Élégance d'inspiration scandinave
Bien entendu, le XC60 n'est pas seulement une affaire de sécurité. Après tout, la sécurité n'a rien de sexy. Contrairement à Mercedes-Benz qui a tracé des formes anguleuses évoquant le Galendewagen pour son petit GLK, Volvo a plutôt opté pour une esthétique sensuelle.
Le constructeur la qualifie d'éminemment scandinave. Doug Frazer, stylistes du Volvo Monitoring and Concept Center (VMCC), un studio établi par Volvo en Californie en 1986 pour surveiller et analyser les tendances en matière de design, l'exprime avec passion. « Le XC60 n'est ni une chaise, ni une table, ni une chaîne audio Bang & Olufsen. Il doit voyager dans un fluide - l'air - avec élégance et un minimum de résistance aérodynamique. Il doit être très confortable et loger ses occupants en toute sécurité. Voilà pourquoi les formes du XC60 ont un aspect humain. »
Plus encore que ne l'ont fait les stylistes d'Audi pour le Q5, ceux de Volvo ont injecté une dose de sensualité esthétique au XC60. Malgré une garde au sol supérieure à celle d'une XC70 et une ligne de caisse très haute, le XC60 s'assimile aisément à une automobile. Certains croiront voir un « coupé à quatre portes », par ses formes courbes élancées et son arrière relevé. Ce design vieillira bien, même si cette silhouette affecte le champ de vision arrière et complique les manoeuvres de stationnement.
On reconnaît néanmoins la filiation de la marque suédoise, entre autres, avec l'adorable petite C30. Ne serait-ce que par ces longs blocs optiques arrière en forme de gouttelette et l'épaulement prononcé des ailes arrière que de grandes roues de 18 pouces mettent en valeur (plus encore que les roues de 17 pouces d'une version dégarnie que les Américains auront).
Et puis, l'écusson Volvo occupe beaucoup de place dans la calandre. Il serait difficile de le manquer et de ne pas reconnaître l'origine de ce nouveau venu.
Cette audace esthétique, on la ressent aussi dans l'habitacle. Les sièges amples à l'avant (l'arrière convient plutôt à des enfants) reçoivent une sellerie de cuir qui peut, sur demande, avoir deux tons comme cet agencement seyant appelé « beige grès et expresso » qui enjolivait notre véhicule d'essai.
Le tableau de bord asymétrique, fortement orienté vers le conducteur, reprend par ailleurs le panneau central flottant désormais caractéristique des produits Volvo. Il peut aussi être garni d'appliques de chêne nordique pâle. On se croirait dans une Bentley ou une Rolls-Royce !
Bien entendu, le XC60 n'est pas seulement une affaire de sécurité. Après tout, la sécurité n'a rien de sexy. Contrairement à Mercedes-Benz qui a tracé des formes anguleuses évoquant le Galendewagen pour son petit GLK, Volvo a plutôt opté pour une esthétique sensuelle.
Le constructeur la qualifie d'éminemment scandinave. Doug Frazer, stylistes du Volvo Monitoring and Concept Center (VMCC), un studio établi par Volvo en Californie en 1986 pour surveiller et analyser les tendances en matière de design, l'exprime avec passion. « Le XC60 n'est ni une chaise, ni une table, ni une chaîne audio Bang & Olufsen. Il doit voyager dans un fluide - l'air - avec élégance et un minimum de résistance aérodynamique. Il doit être très confortable et loger ses occupants en toute sécurité. Voilà pourquoi les formes du XC60 ont un aspect humain. »
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| Ce design vieillira bien, même si cette silhouette affecte le champ de vision arrière. |
Plus encore que ne l'ont fait les stylistes d'Audi pour le Q5, ceux de Volvo ont injecté une dose de sensualité esthétique au XC60. Malgré une garde au sol supérieure à celle d'une XC70 et une ligne de caisse très haute, le XC60 s'assimile aisément à une automobile. Certains croiront voir un « coupé à quatre portes », par ses formes courbes élancées et son arrière relevé. Ce design vieillira bien, même si cette silhouette affecte le champ de vision arrière et complique les manoeuvres de stationnement.
On reconnaît néanmoins la filiation de la marque suédoise, entre autres, avec l'adorable petite C30. Ne serait-ce que par ces longs blocs optiques arrière en forme de gouttelette et l'épaulement prononcé des ailes arrière que de grandes roues de 18 pouces mettent en valeur (plus encore que les roues de 17 pouces d'une version dégarnie que les Américains auront).
Et puis, l'écusson Volvo occupe beaucoup de place dans la calandre. Il serait difficile de le manquer et de ne pas reconnaître l'origine de ce nouveau venu.
Cette audace esthétique, on la ressent aussi dans l'habitacle. Les sièges amples à l'avant (l'arrière convient plutôt à des enfants) reçoivent une sellerie de cuir qui peut, sur demande, avoir deux tons comme cet agencement seyant appelé « beige grès et expresso » qui enjolivait notre véhicule d'essai.
Le tableau de bord asymétrique, fortement orienté vers le conducteur, reprend par ailleurs le panneau central flottant désormais caractéristique des produits Volvo. Il peut aussi être garni d'appliques de chêne nordique pâle. On se croirait dans une Bentley ou une Rolls-Royce !
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| Comme l'intérieur, le tableau de bord adopte une esthétique moderne et luxueuse. |