Un V6 puissant et raffiné qui redéfinit le modèle
D’une cylindrée de 3,5 litres, le V6 à SACT optionnel crache 280 chevaux à 6 200 tours et 254 pi-lb de couple à 5 000 tours. Des chiffres vigoureux pour une berline si menue et légère, qui transforment la TSX ordinairement animée en vraie petite bombe.
Encore mieux, ce moteur macho s’exécute avec un délicieux raffinement. Il fait preuve d’une douceur suave lorsqu’on le laisse à lui-même, mais pousse un profond grondement distingué quand on le sollicite activement.
Il met une abondance de couple à notre disposition à pas mal toute vitesse, une qualité admirable du V6 par rapport au 2,4-litres qui anime habituellement la TSX. Les deux moteurs font équipe avec une boîte automatique à cinq rapports, qu’on peut commander à l’aide de palettes au volant.
Dotée d’un mode sport, elle fonctionne impeccablement… mais il ne s’agit pas d’une boîte à double embrayage sophistiquée, et ses cinq rapports font un peu vieux jeu quand on la compare aux trucs à six et sept vitesses des autres produits de luxe sur le marché.
Or, ce n’est pas le nombre limité d’engrenages qui m’a causé le plus d’ennui, mais bien l’effet de couple qui se faisait sentir quand j’éperonnais la bête. La TSX est une berline strictement à traction : aucune possibilité de chasser le diable en optant pour une transmission intégrale.
Notez, toutefois, que ce diable ne rime pas du tout avec enfer. En effet, on peut facilement atténuer les symptômes lorsqu’on s’y attend et s’y prépare. Et de toute façon, les autres superbes qualités de cette TSX à V6 compensent amplement.
Une expérience agréable et inspirante
Mettons la question de l’effet de couple de côté pour l’instant, le temps que je vous parle de la suspension et la tenue de route. Pas facile de trouver un équilibre entre les deux, surtout quand le véhicule ne compte pas sur une suspension programmable qui nous propose différents réglages.
Malgré l’absence d’options, Acura a réussi à peaufiner les entrailles de la TSX afin de nous offrir le meilleur des deux mondes. Cette berline compacte offre une expérience nettement posée, où le conducteur se sent connecté à la route et non puni par elle.
D’une cylindrée de 3,5 litres, le V6 à SACT optionnel crache 280 chevaux à 6 200 tours et 254 pi-lb de couple à 5 000 tours. Des chiffres vigoureux pour une berline si menue et légère, qui transforment la TSX ordinairement animée en vraie petite bombe.
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| D’une cylindrée de 3,5 litres, le V6 à SACT optionnel crache 280 chevaux à 6 200 tours et 254 pi-lb de couple à 5 000 tours. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |
Encore mieux, ce moteur macho s’exécute avec un délicieux raffinement. Il fait preuve d’une douceur suave lorsqu’on le laisse à lui-même, mais pousse un profond grondement distingué quand on le sollicite activement.
Il met une abondance de couple à notre disposition à pas mal toute vitesse, une qualité admirable du V6 par rapport au 2,4-litres qui anime habituellement la TSX. Les deux moteurs font équipe avec une boîte automatique à cinq rapports, qu’on peut commander à l’aide de palettes au volant.
Dotée d’un mode sport, elle fonctionne impeccablement… mais il ne s’agit pas d’une boîte à double embrayage sophistiquée, et ses cinq rapports font un peu vieux jeu quand on la compare aux trucs à six et sept vitesses des autres produits de luxe sur le marché.
Or, ce n’est pas le nombre limité d’engrenages qui m’a causé le plus d’ennui, mais bien l’effet de couple qui se faisait sentir quand j’éperonnais la bête. La TSX est une berline strictement à traction : aucune possibilité de chasser le diable en optant pour une transmission intégrale.
Notez, toutefois, que ce diable ne rime pas du tout avec enfer. En effet, on peut facilement atténuer les symptômes lorsqu’on s’y attend et s’y prépare. Et de toute façon, les autres superbes qualités de cette TSX à V6 compensent amplement.
Une expérience agréable et inspirante
Mettons la question de l’effet de couple de côté pour l’instant, le temps que je vous parle de la suspension et la tenue de route. Pas facile de trouver un équilibre entre les deux, surtout quand le véhicule ne compte pas sur une suspension programmable qui nous propose différents réglages.
Malgré l’absence d’options, Acura a réussi à peaufiner les entrailles de la TSX afin de nous offrir le meilleur des deux mondes. Cette berline compacte offre une expérience nettement posée, où le conducteur se sent connecté à la route et non puni par elle.
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| La TSX V6 Technologie offre beaucoup de belles choses tout en livrant une dynamique de conduite gratifiante. (Photo: Rob Rothwell/Auto123.com) |