Un moteur, et c'est tout
Parce que notre version d'essai était la version de base, le Toyota Highlander testé se contentait du moteur 4 cylindres de base jumelé à la transmission automatique 6 vitesses, et du système traditionnel de traction avant. Pas question ici de conduite sportive ou de traction intégrale, le Toyota Highlander de base se veut un véhicule familial capable se prétend un grand routier autant qu’un petit véhicule de ville. Et dans les deux cas, il atteint bien son objectif.
Bien que le journaliste et pilote en moi aurait bien pris quelques chevaux de plus, et un peu plus de nerf au démarrage, puisque le poids relatif du véhicule, additionné au petit moteur 2,7 litres de 187 chevaux a d'abord comme mission de mouvoir le véhicule, tout en le gardant au plus bas de sa gourmandise.
De ce point de vue, mission accomplie. Il se déplace, interprète aisément son rôle en zone urbaine, et même sur la longue route 401 qui sépare Montréal de Toronto, le Toyota Highlander a transporté avec aisance quelques adultes et leur équipement, sans jamais montrer de fatigue. Sauf évidemment, si par hasard, on tentait une reprise dynamique... le Highlander manquait un peu de souffle, et faisait entendre un grognement de mécontentement, mais finissait par remplir son mandat.
Évidemment, parce qu'il se veut d'abord familial, le Highlander mise surtout la carte du confort et de l'espace pour tous. Pas question de dynamique de conduite sur la fiche technique!
Conclusion
Efficace et sobre, le Toyota Highlander, version de base, accomplit la tâche qu'on a voulu lui assigner: un véhicule plus abordable, facile à conduire, et qui ne provoquera aucun mal de tête, ni frisson dans le ventre, à celui qui le mènera à bon port.
Pas question de sport ou d'usage réellement utilitaire non plus, puisque le Toyota Highlander est davantage une grosse familiale qu'un véritable modèle sport. Le Highlander n'est en fait qu'une Toyota Camry traitée à la sauce utilitaire sport.
photo:Philippe Champoux
Parce que notre version d'essai était la version de base, le Toyota Highlander testé se contentait du moteur 4 cylindres de base jumelé à la transmission automatique 6 vitesses, et du système traditionnel de traction avant. Pas question ici de conduite sportive ou de traction intégrale, le Toyota Highlander de base se veut un véhicule familial capable se prétend un grand routier autant qu’un petit véhicule de ville. Et dans les deux cas, il atteint bien son objectif.
Notre version d'essai était la version de base, le Toyota Highlander testé se contentait du moteur 4 cylindres de base. |
Bien que le journaliste et pilote en moi aurait bien pris quelques chevaux de plus, et un peu plus de nerf au démarrage, puisque le poids relatif du véhicule, additionné au petit moteur 2,7 litres de 187 chevaux a d'abord comme mission de mouvoir le véhicule, tout en le gardant au plus bas de sa gourmandise.
De ce point de vue, mission accomplie. Il se déplace, interprète aisément son rôle en zone urbaine, et même sur la longue route 401 qui sépare Montréal de Toronto, le Toyota Highlander a transporté avec aisance quelques adultes et leur équipement, sans jamais montrer de fatigue. Sauf évidemment, si par hasard, on tentait une reprise dynamique... le Highlander manquait un peu de souffle, et faisait entendre un grognement de mécontentement, mais finissait par remplir son mandat.
Évidemment, parce qu'il se veut d'abord familial, le Highlander mise surtout la carte du confort et de l'espace pour tous. Pas question de dynamique de conduite sur la fiche technique!
Conclusion
Efficace et sobre, le Toyota Highlander, version de base, accomplit la tâche qu'on a voulu lui assigner: un véhicule plus abordable, facile à conduire, et qui ne provoquera aucun mal de tête, ni frisson dans le ventre, à celui qui le mènera à bon port.
Pas question de sport ou d'usage réellement utilitaire non plus, puisque le Toyota Highlander est davantage une grosse familiale qu'un véritable modèle sport. Le Highlander n'est en fait qu'une Toyota Camry traitée à la sauce utilitaire sport.
Le Highlander mise surtout la carte du confort et de l'espace pour tous. |
photo:Philippe Champoux