À l'avant, votre chauffeur se régalera du groupe d'instruments ALPINA exclusif, du volant chauffant et de la flopée de commandes, de caméras et de dispositifs d'assistance à base de radar inclus au nom de la sécurité. Non négligeables dans une voiture qui peut filer à 310 km/h...
Crime, il y a même un bouton pour choisir entre quatre modes de conduite, allant de confortable à prêt pour la piste, modifiant les réglages de la suspension, la boîte de vitesses, la direction et du moteur en temps réel.
Gadgets de calibre international
Vous vous demandez si la B7 offre telle ou telle commodité? La réponse est : oui.
Des caméras de recul arrière et latérales? Bien sûr. Des sièges massants? Ô que si. L'affichage tête haute? Mais encore. Un régulateur de vitesse à base de radar avec un mode arrêt/départ pour conduire sans pédales à l'heure de pointe? Oui monsieur.
Un système de vision nocturne? Ouep. Ce dernier s'est avéré bienvenu et très fonctionnel tard le soir dans mon patelin du nord de l'Ontario, où il a rapidement repéré piétons et bestioles avant que les phares de projection au xénon ne les captent. Assez cool, merci.
Au début, le nombre étourdissant de commandes, affichages et molettes intimide. Mais une fois qu'il les a apprivoisés, le conducteur accède aisément à plus d'une douzaine de fonctions qui épateront ses heureux passagers.
Un spa de luxe gonflé à bloc
Évidemment, en tant que Série 7, tout semble excessivement somptueux et substantiel à l'intérieur. Pas l'ombre d'un plastique bon marché ou d'un bouton délicat en vue, et le confort, le silence et le degré de luxe sont tous de calibre mondial.
Le hic, c'est que même à 120 km/h ou plus, la B7 ne donne jamais l'impression qu'elle travaille. Vous voudrez donner plus de gaz, accélérer un peu ou entendre quelque bruit satisfaisant du vent ou de la route. Il n'y pratiquement aucun signe perceptible que la B7 file à toute allure... jusqu'à ce qu'on excède de loin la limite permise.
Et grâce au V8 de 4,4 litres signé BMW, on l'excède assez vite, merci! Deux turbocompresseurs munis des postrefroidisseurs liquide-air bourrent les cylindres d'air frais et d'essence à indice d'octane élevé sur demande.
La version ordinaire de ce moteur produit 400 chevaux. Dans la B7, il en crache 500. Et même s'il est aussi gros qu'un Walmart, ce yacht terrestre ne pèse pas tant que ça, et il fonce tête baissée. Pourtant, il ne consomme en moyenne que 12,6 L/100 km.
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| Pas l'ombre d'un plastique bon marché ou d'un bouton délicat en vue, et le confort, le silence et le degré de luxe sont tous de calibre mondial. (Photo: Justin Pritchard/Auto123.com) |
Crime, il y a même un bouton pour choisir entre quatre modes de conduite, allant de confortable à prêt pour la piste, modifiant les réglages de la suspension, la boîte de vitesses, la direction et du moteur en temps réel.
Gadgets de calibre international
Vous vous demandez si la B7 offre telle ou telle commodité? La réponse est : oui.
Des caméras de recul arrière et latérales? Bien sûr. Des sièges massants? Ô que si. L'affichage tête haute? Mais encore. Un régulateur de vitesse à base de radar avec un mode arrêt/départ pour conduire sans pédales à l'heure de pointe? Oui monsieur.
Un système de vision nocturne? Ouep. Ce dernier s'est avéré bienvenu et très fonctionnel tard le soir dans mon patelin du nord de l'Ontario, où il a rapidement repéré piétons et bestioles avant que les phares de projection au xénon ne les captent. Assez cool, merci.
Au début, le nombre étourdissant de commandes, affichages et molettes intimide. Mais une fois qu'il les a apprivoisés, le conducteur accède aisément à plus d'une douzaine de fonctions qui épateront ses heureux passagers.
Un spa de luxe gonflé à bloc
Évidemment, en tant que Série 7, tout semble excessivement somptueux et substantiel à l'intérieur. Pas l'ombre d'un plastique bon marché ou d'un bouton délicat en vue, et le confort, le silence et le degré de luxe sont tous de calibre mondial.
Le hic, c'est que même à 120 km/h ou plus, la B7 ne donne jamais l'impression qu'elle travaille. Vous voudrez donner plus de gaz, accélérer un peu ou entendre quelque bruit satisfaisant du vent ou de la route. Il n'y pratiquement aucun signe perceptible que la B7 file à toute allure... jusqu'à ce qu'on excède de loin la limite permise.
Et grâce au V8 de 4,4 litres signé BMW, on l'excède assez vite, merci! Deux turbocompresseurs munis des postrefroidisseurs liquide-air bourrent les cylindres d'air frais et d'essence à indice d'octane élevé sur demande.
La version ordinaire de ce moteur produit 400 chevaux. Dans la B7, il en crache 500. Et même s'il est aussi gros qu'un Walmart, ce yacht terrestre ne pèse pas tant que ça, et il fonce tête baissée. Pourtant, il ne consomme en moyenne que 12,6 L/100 km.
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| La version ordinaire de ce moteur produit 400 chevaux. Dans la B7, il en crache 500. (Photo: BMW) |