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Chevrolet Orlando 2012 : premières impressions

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Le meilleur taux d'intérêt
Justin Pritchard
Dérivée de la Cruze, l'Orlando surprend par son raffinement
Muskoka, Ontario –Kia Rondo, Scion xB et Mazda5, attention : Chevrolet s’apprête à couper l’herbe sous vos roues. Grâce au prix de l’essence en folie, aux conditions changeantes du marché et aux acheteurs de plus en plus futés, les ventes de petits utilitaires, de voitures compactes et de petites familiales commencent vraiment à décoller au Canada. Tout comme les ventes de véhicules tombant plus ou moins entre ces catégories.

Forte de trois rangées de sièges de série et d’un catalogue de versions uniquement à injection directe et à six rapports, la Chevrolet Orlando 2012 se prépare à débarquer chez nous. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com)

Dans le cadre d’une offensive musclée d’ingénierie et de création de produits, Chevrolet s’apprête à prendre le virage. Forte de trois rangées de sièges de série, d’un catalogue de versions uniquement à injection directe et à six rapports et d’un nom synonyme de vacances en famille, la Chevrolet Orlando 2012 se prépare à débarquer chez nous. Avec ce modèle construit en Corée et destiné exclusivement au Canada, Chevrolet se rapproche le plus à une fourgonnette depuis la Venture, larguée il y a plusieurs années au profit des utilitaires compactes.

Mais l’Orlando n’a pas de portières coulissantes. Et n’est pas vraiment grosse. Pas de bacs de rangement dans le plancher, de V6 ni de hayon électrique non plus. On peut même commander une boîte manuelle à six rapports. À l’inverse des « grandes » fourgonnettes traditionnelles, l’Orlando se concentre sur une dynamique de conduite de modèle compacte, une faible consommation et une taille idéale pour la ville.

Et les chiffres?

Toutes les versions héritent de 5 portières, de 3 rangées de sièges et d’un 4-cylindres de 2,4 litres à injection directe muni de 16 soupapes à commande variable et développant 174 chevaux.

L’Orlando est construite sur la plateforme internationale Delta de GM, la même que la Cruze. Une très bonne chose. Comme la Cruze, l’Orlando propose une expérience tout en douceur et étonnamment silencieuse, un sentiment de robustesse, une bonne maniabilité et une suspension bien exécutée.

Les modèles de base s’avèrent plus silencieux que la normale, et leur suspension dégage une impression de grande qualité. Les versions haut de gamme avec leurs grosses jantes et leurs réglages peaufinés semblent plus sportives, plus nerveuses et plus emballantes qu’il le faut. On distingue nettement la différence.

Toutes les versions héritent d’un 4-cylindres de 2,4 litres à injection directe muni de 16 soupapes à commande variable et développant 174 chevaux. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com)
Justin Pritchard
Justin Pritchard
Expert automobile
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