L’accès y est aisé, et on trouve suffisamment de rangement à portée de la main pour les petits articles. Les sièges arrière se rabattent pour accueillir de gros objets, et il y a même un petit espace de rangement couvert sous le plancher arrière.
Si vous êtes friand de dernier cri et de haute technologie, vous adorerez l’habitacle de la Prius. Et personne n’a besoin de savoir que vous faites semblant de piloter une fusée non plus. Certains souhaiteraient peut-être plus de couleur ou de contraste à l’intérieur, et il est vrai que la Honda Insight offre des instruments plus faciles à lire et un aménagement plus traditionnel.
Un bémol? Les grands passagers souhaiteront plus de dégagement pour la tête, et les passagers arrière plus grands que la moyenne trouveront que le dégagement pour les épaules est limité. Enfin, la forme bizarre des fenêtres du hayon peut gêner la vue arrière.
Sur la route
La Prius circule paisiblement, atténuant très bien les bruits. La suspension est confortable sans être mielleuse, et elle absorbe bien à peu près tout. À noter que les jantes de 17 pouces optionnelles peuvent attaquer les surfaces raboteuses de façon brusque et bruyante.
La Prius s’agrippe solidement à la route par grand vent. Là où la Honda Insight peut ressembler à un cerf-volant à quatre roues pris dans des vents de travers, la Prius semble relativement bien plantée. Par ailleurs, contrairement à la génération précédente, le volant semble relié à quelque chose.
Le conducteur peut même choisir parmi différents degrés de sensibilité du groupe motopropulseur, selon son humeur et les conditions. Un mode par défaut offre un bon rendement général de l’accélérateur, tandis que le mode « ECO » apaise la voiture et économise le carburant. Ce mode ne vous sera toutefois utile que si vous n’êtes pas pressé.
Un mode « Power » aiguise les réactions et améliore les performances : il est idéal pour se fondre dans la circulation et dépasser ou lorsqu’on est en retard. À l’opposé, le mode « Electric Vehicle » (EV) oblige la Prius à fonctionner uniquement à l’aide de la batterie pour de courts trajets à basse vitesse.
Des performances étonnantes
La grande surprise de mon essai était la puissance générée par la Prius. L’augmentation de puissance de 22 % par rapport au modèle précédent se traduit par des accélérations enthousiastes et des dépassements énergiques lorsque le véhicule est sollicité. La Prius avance très bien lorsqu’on la pousse, offrant beaucoup de pep afin de doubler les 18-roues en toute confiance. Plus besoin de jumelles pour dépasser quelqu’un.
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| La suspension est confortable sans être mielleuse, et elle absorbe bien à peu près tout. |
Si vous êtes friand de dernier cri et de haute technologie, vous adorerez l’habitacle de la Prius. Et personne n’a besoin de savoir que vous faites semblant de piloter une fusée non plus. Certains souhaiteraient peut-être plus de couleur ou de contraste à l’intérieur, et il est vrai que la Honda Insight offre des instruments plus faciles à lire et un aménagement plus traditionnel.
Un bémol? Les grands passagers souhaiteront plus de dégagement pour la tête, et les passagers arrière plus grands que la moyenne trouveront que le dégagement pour les épaules est limité. Enfin, la forme bizarre des fenêtres du hayon peut gêner la vue arrière.
Sur la route
La Prius circule paisiblement, atténuant très bien les bruits. La suspension est confortable sans être mielleuse, et elle absorbe bien à peu près tout. À noter que les jantes de 17 pouces optionnelles peuvent attaquer les surfaces raboteuses de façon brusque et bruyante.
La Prius s’agrippe solidement à la route par grand vent. Là où la Honda Insight peut ressembler à un cerf-volant à quatre roues pris dans des vents de travers, la Prius semble relativement bien plantée. Par ailleurs, contrairement à la génération précédente, le volant semble relié à quelque chose.
Le conducteur peut même choisir parmi différents degrés de sensibilité du groupe motopropulseur, selon son humeur et les conditions. Un mode par défaut offre un bon rendement général de l’accélérateur, tandis que le mode « ECO » apaise la voiture et économise le carburant. Ce mode ne vous sera toutefois utile que si vous n’êtes pas pressé.
Un mode « Power » aiguise les réactions et améliore les performances : il est idéal pour se fondre dans la circulation et dépasser ou lorsqu’on est en retard. À l’opposé, le mode « Electric Vehicle » (EV) oblige la Prius à fonctionner uniquement à l’aide de la batterie pour de courts trajets à basse vitesse.
Des performances étonnantes
La grande surprise de mon essai était la puissance générée par la Prius. L’augmentation de puissance de 22 % par rapport au modèle précédent se traduit par des accélérations enthousiastes et des dépassements énergiques lorsque le véhicule est sollicité. La Prius avance très bien lorsqu’on la pousse, offrant beaucoup de pep afin de doubler les 18-roues en toute confiance. Plus besoin de jumelles pour dépasser quelqu’un.
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| Le mode « Electric Vehicle » oblige la Prius à fonctionner uniquement à l’aide de la batterie pour de courts trajets à basse vitesse. |