Malgré le retour du nom Rabbit, Volkswagen n'essaie pas de nous passer un lapin. En réalité, cette voiture s'inscrit dans la continuité du modèle qu'elle remplace, la Golf. Il est important de ne pas se méprendre : certains diront que la Golf n'est pas morte, qu'elle est ressuscitée dans la carrosserie d'une Golf City. Dans les faits, l'important, c'est que la Golf City, s'apparente à l'ancienne génération, et que la Rabbit est la vraie compacte de la gamme Volkswagen.
L'affiliation avec les générations précédentes est très forte; on reconnaît immédiatement le lien entre l'ancienne Golf et la Rabbit. Il s'agit, ni plus ni moins, que d'une sage évolution. Tous les éléments visuels de Volkswagen sont présents à l'exception de la calandre de chrome réservée à la Jetta. Cette dernière partage d'ailleurs avec la Rabbit tout ce qu'on trouve à l'avant du pilier B, l'intérieur compris. Le style général est sobre mais efficace et se fera une place enviable dans le temps en vieillissant bien. La finition extérieure est exempte de défaut.
L'intérieur est très bien exécuté avec le souci du détail afin de marier les textures et offrir une qualité d'assemblage de première classe à la germanique. L'instrumentation est, comme c'est le cas depuis quelques années, d'un bleu électrique très facile à consulter. L'équipement est bien sans être abusif, et l'on retrouve les principales commandes d'une voiture de cette catégorie. L'ergonomie est simple et efficace sans être un modèle du genre.
Il faut accorder une mention honorable à la chaîne audio, nettement supérieure à ce qu'on trouve du côté de la concurrence. Le changeur du tableau de bord reçoit 6 CD et peut lire les fichiers MP3. Le son est distribué via 10 haut-parleurs. C'est, somme toute, impressionnant considérant le gabarit de la Rabbit.
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| La Rabbit s'inscrit dans la continuité du modèle qu'elle remplace, la Golf. |
L'affiliation avec les générations précédentes est très forte; on reconnaît immédiatement le lien entre l'ancienne Golf et la Rabbit. Il s'agit, ni plus ni moins, que d'une sage évolution. Tous les éléments visuels de Volkswagen sont présents à l'exception de la calandre de chrome réservée à la Jetta. Cette dernière partage d'ailleurs avec la Rabbit tout ce qu'on trouve à l'avant du pilier B, l'intérieur compris. Le style général est sobre mais efficace et se fera une place enviable dans le temps en vieillissant bien. La finition extérieure est exempte de défaut.
L'intérieur est très bien exécuté avec le souci du détail afin de marier les textures et offrir une qualité d'assemblage de première classe à la germanique. L'instrumentation est, comme c'est le cas depuis quelques années, d'un bleu électrique très facile à consulter. L'équipement est bien sans être abusif, et l'on retrouve les principales commandes d'une voiture de cette catégorie. L'ergonomie est simple et efficace sans être un modèle du genre.
Il faut accorder une mention honorable à la chaîne audio, nettement supérieure à ce qu'on trouve du côté de la concurrence. Le changeur du tableau de bord reçoit 6 CD et peut lire les fichiers MP3. Le son est distribué via 10 haut-parleurs. C'est, somme toute, impressionnant considérant le gabarit de la Rabbit.
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| Le changeur du tableau de bord reçoit 6 CD et peut lire les fichiers MP3. |