Pilotage tout en douceur
Conduire le Highlander Hybride demande une certaine adaptation. En ce qui a trait à la position de conduite et aux commandes, il n'y a peu ou pas de changement. La version Limited a tout son charme avec ses nombreux réglages permettant de trouver une très bonne position de conduite reposante. Son groupe motopropulseur demande une certaine adaptation. À l'arrêt, il arrive même de croire ses moteurs arrêtés, même si la clef de contact ou le mode marche est allumé, puisqu'on démarre le véhicule à l'aide d'un bouton et non de la clef dans la version Limited. À quelques reprises, mon collègue caméraman a laissé le véhicule en mode marche, croyant le moteur éteint. Il avait en partie raison. Le moteur à explosion tourne rarement quand on est garé, à moins de devoir recharger la batterie dans de rares occasions. Le silence en mode marche devient un aspect de sécurité à surveiller. Les piétons ne l'entendent pas venir. Il faut doubler d'attention aux intersections pour les protéger d'eux-mêmes.
Un autre changement dans la conduite réside dans les accélérations et les changements de rapports. Avec la boîte de vitesses à variation continue, fini les changements de rapports. Les accélérations rapides font appels aux deux modes de motorisation (carburant et électricité) : là, on entend gémir le V6 de 3,3 litres qui s'efforce de donner la répartie à son homonyme électrique pour déplacer ces 2105 kilos, sans compter l'équipement que nous possédions.
En dehors de ces efforts lors des dépassements, seuls les bruits éoliens à 110 km/h ou plus troublaient notre quiétude. Le Highlander Hybride se conduit en douceur et n'a aucune prétention sportive. Son système de transmission intégrale lui assure une bonne motricité en tout temps, mais il faut se rappeler le poids de cet engin lors des freinages et des manoeuvres sur des surfaces détrempés ou glissantes. Il n'aime pas être brusqué. Je dois avouer qu'on n'en ressent pas le besoin. Bien que Toyota annonce une consommation de 8 litres aux 100 kilomètres, nous avons obtenu une moyenne de 12,3 litres aux 100 kilomètres. Je n'en suis ni surpris ni déçu, car il ventait beaucoup sur les autoroutes 40 et 417. À vide, on se rapprochera des 10 litres aux 100 kilomètres.
Tout se fait en douceur
Peut-être est-ce le fait qu'il s'agissait d'un véhicule à propulsion Hybride, et que le litre de carburant se vendait à 1,37 $, mais la conduite de cet Highlander Hybride Limited en appelait au calme, à la sérénité. Voilà, ç'a été un plaisir de rouler dans le calme et au son de la musique de mon iPod...
photo:Amyot Bachand
Conduire le Highlander Hybride demande une certaine adaptation. En ce qui a trait à la position de conduite et aux commandes, il n'y a peu ou pas de changement. La version Limited a tout son charme avec ses nombreux réglages permettant de trouver une très bonne position de conduite reposante. Son groupe motopropulseur demande une certaine adaptation. À l'arrêt, il arrive même de croire ses moteurs arrêtés, même si la clef de contact ou le mode marche est allumé, puisqu'on démarre le véhicule à l'aide d'un bouton et non de la clef dans la version Limited. À quelques reprises, mon collègue caméraman a laissé le véhicule en mode marche, croyant le moteur éteint. Il avait en partie raison. Le moteur à explosion tourne rarement quand on est garé, à moins de devoir recharger la batterie dans de rares occasions. Le silence en mode marche devient un aspect de sécurité à surveiller. Les piétons ne l'entendent pas venir. Il faut doubler d'attention aux intersections pour les protéger d'eux-mêmes.
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| Le V6 de 3,3 litres s'efforce de donner la répartie à son homonyme électrique pour déplacer ces 2105 kilos. |
Un autre changement dans la conduite réside dans les accélérations et les changements de rapports. Avec la boîte de vitesses à variation continue, fini les changements de rapports. Les accélérations rapides font appels aux deux modes de motorisation (carburant et électricité) : là, on entend gémir le V6 de 3,3 litres qui s'efforce de donner la répartie à son homonyme électrique pour déplacer ces 2105 kilos, sans compter l'équipement que nous possédions.
En dehors de ces efforts lors des dépassements, seuls les bruits éoliens à 110 km/h ou plus troublaient notre quiétude. Le Highlander Hybride se conduit en douceur et n'a aucune prétention sportive. Son système de transmission intégrale lui assure une bonne motricité en tout temps, mais il faut se rappeler le poids de cet engin lors des freinages et des manoeuvres sur des surfaces détrempés ou glissantes. Il n'aime pas être brusqué. Je dois avouer qu'on n'en ressent pas le besoin. Bien que Toyota annonce une consommation de 8 litres aux 100 kilomètres, nous avons obtenu une moyenne de 12,3 litres aux 100 kilomètres. Je n'en suis ni surpris ni déçu, car il ventait beaucoup sur les autoroutes 40 et 417. À vide, on se rapprochera des 10 litres aux 100 kilomètres.
Tout se fait en douceur
Peut-être est-ce le fait qu'il s'agissait d'un véhicule à propulsion Hybride, et que le litre de carburant se vendait à 1,37 $, mais la conduite de cet Highlander Hybride Limited en appelait au calme, à la sérénité. Voilà, ç'a été un plaisir de rouler dans le calme et au son de la musique de mon iPod...
photo:Amyot Bachand
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