Du côté de l'habitacle, les designers de Volvo ont créé un environnement très accueillant qui brille par son originalité et sa simplicité. On remarque immédiatement le panneau central avec console flottante, qui relie de façon harmonieuse le tableau de bord à la console du plancher. Offrant beaucoup de dégagement pour les jambes, ce panneau permet également d'offrir au conducteur une facilité d'utilisation des commandes qui ne se retrouve pas dans un modèle comme l'Audi A4. Derrière ce panneau se trouve un petit plateau de rangement, ainsi qu'un point d'éclairage discret qui donne l'impression d'une salle de cinéma.
Le conducteur prend place sur un baquet superbement dessiné qui allie confort et maintien. Pour optimiser la position de conduite, le siège est ajustable de multiples façons et le volant est inclinable et télescopique. Évidemment, l'habillage de cuir est optionnel, mais la sellerie offerte de série est faite de néoprène, donnant une allure dynamique à l'habitacle tout en étant plus résistante qu'un tissu conventionnel. Si l'espace avant est plus que suffisant, celui accordé aux passagers arrière est moins généreux, étant tout juste acceptable pour deux adultes. Cependant, à ce niveau, elle fait mieux que les Audi A4 et Volkswagen Jetta, deux rivales d'importance.
Dès les premiers tours de roue, la S40 étonne par sa souplesse et sa rigidité. Le moteur 2.4i offre une puissance amplement suffisante, et excelle en reprise avec un 80-120 km/h se situant autour de 7.5 secondes. Cependant, la version T5 munie du moteur 2.5 litres turbocompressé de 217 chevaux étonne davantage. Le temps de réponse du turbocompresseur est minime et le couple maximal est atteint à seulement 1500 tr/min. La voiture franchit par conséquent le 0-100 km/h en 7.2 secondes et ce, avec la boîte automatique.
Possédant un châssis plus rigide de 68 % par rapport à l'ancienne génération, la voiture ne craint pas d'être brassée et ne se fatigue jamais. La direction est ultra précise et son faible diamètre de braquage contribue à sa grande maniabilité. En accélération, un léger effet de couple se fait sentir, mais la version à traction intégrale, prochainement offerte, devrait régler ce problème. Grâce à un meilleur empattement malgré une carrosserie plus courte de 44 mm, la S40 offre un confort de roulement grandement supérieur à la génération précédente. La suspension bien calibrée absorbe bien les imperfections de la route tout en donnant une stabilité directionnelle étonnante. Même à très haute vitesse, la voiture demeure stable et n'est jamais sensible aux vents latéraux.
Du côté de l'habitacle, les designers de Volvo ont créé un environnement très accueillant qui brille par son originalité et sa simplicité. On remarque immédiatement le panneau central avec console flottante, qui relie de façon harmonieuse le tableau de bord à la console du plancher. Offrant beaucoup de dégagement pour les jambes, ce panneau permet également d'offrir au conducteur une facilité d'utilisation des commandes qui ne se retrouve pas dans un modèle comme l'Audi A4. Derrière ce panneau se trouve un petit plateau de rangement, ainsi qu'un point d'éclairage discret qui donne l'impression d'une salle de cinéma. 
Le conducteur prend place sur un baquet superbement dessiné qui allie confort et maintien. Pour optimiser la position de conduite, le siège est ajustable de multiples façons et le volant est inclinable et télescopique. Évidemment, l'habillage de cuir est optionnel, mais la sellerie offerte de série est faite de néoprène, donnant une allure dynamique à l'habitacle tout en étant plus résistante qu'un tissu conventionnel. Si l'espace avant est plus que suffisant, celui accordé aux passagers arrière est moins généreux, étant tout juste acceptable pour deux adultes. Cependant, à ce niveau, elle fait mieux que les Audi A4 et Volkswagen Jetta, deux rivales d'importance. 
Dès les premiers tours de roue, la S40 étonne par sa souplesse et sa rigidité. Le moteur 2.4i offre une puissance amplement suffisante, et excelle en reprise avec un 80-120 km/h se situant autour de 7.5 secondes. Cependant, la version T5 munie du moteur 2.5 litres turbocompressé de 217 chevaux étonne davantage. Le temps de réponse du turbocompresseur est minime et le couple maximal est atteint à seulement 1500 tr/min. La voiture franchit par conséquent le 0-100 km/h en 7.2 secondes et ce, avec la boîte automatique.
Possédant un châssis plus rigide de 68 % par rapport à l'ancienne génération, la voiture ne craint pas d'être brassée et ne se fatigue jamais. La direction est ultra précise et son faible diamètre de braquage contribue à sa grande maniabilité. En accélération, un léger effet de couple se fait sentir, mais la version à traction intégrale, prochainement offerte, devrait régler ce problème. Grâce à un meilleur empattement malgré une carrosserie plus courte de 44 mm, la S40 offre un confort de roulement grandement supérieur à la génération précédente. La suspension bien calibrée absorbe bien les imperfections de la route tout en donnant une stabilité directionnelle étonnante. Même à très haute vitesse, la voiture demeure stable et n'est jamais sensible aux vents latéraux.