Et puisque la banquette arrière se rabat, la Golf est surprenante en matière de capacité de chargement.
Une note moins positive cependant, l’habitacle est plutôt mal insonorisé, ce qui laisse passer beaucoup de bruit de vent et de bruits de roulement. On s’y attend d’une voiture de cette taille, mais pas au point de devoir hausser le ton pour alimenter la conversation avec la famille.
Même sous le capot
La surprise se situe sous le capot. Je l’ai dit, même si je connais les motorisations diesel, mon éducation d’ancien pompiste m’amène souvent à penser que ce sont des moteurs bruyants et polluants. La Golf TDI prouve tout le contraire.
Quand on démarre le moteur, le ronron se fait régulier, un petit peu plus métallique, mais certainement aussi discret que les moteurs à essence. La vraie trouvaille néanmoins provient surtout des accélérations.
La moindre pression sur la pédale active la voiture aisément, grâce notamment au couple plus élevé de la version diesel. Et à ma grande surprise, c’est la boîte de vitesse qui réagit le mieux. Elle contrôle le régime moteur, le maintenant à un niveau si bas qu’on a l’impression de ne pas accélérer.
Tellement d’ailleurs qu’on enregistre à peine 1800 tours-minute alors qu’on roule à vitesse d’autoroute. Le moteur est presque endormi, un coup de génie pour la consommation d’essence, ce qui laisse aussi beaucoup d’espace pour les accélérations en reprise.
Il faut aussi savoir que la Golf profite de freins efficaces, sans être spectaculaires, et de suspensions qui se tournent définitivement vers le confort. N’empêche qu’elles réussissent à limiter toute tentative de roulis dans les virages, même ceux abordés avec un peu plus d’enthousiasme.
Conclusion
Au terme de mon essai, je dois me rendre à l’évidence : tous mes préjugés sont tombés, et je me suis surpris moi-même à apprécier autant la boîte automatique que le moteur diesel. Et je suis persuadé que tous ceux qui en feront l’essai ne pourront que faire le même constat.
Elle a bien quelques faiblesses, quand même la Golf en version TDI, a su conserver le charme qui la distingue depuis sa naissance.
Une note moins positive cependant, l’habitacle est plutôt mal insonorisé, ce qui laisse passer beaucoup de bruit de vent et de bruits de roulement. On s’y attend d’une voiture de cette taille, mais pas au point de devoir hausser le ton pour alimenter la conversation avec la famille.
Même sous le capot
La surprise se situe sous le capot. Je l’ai dit, même si je connais les motorisations diesel, mon éducation d’ancien pompiste m’amène souvent à penser que ce sont des moteurs bruyants et polluants. La Golf TDI prouve tout le contraire.
Quand on démarre le moteur, le ronron se fait régulier, un petit peu plus métallique, mais certainement aussi discret que les moteurs à essence. La vraie trouvaille néanmoins provient surtout des accélérations.
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| Quand on démarre le moteur, le ronron se fait régulier, un petit peu plus métallique, mais certainement aussi discret que les moteurs à essence. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
La moindre pression sur la pédale active la voiture aisément, grâce notamment au couple plus élevé de la version diesel. Et à ma grande surprise, c’est la boîte de vitesse qui réagit le mieux. Elle contrôle le régime moteur, le maintenant à un niveau si bas qu’on a l’impression de ne pas accélérer.
Tellement d’ailleurs qu’on enregistre à peine 1800 tours-minute alors qu’on roule à vitesse d’autoroute. Le moteur est presque endormi, un coup de génie pour la consommation d’essence, ce qui laisse aussi beaucoup d’espace pour les accélérations en reprise.
Il faut aussi savoir que la Golf profite de freins efficaces, sans être spectaculaires, et de suspensions qui se tournent définitivement vers le confort. N’empêche qu’elles réussissent à limiter toute tentative de roulis dans les virages, même ceux abordés avec un peu plus d’enthousiasme.
Conclusion
Au terme de mon essai, je dois me rendre à l’évidence : tous mes préjugés sont tombés, et je me suis surpris moi-même à apprécier autant la boîte automatique que le moteur diesel. Et je suis persuadé que tous ceux qui en feront l’essai ne pourront que faire le même constat.
Elle a bien quelques faiblesses, quand même la Golf en version TDI, a su conserver le charme qui la distingue depuis sa naissance.
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