Le contrôle électronique de la stabilité d'un véhicule
Ottawa, le 18 juillet - La division de l'Ergonomie et de l'Évitement des collisions sollicitait la participation d'une quarantaine d'organismes et d'associations comme l'ACCV (Association canadienne des constructeurs de véhicules) et l'ATC (Association des transports du Canada) pour discuter d'une campagne de sensibilisation aux bienfaits des systèmes de contrôle électronique de la stabilité (SCES) des véhicules ou ESC en anglais. La division de l'Ergonomie et de l'Évitement des collisions relève de la direction de la Sécurité routière et de la Réglementation automobile de Transports Canada.
Une réglementation en vue
Les États-Unis ont établi par réglementation que tous les véhicules légers (camions, autos et VUS) devront être équipés de ce système au plus tard le 1er septembre 2011. Au Canada, on souhaite suivre cet exemple et implanter un an après nos voisins du sud une telle réglementation pour tous les véhicules vendus au Canada.
Pourquoi une campagne alors ?
D'une part, pour sensibiliser les Canadiens aux avantages de ce système et pour encourager fortement les constructeurs à offrir le SCES. Actuellement, les constructeurs offrent ce système sur leurs voitures de luxe ou sur des versions haut de gamme d'un modèle. Ils ne l'offrent pas sur les modèles bas de gamme ou en option libre (stand alone) : on ne le retrouve que jumelé aux ensembles d'options les plus chers. Si une pression plus forte vient des acheteurs, alors là, les concessionnaires et les constructeurs verront à modifier leur approche et offriront à leurs clients la sécurité avant les commodités.
Quelle est son importance ?
Des études internationales ont clairement démontré que les SECS peuvent diminuer le nombre de décès de plus de 20 % dans les accidents n'impliquant qu'un seul véhicule. Ces mêmes études européennes et américaines ont démontré que les SCES réduisent également la gravité des blessures et des dommages de plus de 40 % dans ces mêmes occasions. Pensez à tous ces accidents où l'on rapporte des pertes de contrôle des véhicules en raison de la vitesse excessive, des conditions routières ou des distractions au volant.
Ottawa, le 18 juillet - La division de l'Ergonomie et de l'Évitement des collisions sollicitait la participation d'une quarantaine d'organismes et d'associations comme l'ACCV (Association canadienne des constructeurs de véhicules) et l'ATC (Association des transports du Canada) pour discuter d'une campagne de sensibilisation aux bienfaits des systèmes de contrôle électronique de la stabilité (SCES) des véhicules ou ESC en anglais. La division de l'Ergonomie et de l'Évitement des collisions relève de la direction de la Sécurité routière et de la Réglementation automobile de Transports Canada.
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Une réglementation en vue
Les États-Unis ont établi par réglementation que tous les véhicules légers (camions, autos et VUS) devront être équipés de ce système au plus tard le 1er septembre 2011. Au Canada, on souhaite suivre cet exemple et implanter un an après nos voisins du sud une telle réglementation pour tous les véhicules vendus au Canada.
Pourquoi une campagne alors ?
D'une part, pour sensibiliser les Canadiens aux avantages de ce système et pour encourager fortement les constructeurs à offrir le SCES. Actuellement, les constructeurs offrent ce système sur leurs voitures de luxe ou sur des versions haut de gamme d'un modèle. Ils ne l'offrent pas sur les modèles bas de gamme ou en option libre (stand alone) : on ne le retrouve que jumelé aux ensembles d'options les plus chers. Si une pression plus forte vient des acheteurs, alors là, les concessionnaires et les constructeurs verront à modifier leur approche et offriront à leurs clients la sécurité avant les commodités.
Quelle est son importance ?
Des études internationales ont clairement démontré que les SECS peuvent diminuer le nombre de décès de plus de 20 % dans les accidents n'impliquant qu'un seul véhicule. Ces mêmes études européennes et américaines ont démontré que les SCES réduisent également la gravité des blessures et des dommages de plus de 40 % dans ces mêmes occasions. Pensez à tous ces accidents où l'on rapporte des pertes de contrôle des véhicules en raison de la vitesse excessive, des conditions routières ou des distractions au volant.
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