Catherine a eu un peu de difficulté à trouver une bonne position de conduite au départ. Mais elle est parvenue à régler le dossier et l'assise pour s'éviter un creux au bas du dos. Le diamètre du volant semble plus petit, et la prise, plus grosse, ce qui a particulièrement plu à Catherine. Si l'instrumentation semble complète, on note la disparition de la jauge de température qu'on a remplacée par une diode bleue qui s'éteint quand le moteur atteint sa température normale. Notons que les véhicules Subaru atteignent très vite leur température de fonctionnement, ce qui permet de réchauffer l'habitacle rapidement.
Assis trop bas
C'est un reproche unanime de la part des passagers à l'avant. Et il n'y a aucun moyen de remédier à la situation, puisque seul le conducteur profite d'un levier pour monter ou abaisser son siège. Le siège est confortable et offre un bon maintien latéral, mais sa glissière est trop basse et agace les passagers.
Ensemble sport
L'ensemble sport constitue une option très intéressante à 2 500 $ dans le cas de la berline et de 3 300 $ pour la version à 5 portes. Il vaut son pesant d'or dans nos conditions hivernales : des sièges avant chauffants, une bande dégivrante des essuie-glaces à la base du pare-brise. Pour la conduite, on profite d'un système de freinage antiblocage à quatre disques de série, d'une assistance au freinage d'urgence, du système de contrôle dynamique du véhicule et de l'antipatinage à l'accélération. Pour ce qui est de l'allure, on ajoute des roues de 16 pouces en alliage et les phares antibrouillard. La version à 5 portes obtient des moulures latérales à effet de sol et un becquet arrière très discret de même que le cache-bagages rétractable. Les jeunes ont apprécié la chaîne audio avec lecteur de 6 CD et le système ambiophonique. On l'entend. Les commandes de cette chaîne se retrouvent au volant de même que celles du régulateur de vitesse.
Sur la route
La grande différence entre l'ancienne et la nouvelle réside dans la douceur de roulement. Alors qu'on s'attendait à une portée plutôt ferme, on découvre un roulement doux, même sur les surfaces bosselées. Catherine résume ainsi son expérience : « On dirait que je conduis une Legacy. » Mais la tenue de route étonne. Les deux versions collent à la route. Elles se faufilent aisément en circulation urbaine. Sur l'autoroute, on entend des bruits de vent. La version sport offre une adhérence supérieure car, avec ses aides à la conduite, elle prévient des limites plus rapidement et compense l'erreur humaine. Catherine et moi avons partagé le plaisir de conduire ces nouvelles Subaru. Pour nous, la tenue de route prime sur tout. Mais cette fois, on se fait moins brasser. Si ces nouvelles Impreza plaisent, on réalise que leurs performances ont légèrement régressé. L'ajout de poids de 20 kilos y est sûrement pour quelque chose.
Assis trop bas
C'est un reproche unanime de la part des passagers à l'avant. Et il n'y a aucun moyen de remédier à la situation, puisque seul le conducteur profite d'un levier pour monter ou abaisser son siège. Le siège est confortable et offre un bon maintien latéral, mais sa glissière est trop basse et agace les passagers.
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| Seul le siège du conducteur peut être ajusté en hauteur. |
Ensemble sport
L'ensemble sport constitue une option très intéressante à 2 500 $ dans le cas de la berline et de 3 300 $ pour la version à 5 portes. Il vaut son pesant d'or dans nos conditions hivernales : des sièges avant chauffants, une bande dégivrante des essuie-glaces à la base du pare-brise. Pour la conduite, on profite d'un système de freinage antiblocage à quatre disques de série, d'une assistance au freinage d'urgence, du système de contrôle dynamique du véhicule et de l'antipatinage à l'accélération. Pour ce qui est de l'allure, on ajoute des roues de 16 pouces en alliage et les phares antibrouillard. La version à 5 portes obtient des moulures latérales à effet de sol et un becquet arrière très discret de même que le cache-bagages rétractable. Les jeunes ont apprécié la chaîne audio avec lecteur de 6 CD et le système ambiophonique. On l'entend. Les commandes de cette chaîne se retrouvent au volant de même que celles du régulateur de vitesse.
Sur la route
La grande différence entre l'ancienne et la nouvelle réside dans la douceur de roulement. Alors qu'on s'attendait à une portée plutôt ferme, on découvre un roulement doux, même sur les surfaces bosselées. Catherine résume ainsi son expérience : « On dirait que je conduis une Legacy. » Mais la tenue de route étonne. Les deux versions collent à la route. Elles se faufilent aisément en circulation urbaine. Sur l'autoroute, on entend des bruits de vent. La version sport offre une adhérence supérieure car, avec ses aides à la conduite, elle prévient des limites plus rapidement et compense l'erreur humaine. Catherine et moi avons partagé le plaisir de conduire ces nouvelles Subaru. Pour nous, la tenue de route prime sur tout. Mais cette fois, on se fait moins brasser. Si ces nouvelles Impreza plaisent, on réalise que leurs performances ont légèrement régressé. L'ajout de poids de 20 kilos y est sûrement pour quelque chose.
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| L'Impreza 2.5i à 5 portes équipée du groupe sport. |