C’est le 31 octobre 1957 que les Américains découvrent le constructeur Toyota, qui débute la commercialisation de sa Toyopet. Et bien que le fabricant nippon connaisse une très grande popularité au pays de l’Oncle Sam de nos jours, il n’en a pas toujours été ainsi.
En effet, la Toyopet, bien qu’abordable, n’offrait pas à l’époque la qualité de construction ni le niveau de confort des voitures américaines. Par ailleurs, Toyota a même affirmé – plus tard – que sa Toyopet était une voiture « bruyante, et émettait des sons inquiétants en montée ». En 1965, seules 2314 unités ont été écoulées et Toyota décide de la remplacer par la Corona.
Cette dernière a remporté un vif succès, si bien qu’en 1969 Toyota devient le 2e constructeur de voitures d’importation aux États-Unis, tout juste derrière Volkswagen. Avec les années, les voitures Toyota se sont forgé une réputation de fiabilité et d’économie, et les constructeurs américains, largués, ont mis des années à remonter la pente.
Source : Le Devoir
En effet, la Toyopet, bien qu’abordable, n’offrait pas à l’époque la qualité de construction ni le niveau de confort des voitures américaines. Par ailleurs, Toyota a même affirmé – plus tard – que sa Toyopet était une voiture « bruyante, et émettait des sons inquiétants en montée ». En 1965, seules 2314 unités ont été écoulées et Toyota décide de la remplacer par la Corona.
Cette dernière a remporté un vif succès, si bien qu’en 1969 Toyota devient le 2e constructeur de voitures d’importation aux États-Unis, tout juste derrière Volkswagen. Avec les années, les voitures Toyota se sont forgé une réputation de fiabilité et d’économie, et les constructeurs américains, largués, ont mis des années à remonter la pente.
Source : Le Devoir
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| Photo: Toyota |