Question de taille
Le Venza n’est pas qu’une simple Camry gonflée aux stéroïdes; c’est un grand véhicule familial qui dorlote ses occupants avec soin. Le dégagement pour les jambes, les épaules et la tête aux cinq places est plus que généreux. Les passagers arrière sauront apprécier davantage les longues promenades grâce aux dossiers divisés 60/40 qui s’inclinent vers l’arrière à différents degrés.
Même quand tous les sièges sont occupés, le Venza offre un bon volume de chargement entre lesdits dossiers et le hayon à ouverture verticale. Les objets hauts de taille risquent de poser problème en raison de la ligne de toit basse et plutôt inclinée à l’arrière. Toutefois, on peut les coucher et les charger facilement grâce aux sièges rabattables qui créent une aire plane et vaste.
Sur la route
Dès les premiers tours de roues, le Toyota Venza 2009 procure une sensation relevée qui ne cadre pas avec son caractère abordable. Le tout ne fait que s’accentuer au fur et à mesure que l’on se fusionne avec le volant et le siège du conducteur. Ce véhicule n’a absolument rien de négligé et de bon marché.
Cela dit, ne vous attendez pas à ce que le Venza fasse couler l’adrénaline des mordus de conduite (ce n’est pas sa clientèle cible, après tout). La servodirection beaucoup trop assistée (lire : artificielle et peu inspirante) constitue un gros handicap. Bref, oubliez toute prétention sportive.
Le Venza est par contre relaxant à conduire et, malgré ses roues de 19 pouces et sa position de conduite élevée, il se comporte comme une automobile. Le roulement est souple mais pas autant qu’avec une grande berline de tourisme. Personne ne s’en plaindra, bien sûr. En revanche, le manque de visibilité arrière a de quoi irriter, surtout lors des stationnements en parallèle.
Le Venza n’est pas qu’une simple Camry gonflée aux stéroïdes; c’est un grand véhicule familial qui dorlote ses occupants avec soin. Le dégagement pour les jambes, les épaules et la tête aux cinq places est plus que généreux. Les passagers arrière sauront apprécier davantage les longues promenades grâce aux dossiers divisés 60/40 qui s’inclinent vers l’arrière à différents degrés.
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| Le dégagement pour les jambes, les épaules et la tête aux cinq places est plus que généreux. |
Même quand tous les sièges sont occupés, le Venza offre un bon volume de chargement entre lesdits dossiers et le hayon à ouverture verticale. Les objets hauts de taille risquent de poser problème en raison de la ligne de toit basse et plutôt inclinée à l’arrière. Toutefois, on peut les coucher et les charger facilement grâce aux sièges rabattables qui créent une aire plane et vaste.
Sur la route
Dès les premiers tours de roues, le Toyota Venza 2009 procure une sensation relevée qui ne cadre pas avec son caractère abordable. Le tout ne fait que s’accentuer au fur et à mesure que l’on se fusionne avec le volant et le siège du conducteur. Ce véhicule n’a absolument rien de négligé et de bon marché.
Cela dit, ne vous attendez pas à ce que le Venza fasse couler l’adrénaline des mordus de conduite (ce n’est pas sa clientèle cible, après tout). La servodirection beaucoup trop assistée (lire : artificielle et peu inspirante) constitue un gros handicap. Bref, oubliez toute prétention sportive.
Le Venza est par contre relaxant à conduire et, malgré ses roues de 19 pouces et sa position de conduite élevée, il se comporte comme une automobile. Le roulement est souple mais pas autant qu’avec une grande berline de tourisme. Personne ne s’en plaindra, bien sûr. En revanche, le manque de visibilité arrière a de quoi irriter, surtout lors des stationnements en parallèle.
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| Le Venza est par contre relaxant à conduire et, malgré ses roues de 19 pouces et sa position de conduite élevée, il se comporte comme une automobile. |