Pour les accompagner, on aura un choix entre deux boîtes de vitesses : une manuelle à cinq rapports ou une automatique optionnelle à 6 rapports avec mode manuel pour le 2,5 litres, et une manuelle à six rapports ou une DSG à double embrayage à six rapports pour le 2,0 litres TSI. Des options quasi illimitées qui conviendront à beaucoup d’acheteurs, voire tous.
On proposera également trois degrés de finition lors de la livraison le 9 octobre : Comfortline, Highline et Sportline. On peut rehausser chaque modèle de différentes options et degrés de confort. Enfin, alors que les groupes Comfortline et Highline se ressemblent, le Sportline se distingue nettement en étant le seul à comprendre un moteur turbo.
Ce lancement revêt une grande importance pour Volkswagen, et le constructeur a décidé de le souligner davantage en offrant deux éditions spéciales aux 600 premiers acheteurs au Canada. Ces modèles, les Premiere et Premiere+, ne seront animés que par les 2,5 litres avec la boîte automatique. On aura le choix de quelques couleurs seulement, et même si on dirait une escroquerie un peu contraignante, juste le fait de pouvoir conduire un de ces 600 modèles « spéciaux » attirera certains acheteurs.
La Beetle Comfortline de base proposera un tarif de 21 975 $, alors que la version Sportline essayée coûtera 29 025 $ avant d'ajouter 1 400 $ pour la boîte de vitesses DSG. L'édition Premiere sera offerte à partir de 24 475 $.
Pour notre balade autour de Berlin et sur l’Autobahn (évidemment!), je me suis glissée derrière le volant de la Beetle Sportline turbo avec boîte DSG automatique. La Beetle impressionne dès qu’on empoigne son volant d’inspiration GTI. Sa direction vive et son cadre bien équilibré se sont acquittés à merveille des routes allemandes bordées de vertes forêts. Le mode manuel répondait rapidement aussi, et la Beetle rétrogradait avec enthousiasme, me donnant le punch nécessaire pour dépasser aisément les conducteurs plus lents. Le temps de réponse du turbo est presque imperceptible, tout comme le fait qu’un turbocompresseur somnole sous le capot.
Le tableau de bord revu et bien nanti se manipule facilement, mais l’écran tactile s’avère un peu lent et peut devenir irritant quand on essaie de conduire et régler quelque chose en même temps. Le plus séduisant dans tout ça? Peut-être le groupe d’instruments.
Et même si Volks a, de grâce, largué le vase près du volant (« les chevaux ont mangé les fleurs », dit une nouvelle pub), on peut toujours pimenter l’habitacle à l’aide d’appliques assorties à la carrosserie de la bibitte. Alors… jaune? Oui monsieur. Rouge? Absolument. Bleu? Et voilà! Ma Sportline affichait les appliques en fibre de carbone de la version (ouf!).
On proposera également trois degrés de finition lors de la livraison le 9 octobre : Comfortline, Highline et Sportline. On peut rehausser chaque modèle de différentes options et degrés de confort. Enfin, alors que les groupes Comfortline et Highline se ressemblent, le Sportline se distingue nettement en étant le seul à comprendre un moteur turbo.
 |
| On proposera également trois degrés de finition lors de la livraison le 9 octobre : Comfortline, Highline et Sportline. (Photo: Miranda Lightstone/Auto123.com) |
Ce lancement revêt une grande importance pour Volkswagen, et le constructeur a décidé de le souligner davantage en offrant deux éditions spéciales aux 600 premiers acheteurs au Canada. Ces modèles, les Premiere et Premiere+, ne seront animés que par les 2,5 litres avec la boîte automatique. On aura le choix de quelques couleurs seulement, et même si on dirait une escroquerie un peu contraignante, juste le fait de pouvoir conduire un de ces 600 modèles « spéciaux » attirera certains acheteurs.
La Beetle Comfortline de base proposera un tarif de 21 975 $, alors que la version Sportline essayée coûtera 29 025 $ avant d'ajouter 1 400 $ pour la boîte de vitesses DSG. L'édition Premiere sera offerte à partir de 24 475 $.
Pour notre balade autour de Berlin et sur l’Autobahn (évidemment!), je me suis glissée derrière le volant de la Beetle Sportline turbo avec boîte DSG automatique. La Beetle impressionne dès qu’on empoigne son volant d’inspiration GTI. Sa direction vive et son cadre bien équilibré se sont acquittés à merveille des routes allemandes bordées de vertes forêts. Le mode manuel répondait rapidement aussi, et la Beetle rétrogradait avec enthousiasme, me donnant le punch nécessaire pour dépasser aisément les conducteurs plus lents. Le temps de réponse du turbo est presque imperceptible, tout comme le fait qu’un turbocompresseur somnole sous le capot.
Le tableau de bord revu et bien nanti se manipule facilement, mais l’écran tactile s’avère un peu lent et peut devenir irritant quand on essaie de conduire et régler quelque chose en même temps. Le plus séduisant dans tout ça? Peut-être le groupe d’instruments.
Et même si Volks a, de grâce, largué le vase près du volant (« les chevaux ont mangé les fleurs », dit une nouvelle pub), on peut toujours pimenter l’habitacle à l’aide d’appliques assorties à la carrosserie de la bibitte. Alors… jaune? Oui monsieur. Rouge? Absolument. Bleu? Et voilà! Ma Sportline affichait les appliques en fibre de carbone de la version (ouf!).
 |
| Le tableau de bord revu et bien nanti se manipule facilement. (Photo: Miranda Lightstone/Auto123.com) |