Un six-cylindres turbo à suave saveur suédoise
Pour la S60, les ingénieurs de Volvo ont choisi un six-cylindres en ligne turbo de trois litres livrant 300 ch aux quatre roues. Conduisez paisiblement, et la boîte automatique à six rapports de série travaille presque imperceptiblement; la voiture détalle en quelques secondes et met à profit la généreuse dose de couple à bas régime.
Enfoncez la pédale, et le doux bourdonnement se transforme en anxieuse lamentation. La boîte monte nettement et doucement en vitesse à l’approche de la ligne rouge, et la S60 s’élance avec une fougue euphorisante. C’en est presque délicieusement déplacé pour une voiture farcie si généreusement de coussins gonflables, de structures antichoc et de gadgets anticollision.
Le nouveau moteur « T6 » de la S60 dégage également une impression d’athlétisme inné, pratiquement aucun délai de turbocompression ne venant le perturber. Le réglage électronique des gaz, le système de turbocompression et le rapport de boîte se complètent bien, et leurs efforts combinés assurent une montée de puissance linéaire et naturelle.
De plus, le moteur se réveille volontiers même par froid extrême, se réchauffe en un clin d’œil et tourne de façon parfaitement fluide, depuis sa première inspiration glaciale à -25 °C.
On ne pourrait en demander beaucoup plus en matière de groupe motopropulseur… outre, peut-être, une boîte manuelle. Or, Subaru et BMW vous prendront toujours sous leur aile si vous cherchez une berline sport turbo à transmission intégrale avec levier de vitesses. Soit dit en passant.
Prête pour l’hiver, et comment!
Convenablement clément, le système de contrôle de la stabilité se fait un plaisir de laisser le conducteur s’amuser à faire décrocher le train arrière, jusqu’à ce que les choses se corsent.
Des phares directionnels au xénon dotés d’essuie-phares assurent une bonne visibilité en toutes conditions. Les projecteurs se remuent afin d’éclairer le passage sur les routes sinueuses la nuit, projetant une lumière blanche et nette qui fatigue moins les yeux lors de longs déplacements nocturnes. Et à l’arrière, de gros feux à DEL ainsi qu’un antibrouillard signalent votre présence aux autres automobilistes en cas de tempête de neige.
Pour la S60, les ingénieurs de Volvo ont choisi un six-cylindres en ligne turbo de trois litres livrant 300 ch aux quatre roues. Conduisez paisiblement, et la boîte automatique à six rapports de série travaille presque imperceptiblement; la voiture détalle en quelques secondes et met à profit la généreuse dose de couple à bas régime.
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| Pour la S60, les ingénieurs de Volvo ont choisi un six-cylindres en ligne turbo de trois litres livrant 300 ch aux quatre roues. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Enfoncez la pédale, et le doux bourdonnement se transforme en anxieuse lamentation. La boîte monte nettement et doucement en vitesse à l’approche de la ligne rouge, et la S60 s’élance avec une fougue euphorisante. C’en est presque délicieusement déplacé pour une voiture farcie si généreusement de coussins gonflables, de structures antichoc et de gadgets anticollision.
Le nouveau moteur « T6 » de la S60 dégage également une impression d’athlétisme inné, pratiquement aucun délai de turbocompression ne venant le perturber. Le réglage électronique des gaz, le système de turbocompression et le rapport de boîte se complètent bien, et leurs efforts combinés assurent une montée de puissance linéaire et naturelle.
De plus, le moteur se réveille volontiers même par froid extrême, se réchauffe en un clin d’œil et tourne de façon parfaitement fluide, depuis sa première inspiration glaciale à -25 °C.
On ne pourrait en demander beaucoup plus en matière de groupe motopropulseur… outre, peut-être, une boîte manuelle. Or, Subaru et BMW vous prendront toujours sous leur aile si vous cherchez une berline sport turbo à transmission intégrale avec levier de vitesses. Soit dit en passant.
Prête pour l’hiver, et comment!
Convenablement clément, le système de contrôle de la stabilité se fait un plaisir de laisser le conducteur s’amuser à faire décrocher le train arrière, jusqu’à ce que les choses se corsent.
Des phares directionnels au xénon dotés d’essuie-phares assurent une bonne visibilité en toutes conditions. Les projecteurs se remuent afin d’éclairer le passage sur les routes sinueuses la nuit, projetant une lumière blanche et nette qui fatigue moins les yeux lors de longs déplacements nocturnes. Et à l’arrière, de gros feux à DEL ainsi qu’un antibrouillard signalent votre présence aux autres automobilistes en cas de tempête de neige.
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| Des phares directionnels au xénon dotés d’essuie-phares assurent une bonne visibilité en toutes conditions. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |