Quand le printemps s'installe et que la neige commence à fondre, les routes du pays redeviennent un terrain de jeu pour les amateurs de cabriolet. Ainsi, à l'approche des températures plus clémentes, certains se laisseront tenter par un séduisant coupé ou roadster usagé.
Si vous êtes l'un d'eux, sachez que plusieurs modèles s'offrent à vous. Les Mazda MX-5 et Nissan 350Z sont relativement abordables, mais on peut aussi dénicher des aubaines sur une Chevrolet Corvette, une Acura NSX ou même une Porsche 911.
La Chrysler Crossfire (2004-2008) se situe quelque part au milieu de ce peloton, voire peut-être légèrement en dessous de la moyenne de prix. Dérivé de la Mercedes-Benz SLK, ce coupé-cabriolet proposait diverses améliorations techniques ainsi que le choix d'un toit souple ou fixe.
La Crossfire a d'abord été offerte avec un V6 de 3,2 litres développant 215 chevaux, le tout transféré aux roues arrière via une boîte manuelle à six rapports ou une automatique à cinq rapports. Plus tard, Chrysler a lancé une version SRT6 suralimentée (avec le moteur de la Mercedes SLK320 AMG) dont la puissance s'élevait à 330 chevaux. Ici, seule la boîte automatique était disponible, mais bon sang que cette machine était trippante à conduire!
Dépendamment de l'année et de la version choisie, on pouvait retrouver un aileron arrière à déploiement automatique (pour un meilleur look et aérodynamisme) ainsi qu'un système audio Infinity Modulus avec changeur de six CD et, en option, un écran de navigation. L'habitacle offrait par ailleurs beaucoup de rangement pour un bolide biplace, sans parler d'un accès facile. En outre, les dimensions intérieures plaisaient à bon nombre de propriétaires, même ceux qui sont un tantinet plus larges que la moyenne. Les conducteurs aux grandes jambes avaient toutefois tendance à se frotter les genoux contre le tableau de bord.
La Crossfire était conçue pour satisfaire un public mature. Elle n'était peut-être pas le bolide ultime pour un mordu du volant, que ce soit en version régulière ou SRT6, mais elle atteignait un bel équilibre entre sportivité et confort, tourisme et usage quotidien.
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| Chrysler Crossfire convertible 2004 |
Si vous êtes l'un d'eux, sachez que plusieurs modèles s'offrent à vous. Les Mazda MX-5 et Nissan 350Z sont relativement abordables, mais on peut aussi dénicher des aubaines sur une Chevrolet Corvette, une Acura NSX ou même une Porsche 911.
La Chrysler Crossfire (2004-2008) se situe quelque part au milieu de ce peloton, voire peut-être légèrement en dessous de la moyenne de prix. Dérivé de la Mercedes-Benz SLK, ce coupé-cabriolet proposait diverses améliorations techniques ainsi que le choix d'un toit souple ou fixe.
La Crossfire a d'abord été offerte avec un V6 de 3,2 litres développant 215 chevaux, le tout transféré aux roues arrière via une boîte manuelle à six rapports ou une automatique à cinq rapports. Plus tard, Chrysler a lancé une version SRT6 suralimentée (avec le moteur de la Mercedes SLK320 AMG) dont la puissance s'élevait à 330 chevaux. Ici, seule la boîte automatique était disponible, mais bon sang que cette machine était trippante à conduire!
Dépendamment de l'année et de la version choisie, on pouvait retrouver un aileron arrière à déploiement automatique (pour un meilleur look et aérodynamisme) ainsi qu'un système audio Infinity Modulus avec changeur de six CD et, en option, un écran de navigation. L'habitacle offrait par ailleurs beaucoup de rangement pour un bolide biplace, sans parler d'un accès facile. En outre, les dimensions intérieures plaisaient à bon nombre de propriétaires, même ceux qui sont un tantinet plus larges que la moyenne. Les conducteurs aux grandes jambes avaient toutefois tendance à se frotter les genoux contre le tableau de bord.
La Crossfire était conçue pour satisfaire un public mature. Elle n'était peut-être pas le bolide ultime pour un mordu du volant, que ce soit en version régulière ou SRT6, mais elle atteignait un bel équilibre entre sportivité et confort, tourisme et usage quotidien.
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| Chrysler Crossfire 2004 |