Une danse en ligne... à six!
La BMW 128i 2008 exploite l'un des réputés moteurs à six cylindres en ligne de BMW. Ici, on parle d'un moteur de 3,0 litres qui achemine en douceur ses 220 chevaux aux roues arrière. Le tout s'accompagne d'un énorme couple à bas régime et d'une belle frénésie lorsque l'aiguille du tachymètre se rapproche des 7000 tours/minute. Je ne pourrais dire que la voiture explose à partir d'un certain point, car les accélérations m'ont toujours paru très fluides et progressives.
Bien sûr, il faut ajouter les qualificatifs «fringantes» et «divertissantes». Quand on pousse à fond, le moteur se comporte de manière superbe, bien que certains risquent de le trouver un peu bruyant en raison du double échappement. Ce dernier semble avoir été conçu pour plaire davantage aux jeunes conducteurs -- du moins, plus jeunes que la clientèle moyenne de BMW.
Avant de l'oublier, je dois préciser que la consommation d'essence lors de mon essai routier a été d'environ 10 litres aux 100 kilomètres en ville et de 8 L/100 km sur l'autoroute.
La voiture que j'ai testée misait sur la boîte semi-automatique à six rapports que la compagnie offre en option avec la Série 1. En accélération, elle enchaîne les rapports de façon quasi imperceptible; lors des rétrogradations, elle coordonne brillamment le régime du moteur avec le rapport choisi. BMW a même inclus un réglage «Sport» qui autorise des passages plus agressifs et rend l'accélérateur plus sensible. Ce n'est pas une boîte manuelle, certes, mais les ingénieurs se sont clairement efforcés pour que cette automatique soit presque aussi amusante.
Nul doute que la puissance offerte par la 128i vous plaira. Toutefois, si vous en voulez plus, sachez que la version haut de gamme 135i renferme un moteur biturbo de 300 chevaux. Bref, si vous avez toujours rêvé de conduire une vraie petite bombe, voilà votre chance.
Comportement routier équilibré
Dans mon cas, la voiture reposait sur des jantes de 17 pouces enveloppées de pneus à affaissement limité et reliées à une suspension entièrement indépendante avec jambes de force bi-articulées à l'avant et configuration à cinq bras à l'arrière.
La BMW 128i 2008 exploite l'un des réputés moteurs à six cylindres en ligne de BMW. Ici, on parle d'un moteur de 3,0 litres qui achemine en douceur ses 220 chevaux aux roues arrière. Le tout s'accompagne d'un énorme couple à bas régime et d'une belle frénésie lorsque l'aiguille du tachymètre se rapproche des 7000 tours/minute. Je ne pourrais dire que la voiture explose à partir d'un certain point, car les accélérations m'ont toujours paru très fluides et progressives.
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Bien sûr, il faut ajouter les qualificatifs «fringantes» et «divertissantes». Quand on pousse à fond, le moteur se comporte de manière superbe, bien que certains risquent de le trouver un peu bruyant en raison du double échappement. Ce dernier semble avoir été conçu pour plaire davantage aux jeunes conducteurs -- du moins, plus jeunes que la clientèle moyenne de BMW.
Avant de l'oublier, je dois préciser que la consommation d'essence lors de mon essai routier a été d'environ 10 litres aux 100 kilomètres en ville et de 8 L/100 km sur l'autoroute.
La voiture que j'ai testée misait sur la boîte semi-automatique à six rapports que la compagnie offre en option avec la Série 1. En accélération, elle enchaîne les rapports de façon quasi imperceptible; lors des rétrogradations, elle coordonne brillamment le régime du moteur avec le rapport choisi. BMW a même inclus un réglage «Sport» qui autorise des passages plus agressifs et rend l'accélérateur plus sensible. Ce n'est pas une boîte manuelle, certes, mais les ingénieurs se sont clairement efforcés pour que cette automatique soit presque aussi amusante.
Nul doute que la puissance offerte par la 128i vous plaira. Toutefois, si vous en voulez plus, sachez que la version haut de gamme 135i renferme un moteur biturbo de 300 chevaux. Bref, si vous avez toujours rêvé de conduire une vraie petite bombe, voilà votre chance.
Comportement routier équilibré
Dans mon cas, la voiture reposait sur des jantes de 17 pouces enveloppées de pneus à affaissement limité et reliées à une suspension entièrement indépendante avec jambes de force bi-articulées à l'avant et configuration à cinq bras à l'arrière.
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| La voiture reposait sur des jantes de 17 pouces enveloppées de pneus à affaissement limité. |