Suzuki a amorcé une procédure légale avec la Cour Internationale d'Arbitrage de Londres pour contraindre Volkswagen AG à se débarrasser de la participation de 19,9% qu'elle détient dans son entreprise.
La nouvelle d'aujourd'hui fait suite à la rupture de l'alliance entre les deux constructeurs, officialisée le 18 novembre.
Rappelons que Volkswagen avait crucifié Suzuki sur la place publique en septembre dernier, accusant le fabricant japonais d'avoir violé les termes de l'entente en fournissant des moteurs diesel à Fiat.
Suzuki, déplorant la trop grande implication du géant allemand dans la gestion de ses affaires, avait subséquemment demandé le divorce.
Depuis, le torchon brûle entre les deux entreprises, Volkswagen refusant prétendument de répondre au souhait de Suzuki, qui désire reprendre possession de ses actions pour clore cette collaboration infructueuse.
La nouvelle d'aujourd'hui fait suite à la rupture de l'alliance entre les deux constructeurs, officialisée le 18 novembre.
Rappelons que Volkswagen avait crucifié Suzuki sur la place publique en septembre dernier, accusant le fabricant japonais d'avoir violé les termes de l'entente en fournissant des moteurs diesel à Fiat.
Suzuki, déplorant la trop grande implication du géant allemand dans la gestion de ses affaires, avait subséquemment demandé le divorce.
Depuis, le torchon brûle entre les deux entreprises, Volkswagen refusant prétendument de répondre au souhait de Suzuki, qui désire reprendre possession de ses actions pour clore cette collaboration infructueuse.