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Toyota RAV4 2019 : quatre raisons de l’aimer

| Photo : Toyota
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Vincent Aubé
Un modèle qui mène le bal pour Toyota au niveau des ventes, aux États-Unis comme au Canada

Le Toyota RAV4 est devenu un incontournable au fil du temps. Les ventes de l’utilitaire compact n’ont cessé de croître en Amérique du Nord et, depuis l’arrivée du modèle 2019 qui profite d’une gamme plus garnie que jamais, le RAV4 arrive comme un rouleau compresseur sur le segment le plus important de l’industrie automobile nord-américaine en 2019.

Lire notre premier essai du RAV4 2019 - Lire notre essai comparitif des Toyota RAV4 2019 et Mazda CX-5 2019

Fiche technique du Toyota RAV4 2019

Avant de vous précipiter dans une concession canadienne de Toyota pour acheter le plus récent modèle, prenez le temps de prendre en considération quelques faits saillants du Toyota RAV4 2019, ne serait-ce que pour vous faire une meilleure idée ou simplement d’impressionner le vendeur avec vos connaissances accrues.

1. Un agrément de conduite en hausse

Le géant nippon en a fait l’une de ses priorités, soit celle de rehausser le plaisir de conduite à bord de ses véhicules. La nouvelle Supra 2020 va d’ailleurs jouer le rôle de porte-étendard sur ce front. Le nouveau RAV4, quant à lui, s’inscrit également dans cette veine. Sans affirmer que la nouvelle variante possède des atouts pour supplanter un Mazda CX-5 par exemple – d’ailleurs mon collègue Benoit Charette l’a très bien expliqué dans son match comparatif entre ces deux modèles –, le Toyota RAV4 2019 est définitivement plus plaisant à conduire que le modèle sortant, surtout à cause d’une direction plus précise que par le passé.

La nouvelle plateforme TNGA (pour Toyota New Global Architecture) ajoute un brin de rigidité à l’ensemble, tandis que les deux mécaniques disponibles (essence ou hybride) sont plus puissantes que par le passé, sans pénaliser la consommation de carburant. Mieux encore, la RAV4 Hybride est le plus dynamique des deux avec 219 chevaux-vapeur sous le pied droit, contre 203 pour le modèle régulier.

La boîte automatique à huit rapports accomplit elle aussi du beau travail avec le 4-cylindres de 2,5-litres, tandis que l’unité CVT fait changer haut et fort la mécanique lors des fortes accélérations, mais n’oublions pas sa mission première qui est de réduire les visites à la station-service.

| Photo : Toyota
Vincent Aubé
Vincent Aubé
Expert automobile
  • Plus de 17 ans d'expérience en tant que journaliste automobile
  • Plus de 60 essais réalisés au cours de la dernière année
  • Participation à plus de 200 lancements de nouveaux véhicules en carrière en présence des spécialistes techniques de la marque