons tous deux trouvé que le devant nous avertit bien d’avance avant de commencer à dériver, et qu’il fallait toute une bosse pour faire dévier la tC de sa trajectoire de virage.
La suspension a absorbé les bosses moyennes et autres périls de la route, bien que les grosses bosses nous aient obligés à corriger le tir afin d’éviter de nous faire bardasser. À l’autre bout de l’échelle, les bandes de goudron et le bitume endommagé se faisaient remarquer, car les pneus lançaient un bruit sourd en les frappant, mais ils ne forçaient pas le conducteur à intervenir.
On doit faire preuve d’agilité pour accéder à la banquette arrière de ce coupé à deux portières : fiston et compagnie n’ont eu aucun problème à s’y empiler. J’ai réussi aussi, toutefois je trouve qu’il manque de dégagement pour les jambes, et la ceinture avant nous gêne quand on essaie de sortir. Mais bon, cela n’arrive pas souvent que j’ai plus d’un ou deux passagers avec moi. Imaginez-vous que le fait que les sièges arrière soient divisés et rabattables, offrent assez d’espace pour un sac de golf, de l’épicerie, etc., laisse mon fils totalement indifférent!
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| On doit faire preuve d’agilité pour accéder à la banquette arrière de ce coupé à deux portières. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |
Style
La nature osée de la tC transparaît de sa silhouette, qui l’a séduit au premier coup d’oeil. Le style à hayon est original et se distingue dans la mer de coupés. Et j’apprécie également la fonctionnalité du hayon. L’absence de chrome plaît à Monsieur, et à moi aussi d’ailleurs. Du nez à la croupe, les courbes, les tranchants et les surfaces planes créent un ensemble excessivement intéressant qui change d’aspect d’un angle à l’autre.
Sur la route
L’expérience de conduite de la tC est un autre point sur lequel nous nous entendons. Elle se manie très bien et nous permet de nous tricoter allègrement un passage dans la circulation. Le stationnement, à la fois en angle et en parallèle, se fait aisément une fois qu’on s’est habitué à la taille de la voiture et l’emplacement des extrémités.
Nous sommes tous deux partis sur la trotte pour ensuite comparer nos notes. Je voulais le réprimander pour ses escapades, pourtant je savais très bien que j’ai poussé la tC en virage autant que lui! Et comme lui, j’ai aimé la prévisibilité de la voiture. Nous avons tous deux trouvé que le devant nous avertit bien d’avance avant de commencer à dériver, et qu’il fallait toute une bosse pour faire dévier la tC de sa trajectoire de virage.
La suspension a absorbé les bosses moyennes et autres périls de la route, bien que les grosses bosses nous aient obligés à corriger le tir afin d’éviter de nous faire bardasser. À l’autre bout de l’échelle, les bandes de goudron et le bitume endommagé se faisaient remarquer, car les pneus lançaient un bruit sourd en les frappant, mais ils ne forçaient pas le conducteur à intervenir.
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| La suspension a absorbé les bosses moyennes et autres périls de la route. (Photo: Charles Renny/Auto123.com) |







