Détail également important, l'espace de chargement est vaste et facilement accessible. On a pu libérer un peu de place en largeur en raison des nouvelles dimensions, en outre en améliorant les suspensions et en diminuant leur taille. Résultat: finies les colonnes surélevées de chaque côté à l'arrière, place aux bagages dorénavant.
Un moteur, plusieurs usages
On le sait, les Subaru partagent quasiment toutes les mêmes motorisations. Il existe bien entendu des versions turbo, quoiqu’en général (et c'était le cas de notre modèle d'essai) on utilise plutôt le moteur 4 cylindres 2.5 litres de type boxer, c'est-à-dire aux cylindres opposés horizontalement, dont la fiabilité est éprouvée.
Facile de comprendre pourquoi ce moteur à plat peut aisément se loger plus bas dans l'espace moteur, conférant à l'ensemble un centre de gravité abaissé et une meilleure stabilité sur la route. En revanche, on doit lui sacrifier quelques claquements à froid, un inconvénient avec lequel tous les propriétaires de Subaru sont familiers.
Impossible de plus d'oublier la traction intégrale de Subaru, un modèle du genre, qui équipe aussi tous les véhicules de la gamme. Sur notre Forester, cette traction réagit sans délai, et conserve son efficacité redoutable.
Enfin, c'est à une transmission manuelle à 5 vitesses que le tout est jumelé. Une boîte que l'on manie sans encombre ni sans véritable plaisir, mais qui constitue tout de même une nette amélioration sur les boîtes automatiques 4 rapports disponibles en option. Et mieux encore, elle est équipée d'un système antirecul qui donne au conducteur quelques secondes de répit, même dans les côtes les plus abruptes, pour effectuer un démarrage sans souci.
Sur la route
Ainsi outillé, et doté de suspensions dont le confort pourrait être amélioré, le Subaru Forester traverse monts et marées sans jamais hésiter. Évidemment, pas question de hors-route extrême, néanmoins il peut se mouvoir dans à peu près toutes les circonstances.
Sur la route, il se montre plus doux que son inspiration (la Impreza qui partage sa plateforme), par contre un peu bruyant. En revanche, il se manie du bout des doigts, et adopte sans rechigner toutes les trajectoires demandées comme si on conduisait une berline. Tout cela, en traînant toute la famille, et leurs bagages, bien entendu.
Alors familiale ou utilitaire? Sincèrement, le Forester représente un exemple de ce que multisegment signifie réellement. Et un bien bel exemple....
Un moteur, plusieurs usages
On le sait, les Subaru partagent quasiment toutes les mêmes motorisations. Il existe bien entendu des versions turbo, quoiqu’en général (et c'était le cas de notre modèle d'essai) on utilise plutôt le moteur 4 cylindres 2.5 litres de type boxer, c'est-à-dire aux cylindres opposés horizontalement, dont la fiabilité est éprouvée.
Facile de comprendre pourquoi ce moteur à plat peut aisément se loger plus bas dans l'espace moteur, conférant à l'ensemble un centre de gravité abaissé et une meilleure stabilité sur la route. En revanche, on doit lui sacrifier quelques claquements à froid, un inconvénient avec lequel tous les propriétaires de Subaru sont familiers.
Détail important, l'espace de chargement est vaste et facilement accessible. (Photo: Philippe Champoux/Auto123.com) |
Impossible de plus d'oublier la traction intégrale de Subaru, un modèle du genre, qui équipe aussi tous les véhicules de la gamme. Sur notre Forester, cette traction réagit sans délai, et conserve son efficacité redoutable.
Enfin, c'est à une transmission manuelle à 5 vitesses que le tout est jumelé. Une boîte que l'on manie sans encombre ni sans véritable plaisir, mais qui constitue tout de même une nette amélioration sur les boîtes automatiques 4 rapports disponibles en option. Et mieux encore, elle est équipée d'un système antirecul qui donne au conducteur quelques secondes de répit, même dans les côtes les plus abruptes, pour effectuer un démarrage sans souci.
Sur la route
Ainsi outillé, et doté de suspensions dont le confort pourrait être amélioré, le Subaru Forester traverse monts et marées sans jamais hésiter. Évidemment, pas question de hors-route extrême, néanmoins il peut se mouvoir dans à peu près toutes les circonstances.
Sur la route, il se montre plus doux que son inspiration (la Impreza qui partage sa plateforme), par contre un peu bruyant. En revanche, il se manie du bout des doigts, et adopte sans rechigner toutes les trajectoires demandées comme si on conduisait une berline. Tout cela, en traînant toute la famille, et leurs bagages, bien entendu.
Alors familiale ou utilitaire? Sincèrement, le Forester représente un exemple de ce que multisegment signifie réellement. Et un bien bel exemple....