Simplicité volontaire
Actuellement, le gros des nouveautés se fait dans le segment des camions, des coupés sport et des berlines de luxe. Pourtant, ce n'est pas une raison pour négliger le coeur du marché au Québec: les petites voitures.
Nous faisons un métier formidable. Qui ça, nous? Les chroniqueurs automobiles, bien sûr. Jugez plutôt : nous changeons de véhicule chaque semaine; ce que nous essayons est toujours neuf (ou presque) et plus souvent qu'autrement, nous n'aurions même pas les moyens de payer ce que nous conduisons !
L'envers de la médaille, c'est qu'il est facile de perdre contact avec la réalité. Après quelques semaines consécutives au volant de véhicules ayant pour nom Porsche, BMW, Lexus ou Jaguar (pour ne nommer que ceux-là), il fait bon revenir sur Terre et reprendre le volant d'une petite voiture abordable. Une Toyota Echo, par exemple.
Cela veut dire : pas de dispositifs sophistiqués de sécurité active (ABS, antipatinage, antipatinage et tutti quanti), pas d'accessoires de luxe de toutes sortes, pas de chaîne stéréo haute-fidélité... Imaginez, il n'y avait même pas de vitres électriques sur l'Echo mise à notre disposition ! En toute franchise, je ne me rappelais pas la dernière fois où j'avais dû baisser ma vitre manuellement... (Non, je ne me suis pas fait mal. Et gardez vos sarcasmes pour vous, OK?)
Plus pour moins cher
Trois ans après son introduction, l'Echo vient de recevoir ses premières modifications, d'ordre esthétique pour la plupart. Cela comprend une calandre redessinée, de nouveaux pare-chocs intégrés et des feux arrière aux formes arrondies. Rien, hélas, qui ne parvienne à la rendre plus jolie. Pour ça, il faudrait une refonte complète ! L'arrivée imminente de la version bicorps (hatchback), beaucoup plus réussie, devrait cependant amadouer certains acheteurs potentiels, traumatisés par le physique ingrat de cette petite berline.
Actuellement, le gros des nouveautés se fait dans le segment des camions, des coupés sport et des berlines de luxe. Pourtant, ce n'est pas une raison pour négliger le coeur du marché au Québec: les petites voitures.
Nous faisons un métier formidable. Qui ça, nous? Les chroniqueurs automobiles, bien sûr. Jugez plutôt : nous changeons de véhicule chaque semaine; ce que nous essayons est toujours neuf (ou presque) et plus souvent qu'autrement, nous n'aurions même pas les moyens de payer ce que nous conduisons !
L'envers de la médaille, c'est qu'il est facile de perdre contact avec la réalité. Après quelques semaines consécutives au volant de véhicules ayant pour nom Porsche, BMW, Lexus ou Jaguar (pour ne nommer que ceux-là), il fait bon revenir sur Terre et reprendre le volant d'une petite voiture abordable. Une Toyota Echo, par exemple.
Cela veut dire : pas de dispositifs sophistiqués de sécurité active (ABS, antipatinage, antipatinage et tutti quanti), pas d'accessoires de luxe de toutes sortes, pas de chaîne stéréo haute-fidélité... Imaginez, il n'y avait même pas de vitres électriques sur l'Echo mise à notre disposition ! En toute franchise, je ne me rappelais pas la dernière fois où j'avais dû baisser ma vitre manuellement... (Non, je ne me suis pas fait mal. Et gardez vos sarcasmes pour vous, OK?)
Plus pour moins cher
Trois ans après son introduction, l'Echo vient de recevoir ses premières modifications, d'ordre esthétique pour la plupart. Cela comprend une calandre redessinée, de nouveaux pare-chocs intégrés et des feux arrière aux formes arrondies. Rien, hélas, qui ne parvienne à la rendre plus jolie. Pour ça, il faudrait une refonte complète ! L'arrivée imminente de la version bicorps (hatchback), beaucoup plus réussie, devrait cependant amadouer certains acheteurs potentiels, traumatisés par le physique ingrat de cette petite berline.