La sécurité d’abord… et ensuite
La sécurité prime, après tout. La S60 recèle de trop de dispositifs sophistiqués et exclusifs pour en dresser la liste ici, mais sachez qu’un éventail de caméras, de lasers et de radars lui permet de « percevoir » son environnement et d’avertir le conducteur s’il quitte la voie ou encore s’apprête à emboutir un véhicule ou happer un piéton. Qui plus est, à basse vitesse, la S60 peut s’immobiliser d’elle-même afin de prévenir certains types de collisions.
Tenue de route extra
Le conducteur a le choix entre trois modes de réglages pour le châssis : « Confort » pour le grand tourisme, « Sport » pour les chemins de campagne et « Advanced » pour la piste.
La piste? En Volvo?
Oui monsieur! On ne parle pas d’une BMW M3, certes, mais la S60 s’avère remarquablement stable, indulgente et bien plantée quand on la pousse sur une route tortueuse déserte ou un circuit fermé. En effet, le châssis adaptatif optionnel propose trois personnalités de conduite distinctes : à l’aide d’un bouton, la S60 peut passer de grande routière dorlotante à bête de piste mordante.
Des reproches?
Si j’ai l’air impressionné par la S60 jusqu’à maintenant, c’est que je le suis. Il s’agit d’une des voitures les plus surprenantes sur laquelle j’ai mis la main cette année.
Or, la perfection n’existe pas.
Parfois illogique, le menu du système infoloisirs en devient frustrant, et le moteur T6 engloutit l’essence quand on le pousse. Et vu les performances enivrantes, je ne suis pas certain de la cote de consommation qu’on peut obtenir en conduisant doucement.
Au bout du compte, la S60 est une machine unique, musclée, dynamique et ô combien confortable qui s’attaque avec plaisir à l’autoroute comme à la piste… ainsi qu’à tout ce que Dame Nature peut lui asséner.
Pour un modèle tout équipé comme mon bolide d’essai, vous devrez allonger environ 60 000 dollars.
La sécurité prime, après tout. La S60 recèle de trop de dispositifs sophistiqués et exclusifs pour en dresser la liste ici, mais sachez qu’un éventail de caméras, de lasers et de radars lui permet de « percevoir » son environnement et d’avertir le conducteur s’il quitte la voie ou encore s’apprête à emboutir un véhicule ou happer un piéton. Qui plus est, à basse vitesse, la S60 peut s’immobiliser d’elle-même afin de prévenir certains types de collisions.
Tenue de route extra
Le conducteur a le choix entre trois modes de réglages pour le châssis : « Confort » pour le grand tourisme, « Sport » pour les chemins de campagne et « Advanced » pour la piste.
La piste? En Volvo?
Pour un modèle tout équipé comme mon bolide d’essai, vous devrez allonger environ 60 000 dollars. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Oui monsieur! On ne parle pas d’une BMW M3, certes, mais la S60 s’avère remarquablement stable, indulgente et bien plantée quand on la pousse sur une route tortueuse déserte ou un circuit fermé. En effet, le châssis adaptatif optionnel propose trois personnalités de conduite distinctes : à l’aide d’un bouton, la S60 peut passer de grande routière dorlotante à bête de piste mordante.
Des reproches?
Si j’ai l’air impressionné par la S60 jusqu’à maintenant, c’est que je le suis. Il s’agit d’une des voitures les plus surprenantes sur laquelle j’ai mis la main cette année.
Or, la perfection n’existe pas.
Parfois illogique, le menu du système infoloisirs en devient frustrant, et le moteur T6 engloutit l’essence quand on le pousse. Et vu les performances enivrantes, je ne suis pas certain de la cote de consommation qu’on peut obtenir en conduisant doucement.
Au bout du compte, la S60 est une machine unique, musclée, dynamique et ô combien confortable qui s’attaque avec plaisir à l’autoroute comme à la piste… ainsi qu’à tout ce que Dame Nature peut lui asséner.
Pour un modèle tout équipé comme mon bolide d’essai, vous devrez allonger environ 60 000 dollars.