Le Highlander Hybrid fonctionne grosso modo comme un véhicule à traction avant, jusqu'à ce qu'un dérapage soit détecté et que le moteur électrique arrière se mette de la partie. Enfin, on retrouve de série des freins à disque aux quatre roues et une suspension entièrement indépendante.
Le fait que le Highlander partage sa plateforme avec la Camry est, selon moi, un avantage. Comme on le répète ad nauseam, environ 95 % des propriétaires de VUS ne sortent jamais des sentiers battus. Ainsi, parce que la base provient d'une voiture, le roulement est plus souple et plus
confortable. Les crevasses et les cratères qui ponctuent les rues de Montréal dérangent très peu la conduite de ce Toyota. Par-dessus tout, la boîte à variation continue et à commande électronique (ECVT) est douce comme du velours.
La transition entre les divers modes d'entraînement est fluide et imperceptible. Que ce soit d'électrique à essence, ou vice-versa, le conducteur peut seulement être au courant de ce qui se passe en jetant un coup d'oeil à l'indicateur de puissance. En fait, il n'y a qu'au freinage que le changement est perceptible. Le Highlander recharge ses batteries en partie grâce au freinage régénérateur. Lorsque cela se produit, une certaine modulation de la pédale de frein est requise pour garder un contrôle total. Il s'avère que le débattement de la pédale est très long et que la puissance de freinage est plus faible que forte.
Sécurité
Le Highlander possède à ce chapitre deux coussins gonflables frontaux (plus des coussins et rideaux latéraux avec la version Limited) ainsi que des ceintures de sécurité à prétendeurs. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA, l'agence américaine de sécurité dans les transports) lui a donné une cote de cinq étoiles sur cinq pour tous les occupants, lors de ses essais de collisions frontales et latérales. L'Insurance Institute for Highway Safety (IIHS, l'institut d'assurance pour la sécurité dans les transports) l'a qualifié de « bon » dans sa catégorie.
Conclusion
Quel supplément une personne devrait-elle payer pour réduire sa dépendance à l'essence et moins polluer? Dans le cas du Highlander Hybrid, il en coûte approximativement 7 000 $ de plus qu'un Highlander régulier semblablement équipé. Le problème, c'est que le segment des utilitaires de luxe débute à près de 55 000 $, avec des modèles comme
l'Acura MDX et le Lexus RX330. Je persiste à croire que des versions dépouillées du Highlander Hybrid devraient être offertes. Après tout, si nous essayons de réduire notre dépendance, il est logique que les véhicules que nous achetons soient plus abordables, n'est-ce pas?
Parce qu'il s'agit d'un produit Toyota, je n'ai aucune crainte, en ce qui concerne sa qualité et sa fiabilité. Les problèmes rencontrés seront corrigés par un constructeur qui ne reste pas assis pendant que les autres développent de nouvelles technologies pour améliorer notre planète.
Je n'ai pas oublié non plus le rôle de pionnier qu'a joué Ford avec son Escape Hybrid. Toutefois, considérant l'envergure du segment des VUS intermédiaires dans le marché, ils ne se concurrencent pas directement (en théorie).
<span style="font-weight: bold;"]Points forts[/link]
Excellente puissance
Qualité Toyota
Points faibles
Puissance élevée, mais consommation d'essence élevée
Le fait que le Highlander partage sa plateforme avec la Camry est, selon moi, un avantage. Comme on le répète ad nauseam, environ 95 % des propriétaires de VUS ne sortent jamais des sentiers battus. Ainsi, parce que la base provient d'une voiture, le roulement est plus souple et plus
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| (Photo: Mathieu St-Pierre) |
La transition entre les divers modes d'entraînement est fluide et imperceptible. Que ce soit d'électrique à essence, ou vice-versa, le conducteur peut seulement être au courant de ce qui se passe en jetant un coup d'oeil à l'indicateur de puissance. En fait, il n'y a qu'au freinage que le changement est perceptible. Le Highlander recharge ses batteries en partie grâce au freinage régénérateur. Lorsque cela se produit, une certaine modulation de la pédale de frein est requise pour garder un contrôle total. Il s'avère que le débattement de la pédale est très long et que la puissance de freinage est plus faible que forte.
Sécurité
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| (Photo: Mathieu St-Pierre) |
Conclusion
Quel supplément une personne devrait-elle payer pour réduire sa dépendance à l'essence et moins polluer? Dans le cas du Highlander Hybrid, il en coûte approximativement 7 000 $ de plus qu'un Highlander régulier semblablement équipé. Le problème, c'est que le segment des utilitaires de luxe débute à près de 55 000 $, avec des modèles comme
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| (Photo: Mathieu St-Pierre) |
Parce qu'il s'agit d'un produit Toyota, je n'ai aucune crainte, en ce qui concerne sa qualité et sa fiabilité. Les problèmes rencontrés seront corrigés par un constructeur qui ne reste pas assis pendant que les autres développent de nouvelles technologies pour améliorer notre planète.
Je n'ai pas oublié non plus le rôle de pionnier qu'a joué Ford avec son Escape Hybrid. Toutefois, considérant l'envergure du segment des VUS intermédiaires dans le marché, ils ne se concurrencent pas directement (en théorie).
<span style="font-weight: bold;"]Points forts[/link]
Excellente puissance
Qualité Toyota
Points faibles
Puissance élevée, mais consommation d'essence élevée
| (Photo: Mathieu St-Pierre) Concurrence Non hybrides [link artid="54724"]Honda Pilot[/link] Ford Explorer [link artid="54543">Subaru B9 Tribeca Luxe Acura MDX Lexus RX330 BMW X5 3.0i |
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