Comme une grosse voiture
Le hayon électrique s'ouvre pour révéler une aire de chargement au volume raisonnable. Bien entendu, les dossiers arrière se rabattent pour permettre de loger de gros items. Ici, le Venza n'est pas aussi accommodant qu'un vrai utilitaire, mais il se montre quand même flexible et polyvalent.
Entrer et sortir du véhicule sont un jeu d'enfant; au lieu de devoir grimper, on n'a qu'à se glisser dans les sièges. La position de conduite est basse et typique d'une voiture.
Des reproches? Il y a certes des garnitures intérieures dont la qualité pourrait être améliorée et la visibilité arrière est médiocre étant donné la ligne de toit plongeante du Venza. De plus, l'habitacle est moins bien isolé contre le bruit du vent et de la route que ce à quoi je m'attendais.
Vive la traction!
Sous le capot, mon modèle d'essai cachait un V6 de 3,5 litres qui développe 268 chevaux via une boîte automatique à six rapports avec mode manuel. Ce moteur déplace le Venza avec douceur et tranquillité. Quand on appuie à fond, par contre, il démontre une fougue étonnante. La puissance disponible est amplement suffisante pour la majorité des conducteurs. Mine de rien, ce bolide enfile les intersections et dépasse d'autres véhicules avec une aisance et une efficacité remarquables.
La consommation d'essence moyenne s'est chiffrée à environ 11 litres aux 100 kilomètres lors de mon essai routier. Pour les intéressés, un moteur à quatre cylindres de 2,7 litres développant 189 chevaux est inclus de série, alors oubliez l'option du V6 si vous désirez sauver de l'argent à la pompe. Dans les deux cas, cependant, la traction intégrale est proposée.
Les conducteurs attentifs noteront que la motricité est un peu moins fluide qu'avec les systèmes de traction intégrale de Subaru ou d'Audi. En effet, le Venza autorise pas mal de patinage des roues avant et d'effet de couple avant que les roues arrière ne s'activent. Bref, dans ce cas-ci, la traction intégrale est davantage une mesure de stabilité accrue qu'une bonification à la performance.
C'est parfait, puisque la tenue de route et le roulement du Toyota Venza sont plus axés sur le confort que la sportivité. La maniabilité n'a rien de particulièrement excitant ou spectaculaire, mais les freins sont puissants, la conduite est confortable, voire raffinée, et la sensation de solidité sur la route est géniale.
Le Venza en bref
En bout de ligne, le Toyota Venza 2009 s'impose comme un multisegments élégant, flexible et confortable offrant une belle dose de puissance et de sophistication. Malgré son V6 musclé, il ne fera pas couler l'adrénaline des mordus du volant, mais il représente un compromis presque idéal entre une berline et un utilitaire sport (ou mini-fourgonnette).
photo:Justin Pritchard
Le hayon électrique s'ouvre pour révéler une aire de chargement au volume raisonnable. Bien entendu, les dossiers arrière se rabattent pour permettre de loger de gros items. Ici, le Venza n'est pas aussi accommodant qu'un vrai utilitaire, mais il se montre quand même flexible et polyvalent.
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| Le hayon électrique s'ouvre pour révéler une aire de chargement au volume raisonnable. |
Entrer et sortir du véhicule sont un jeu d'enfant; au lieu de devoir grimper, on n'a qu'à se glisser dans les sièges. La position de conduite est basse et typique d'une voiture.
Des reproches? Il y a certes des garnitures intérieures dont la qualité pourrait être améliorée et la visibilité arrière est médiocre étant donné la ligne de toit plongeante du Venza. De plus, l'habitacle est moins bien isolé contre le bruit du vent et de la route que ce à quoi je m'attendais.
Vive la traction!
Sous le capot, mon modèle d'essai cachait un V6 de 3,5 litres qui développe 268 chevaux via une boîte automatique à six rapports avec mode manuel. Ce moteur déplace le Venza avec douceur et tranquillité. Quand on appuie à fond, par contre, il démontre une fougue étonnante. La puissance disponible est amplement suffisante pour la majorité des conducteurs. Mine de rien, ce bolide enfile les intersections et dépasse d'autres véhicules avec une aisance et une efficacité remarquables.
La consommation d'essence moyenne s'est chiffrée à environ 11 litres aux 100 kilomètres lors de mon essai routier. Pour les intéressés, un moteur à quatre cylindres de 2,7 litres développant 189 chevaux est inclus de série, alors oubliez l'option du V6 si vous désirez sauver de l'argent à la pompe. Dans les deux cas, cependant, la traction intégrale est proposée.
Les conducteurs attentifs noteront que la motricité est un peu moins fluide qu'avec les systèmes de traction intégrale de Subaru ou d'Audi. En effet, le Venza autorise pas mal de patinage des roues avant et d'effet de couple avant que les roues arrière ne s'activent. Bref, dans ce cas-ci, la traction intégrale est davantage une mesure de stabilité accrue qu'une bonification à la performance.
C'est parfait, puisque la tenue de route et le roulement du Toyota Venza sont plus axés sur le confort que la sportivité. La maniabilité n'a rien de particulièrement excitant ou spectaculaire, mais les freins sont puissants, la conduite est confortable, voire raffinée, et la sensation de solidité sur la route est géniale.
Le Venza en bref
En bout de ligne, le Toyota Venza 2009 s'impose comme un multisegments élégant, flexible et confortable offrant une belle dose de puissance et de sophistication. Malgré son V6 musclé, il ne fera pas couler l'adrénaline des mordus du volant, mais il représente un compromis presque idéal entre une berline et un utilitaire sport (ou mini-fourgonnette).
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| En bout de ligne, le Toyota Venza 2009 s'impose comme un multisegments élégant, flexible et confortable. |
photo:Justin Pritchard
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