La spacieuse Toyota Camry Hybride poursuit son évolution tout en restant à l’avant-garde du mouvement hybride, mais elle ne fait désormais plus cavalier seul sur le front. La nouvelle Fusion Hybride de Ford a reçu bien des éloges, tout comme la Malibu Hybride de Chevrolet.
Ce créneau compétitif de berlines à quatre portières tournées vers l’avenir s’enracine progressivement dans la normalité automobile, pour le bien à la fois du consommateur et de l’environnement.
Robe rafraîchie
On a subtilement revu la robe de la Camry Hybride, surtout autour du carénage avant et de la calandre. Le nez me paraît plus bulbeux et les ailes plus définies là où elles se fondent au pare-choc avant.
Toyota avait appliqué une méthode semblable à la Prius pour 2010. Si je comprends bien, ce nez retravaillé et ces ailes avant étendues réduisent le coefficient de traînée du véhicule et en améliorent ainsi la consommation.
Bien que je ne trouve pas ce museau particulièrement attrayant, j’approuve certainement son but. Le reste de la Camry est attirant, mais un tantinet banal, exception faite de l’habitacle.
Un habitacle haut de gamme qui apaise
L’habitacle garni de tissu de mon modèle d’essai était fini en couleurs pâles accentuées par un tableau de bord brun foncé, de touches satinées et de garnitures vitrées. La qualité du montage était superbe, et les matériaux utilisés étaient essentiellement doux au toucher.
Le dégagement pour la tête et les jambes des cinq places est plus qu’adéquat, mais on ne peut dire de même pour la longueur des coussins des trônes avant. Ils étaient un peu trop courts pour offrir à mes grandes cannes le degré de soutien que je préfère. Une peccadille, certes, mais elle en vaut tout de même la mention.
Outre ce petit grief, je fus très impressionné par l’architecture interne de la Camry.
Également digne de mention est l’étonnant éventail de commodités pratiques et confortables offertes de série, dont la technologie de clé intelligente, le démarrage par bouton-poussoir et une puissante chaîne audio JBL.
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| La spacieuse Toyota Camry poursuit son évolution tout en restant à l’avant-garde du mouvement hybride. |
Ce créneau compétitif de berlines à quatre portières tournées vers l’avenir s’enracine progressivement dans la normalité automobile, pour le bien à la fois du consommateur et de l’environnement.
Robe rafraîchie
On a subtilement revu la robe de la Camry Hybride, surtout autour du carénage avant et de la calandre. Le nez me paraît plus bulbeux et les ailes plus définies là où elles se fondent au pare-choc avant.
Toyota avait appliqué une méthode semblable à la Prius pour 2010. Si je comprends bien, ce nez retravaillé et ces ailes avant étendues réduisent le coefficient de traînée du véhicule et en améliorent ainsi la consommation.
Bien que je ne trouve pas ce museau particulièrement attrayant, j’approuve certainement son but. Le reste de la Camry est attirant, mais un tantinet banal, exception faite de l’habitacle.
Un habitacle haut de gamme qui apaise
L’habitacle garni de tissu de mon modèle d’essai était fini en couleurs pâles accentuées par un tableau de bord brun foncé, de touches satinées et de garnitures vitrées. La qualité du montage était superbe, et les matériaux utilisés étaient essentiellement doux au toucher.
Le dégagement pour la tête et les jambes des cinq places est plus qu’adéquat, mais on ne peut dire de même pour la longueur des coussins des trônes avant. Ils étaient un peu trop courts pour offrir à mes grandes cannes le degré de soutien que je préfère. Une peccadille, certes, mais elle en vaut tout de même la mention.
Outre ce petit grief, je fus très impressionné par l’architecture interne de la Camry.
Également digne de mention est l’étonnant éventail de commodités pratiques et confortables offertes de série, dont la technologie de clé intelligente, le démarrage par bouton-poussoir et une puissante chaîne audio JBL.
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| La qualité du montage était superbe, et les matériaux utilisés étaient essentiellement doux au toucher. |