Puissance turbo
Il est intéressant — et un peu étrange — de voir qu’Acura choisisse un moteur turbocompressé à quatre cylindres pour alimenter son petit utilitaire mais pas ses berlines compactes comme la CSX et la TSX. Cette dernière mise plutôt sur un nouveau V6 pour injecter du piquant dans la performance.
Au lieu de se demander à quels autres endroits Acura devrait installer son fougueux moteur turbo, on devrait plutôt, comme je l’ai fait, se concentrer sur la puissance et le caractère explosif de celui-ci. Je dis «explosif» surtout en référence au fait que la pédale d’accélérateur se montre assez sensible, ce qui nous amène parfois à déchaîner plus de chevaux qu’on le souhaiterait en conduite normale.
Vous voulez des chiffres? Les voici : une puissance de 240 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 260 livres-pied à 4500 tours/minute. Impressionnant pour un moteur d’à peine 2,3 litres!
Avec pareil rendement, ce ne sont pas la stimulation et l’excitation qui manquent sur la route. Une fois passé le court décalage du turbocompresseur, le RDX s’élance avec l’entrain d’une voiture sport, le tout accompagné d’un souffle d’air à travers le refroidisseur intermédiaire du turbo.
Dommage que le moteur requière de l’essence super et qu’il consomme bien plus que les chiffres annoncés (11,7 L/100 km en ville et 8,7 L/100 km sur l’autoroute). En effet, l’ordinateur de bord de mon modèle d’essai indiquait une consommation urbaine variant entre 12,5 et 15,5 L/100 km.
Boîte à 5 rapports et SH-AWD
La puissance du RDX est d’abord gérée par une boîte automatique à cinq rapports avec contrôle logique de l'inclinaison, mode séquentiel SportShift et palettes au volant. Ensuite, elle passe sous la gouverne du réputé système toutes roues motrices à super maniabilité (SH-AWD) d’Acura.
Ce dernier optimise la tenue de route du RDX en diffusant automatiquement une variation du couple à la roue arrière extérieure en virage, ce qui se traduit par une stabilité et un contrôle supérieurs.
Conduite inspirée
Voici un défi : prenez un VUS ou multisegments ordinaire et attaquez une route sinueuse. Puis, faites de même avec le RDX. À moins que le premier véhicule soit un BMW X3, vous devriez constater une énorme différence en termes de maniabilité et de tenue de route.
Bon, évidemment, vous n’allez pas essayer de comparer tous les modèles de la catégorie. Cependant, vous devez me croire sur parole quand je dis que le RDX fait preuve d’une agilité exceptionnelle et qu’il offre une conduite remarquable pour un utilitaire multisegments.
Il est intéressant — et un peu étrange — de voir qu’Acura choisisse un moteur turbocompressé à quatre cylindres pour alimenter son petit utilitaire mais pas ses berlines compactes comme la CSX et la TSX. Cette dernière mise plutôt sur un nouveau V6 pour injecter du piquant dans la performance.
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| Une fois passé le court décalage du turbocompresseur, le RDX s’élance avec l’entrain d’une voiture sport. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Au lieu de se demander à quels autres endroits Acura devrait installer son fougueux moteur turbo, on devrait plutôt, comme je l’ai fait, se concentrer sur la puissance et le caractère explosif de celui-ci. Je dis «explosif» surtout en référence au fait que la pédale d’accélérateur se montre assez sensible, ce qui nous amène parfois à déchaîner plus de chevaux qu’on le souhaiterait en conduite normale.
Vous voulez des chiffres? Les voici : une puissance de 240 chevaux à 6000 tours/minute et un couple de 260 livres-pied à 4500 tours/minute. Impressionnant pour un moteur d’à peine 2,3 litres!
Avec pareil rendement, ce ne sont pas la stimulation et l’excitation qui manquent sur la route. Une fois passé le court décalage du turbocompresseur, le RDX s’élance avec l’entrain d’une voiture sport, le tout accompagné d’un souffle d’air à travers le refroidisseur intermédiaire du turbo.
Dommage que le moteur requière de l’essence super et qu’il consomme bien plus que les chiffres annoncés (11,7 L/100 km en ville et 8,7 L/100 km sur l’autoroute). En effet, l’ordinateur de bord de mon modèle d’essai indiquait une consommation urbaine variant entre 12,5 et 15,5 L/100 km.
Boîte à 5 rapports et SH-AWD
La puissance du RDX est d’abord gérée par une boîte automatique à cinq rapports avec contrôle logique de l'inclinaison, mode séquentiel SportShift et palettes au volant. Ensuite, elle passe sous la gouverne du réputé système toutes roues motrices à super maniabilité (SH-AWD) d’Acura.
Ce dernier optimise la tenue de route du RDX en diffusant automatiquement une variation du couple à la roue arrière extérieure en virage, ce qui se traduit par une stabilité et un contrôle supérieurs.
Conduite inspirée
Voici un défi : prenez un VUS ou multisegments ordinaire et attaquez une route sinueuse. Puis, faites de même avec le RDX. À moins que le premier véhicule soit un BMW X3, vous devriez constater une énorme différence en termes de maniabilité et de tenue de route.
Bon, évidemment, vous n’allez pas essayer de comparer tous les modèles de la catégorie. Cependant, vous devez me croire sur parole quand je dis que le RDX fait preuve d’une agilité exceptionnelle et qu’il offre une conduite remarquable pour un utilitaire multisegments.
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| Vendu au PDSF de 39 990 $, l’Acura RDX 2010 se veut très agréable à conduire. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |