D’abord, permettez-moi de me contredire : malgré mes commentaires précédents à l’égard du look bizarrement rétro du FJ, ce vilain petit canard a réussi à me séduire tel un chien errant dont la personnalité charmante lui vaut un nonos à la place de réprimandes.
Plus de punch pour moins de liquide en 2010
Dans la tradition du classique FJ40 Landcruiser, le FJ Cruiser d’aujourd’hui ne plaisante pas à propos de compétences tout terrain. Toyota a insufflé toute son expérience de conquête de terrains redoutables dans son FJ de taille et de prix intermédiaire, et pour 2010 le constructeur lui a légué plus de puissance et une meilleure consommation.
Le même V6 à DACT de 4,0 litres anime le FJ, mais il profite désormais d’une distribution à programme variable et intelligente ainsi que de nouveaux culbuteurs. La puissance nominale s’élève ainsi à 259 ch à 5 600 tours et 270 pi-lb de couple à 4 400 tours.
Cette constitution plus musclée est secondée par une meilleure efficacité énergétique, la cote de consommation étant désormais fixée à 12,5 L/100 km en ville et 9,6 L/100 km sur la route à l’aide de la boîte automatique à 5 rapports.
Étonnamment, lorsqu’il compte sur la boîte manuelle à 6 rapports, le FJ ne se fait pas si économique. Ainsi, il affiche une cote de 13,7 L et 10,3 L/100 km en ville et sur la route, respectivement… ce qui va quelque peu à l’encontre de tout ce que nous savons sur l’efficacité énergétique et les boîtes manuelles.
Peu importe son appétit, le moteur offre de belles performances réelles à bas régime. En effet, les gouttes de sueur se font rares quand il doit maintenir l’entrain du FJ.
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| Le FJ Cruiser d’aujourd’hui ne plaisante pas à propos de compétences tout terrain. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Plus de punch pour moins de liquide en 2010
Dans la tradition du classique FJ40 Landcruiser, le FJ Cruiser d’aujourd’hui ne plaisante pas à propos de compétences tout terrain. Toyota a insufflé toute son expérience de conquête de terrains redoutables dans son FJ de taille et de prix intermédiaire, et pour 2010 le constructeur lui a légué plus de puissance et une meilleure consommation.
Le même V6 à DACT de 4,0 litres anime le FJ, mais il profite désormais d’une distribution à programme variable et intelligente ainsi que de nouveaux culbuteurs. La puissance nominale s’élève ainsi à 259 ch à 5 600 tours et 270 pi-lb de couple à 4 400 tours.
Cette constitution plus musclée est secondée par une meilleure efficacité énergétique, la cote de consommation étant désormais fixée à 12,5 L/100 km en ville et 9,6 L/100 km sur la route à l’aide de la boîte automatique à 5 rapports.
Étonnamment, lorsqu’il compte sur la boîte manuelle à 6 rapports, le FJ ne se fait pas si économique. Ainsi, il affiche une cote de 13,7 L et 10,3 L/100 km en ville et sur la route, respectivement… ce qui va quelque peu à l’encontre de tout ce que nous savons sur l’efficacité énergétique et les boîtes manuelles.
Peu importe son appétit, le moteur offre de belles performances réelles à bas régime. En effet, les gouttes de sueur se font rares quand il doit maintenir l’entrain du FJ.
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| Peu importe son appétit, le moteur offre de belles performances réelles à bas régime. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |