Plus de choix que jamais sous le capot
Non, Volkswagen n’a pas trouvé une façon de construire une voiture en trois minutes simplement avec un marteau et une enclume; le processus de fabrication reste coûteux et de l’argent doit toujours être investi dans les usines de Puebla (Mexique) et Chattanooga (Tennessee). Les dirigeants ont ainsi choisi de garder tous les moteurs de l’ancienne génération et, dans une décision que j’ai un peu de difficulté à avaler, ils ont ramené l’increvable moteur de 2,0 litres à huit soupapes. Si vous avez possédé une Golf, Golf City, GTI, Jetta, Jetta City ou New Beetle au cours des 20 dernières années, vous avez sans doute bien connu ce quatre-cylindres de 115 chevaux.
Dieu merci, le pire a été évité : au lieu de le jumeler à une boîte automatique à quatre rapports (vous imaginez?), le constructeur fait amende honorable en optant pour une boîte Tiptronic à six rapports. Malheureusement et bizarrement, la Jetta 2.0L n’était pas disponible lors du lancement à San Francisco. Les représentants de Volkswagen nous jurent qu’il a été modernisé, mais le faible gain de couple (de 122 à 125 livres-pied) suggère un effort superficiel. Consolons-nous, ce moteur pourrait n’être offert que quelques années, dit-on.
En plus du moteur à cinq cylindres de 2,5 litres développant 170 chevaux, les alternatives au menu sont l’excellent TSI de 2,0 litres qui génère 200 chevaux (attendu ultérieurement dans la nouvelle version GLI) et le TDI de 2,0 litres qui en produit 140 (il s’agit du moteur diesel, bien sûr). Dans deux ans, soit pour l’année-modèle 2013, une Jetta hybride verra même le jour. Son moteur à injection directe de 1,4 litre, à la fois suralimenté et turbocompressé, fera équipe avec un moteur électrique et une transmission DSG à sept rapports pour libérer 150 chevaux.
Splendide et attrayante
Walter de Silva, directeur du design pour le groupe Volkswagen, était sur place pour nous partager sa vision de la nouvelle Jetta 2011. Selon lui, la voiture atteint toutes les cibles. Les proportions sont parfaites, la carrosserie paraît aussi élégante que sportive et, dans l’ensemble, la Jetta séduit par sa beauté élémentaire, c’est-à-dire sans artifice.
Je me trouvais à Détroit lorsque le prototype NCC a été dévoilé à la presse automobile. Tout de suite, j’ai été émerveillé par la silhouette épurée à la Audi et j’ai croisé mes doigts (et orteils!) pour que la future Jetta ait aussi fière allure. En voyant les premières images du modèle de série, j’ai cru que le design s’était «japonisé». Heureusement, les photos ne rendent jamais justice à une voiture. En réalité, la nouvelle Volkswagen Jetta 2011 fend l’air avec des lignes délicates et dynamiques. Même si j’aimerais que les stylistes arrêtent de la gonfler à chaque refonte, je dois donner raison à M. de Silva.
Non, Volkswagen n’a pas trouvé une façon de construire une voiture en trois minutes simplement avec un marteau et une enclume; le processus de fabrication reste coûteux et de l’argent doit toujours être investi dans les usines de Puebla (Mexique) et Chattanooga (Tennessee). Les dirigeants ont ainsi choisi de garder tous les moteurs de l’ancienne génération et, dans une décision que j’ai un peu de difficulté à avaler, ils ont ramené l’increvable moteur de 2,0 litres à huit soupapes. Si vous avez possédé une Golf, Golf City, GTI, Jetta, Jetta City ou New Beetle au cours des 20 dernières années, vous avez sans doute bien connu ce quatre-cylindres de 115 chevaux.
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| L’intérieur demeure l’un de ceux qui allient le mieux forme et fonctionnalité pour une voiture de moins de 35 000 $, en particulier l’élégant tableau de bord. (Photo: Volkswagen) |
Dieu merci, le pire a été évité : au lieu de le jumeler à une boîte automatique à quatre rapports (vous imaginez?), le constructeur fait amende honorable en optant pour une boîte Tiptronic à six rapports. Malheureusement et bizarrement, la Jetta 2.0L n’était pas disponible lors du lancement à San Francisco. Les représentants de Volkswagen nous jurent qu’il a été modernisé, mais le faible gain de couple (de 122 à 125 livres-pied) suggère un effort superficiel. Consolons-nous, ce moteur pourrait n’être offert que quelques années, dit-on.
En plus du moteur à cinq cylindres de 2,5 litres développant 170 chevaux, les alternatives au menu sont l’excellent TSI de 2,0 litres qui génère 200 chevaux (attendu ultérieurement dans la nouvelle version GLI) et le TDI de 2,0 litres qui en produit 140 (il s’agit du moteur diesel, bien sûr). Dans deux ans, soit pour l’année-modèle 2013, une Jetta hybride verra même le jour. Son moteur à injection directe de 1,4 litre, à la fois suralimenté et turbocompressé, fera équipe avec un moteur électrique et une transmission DSG à sept rapports pour libérer 150 chevaux.
Splendide et attrayante
Walter de Silva, directeur du design pour le groupe Volkswagen, était sur place pour nous partager sa vision de la nouvelle Jetta 2011. Selon lui, la voiture atteint toutes les cibles. Les proportions sont parfaites, la carrosserie paraît aussi élégante que sportive et, dans l’ensemble, la Jetta séduit par sa beauté élémentaire, c’est-à-dire sans artifice.
Je me trouvais à Détroit lorsque le prototype NCC a été dévoilé à la presse automobile. Tout de suite, j’ai été émerveillé par la silhouette épurée à la Audi et j’ai croisé mes doigts (et orteils!) pour que la future Jetta ait aussi fière allure. En voyant les premières images du modèle de série, j’ai cru que le design s’était «japonisé». Heureusement, les photos ne rendent jamais justice à une voiture. En réalité, la nouvelle Volkswagen Jetta 2011 fend l’air avec des lignes délicates et dynamiques. Même si j’aimerais que les stylistes arrêtent de la gonfler à chaque refonte, je dois donner raison à M. de Silva.
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| De superbes sièges, des tonnes d’espace à l’avant et à l’arrière de même qu’un coffre hyper volumineux rehaussent l’habitabilité de cette «compacte». (Photo: Mathieu St-Pierre/Auto123.com) |