Dès le début, la Porsche Boxster se devait d’offrir à son conducteur un aperçu plus joyeux de la marque Porsche. Son toit escamotable de série, sa tenue de route énergique de moteur au centre et sa configuration à deux places sont autant de gestes d’insouciance devant les modèles plus sérieux et matures du constructeur.
C’est une voiture prête pour une escapade de week-end à ciel ouvert vers la destination qui nous chante… même la piste de course.
La Boxster S
On peut demander la variante peaufinée en usine de la Boxster S afin de décupler le plaisir à l’aide de nombreux petits ajouts véloces.
La version « S » désigne la voiture de série que l’équipe d’ingénieurs a nourrie d’un cocktail de stéroïdes et de stimulants. On y trouve des freins, des jantes et des composantes de suspension améliorés, et mon bolide d’essai avait même hérité d’un chronomètre et d’amortisseurs qu’on raffermit à l’aide d’un bouton.
La boîte de vitesses à double embrayage optionnelle change les rapports à la vitesse de l’éclair et comporte une incroyable fonction de contrôle du lancement dans le groupe d’options Sport Chrono. Elle fait appel à un programme améliorant l’embrayage et le freinage afin de faire surgir la voiture le plus rapidement possible.
Porsche a baptisé cette boîte « PDK », une abréviation allemande signifiant double embrayage. C’est un puissant outil qui fonctionne à merveille lorsqu’on le pousse, bien qu’il hésite ou réagit brusquement parfois en circulation urbaine.
Fulgurante
La raffinée boîte PDK est offerte sur les modèles standards et « S » de la Boxster. Ce dernier est animé exclusivement par un moteur à six cylindres à plat de 3,4 litres qui évince sa contrepartie de 2,9 litres, faisant du coup passer la puissance de 255 à 310 ch. Lorsque les choses se mettent à bouger, on se croirait en fusée.
Appuyez sur le champignon, et le moteur fait décoller la Boxster S dans un léger bourdonnement qui se transforme en véritable hurlement à mesure que le tachymètre progresse. La puissance se développe de façon quasi linéaire et devient presque étonnante à l’approche de la ligne rouge. Le son est intoxicant, et la sensation de la boîte PDK claquant d’un rapport à l’autre à toute allure laissera à la majorité des conducteurs un sourire inébranlable.
Dès le début, la Porsche Boxster se devait d’offrir à son conducteur un aperçu plus joyeux de la marque Porsche. |
C’est une voiture prête pour une escapade de week-end à ciel ouvert vers la destination qui nous chante… même la piste de course.
La Boxster S
On peut demander la variante peaufinée en usine de la Boxster S afin de décupler le plaisir à l’aide de nombreux petits ajouts véloces.
La version « S » désigne la voiture de série que l’équipe d’ingénieurs a nourrie d’un cocktail de stéroïdes et de stimulants. On y trouve des freins, des jantes et des composantes de suspension améliorés, et mon bolide d’essai avait même hérité d’un chronomètre et d’amortisseurs qu’on raffermit à l’aide d’un bouton.
La boîte de vitesses à double embrayage optionnelle change les rapports à la vitesse de l’éclair et comporte une incroyable fonction de contrôle du lancement dans le groupe d’options Sport Chrono. Elle fait appel à un programme améliorant l’embrayage et le freinage afin de faire surgir la voiture le plus rapidement possible.
Porsche a baptisé cette boîte « PDK », une abréviation allemande signifiant double embrayage. C’est un puissant outil qui fonctionne à merveille lorsqu’on le pousse, bien qu’il hésite ou réagit brusquement parfois en circulation urbaine.
Fulgurante
La raffinée boîte PDK est offerte sur les modèles standards et « S » de la Boxster. Ce dernier est animé exclusivement par un moteur à six cylindres à plat de 3,4 litres qui évince sa contrepartie de 2,9 litres, faisant du coup passer la puissance de 255 à 310 ch. Lorsque les choses se mettent à bouger, on se croirait en fusée.
Appuyez sur le champignon, et le moteur fait décoller la Boxster S dans un léger bourdonnement qui se transforme en véritable hurlement à mesure que le tachymètre progresse. La puissance se développe de façon quasi linéaire et devient presque étonnante à l’approche de la ligne rouge. Le son est intoxicant, et la sensation de la boîte PDK claquant d’un rapport à l’autre à toute allure laissera à la majorité des conducteurs un sourire inébranlable.
La Porsche Boxster S est animée d'un moteur à six cylindres à plat de 3,4 litres qui évince sa contrepartie de 2,9 litres. |