La renaissance de Buick, ou sa cure de jouvence, a plus ou moins débuté avec l’introduction du multisegments intermédiaire Enclave. Ne l’appelez pas VUS, parce qu’il n’en est pas un—le terme VUS s’associe maintenant socialement à des mammouths énergivores et maladroits dont la popularité a chuté presque aussi radicalement que celle de Mel Gibson.
Donc, c’est un multisegments, et un bon multisegments en plus. Partageant la même mécanique que les autres modèles assemblés sur la plateforme Lambda, les Chevrolet Traverse, GMC Acadia et feu Saturn Outlook, l’Enclave est le plus luxueux du groupe.
Afin de l’épargner davantage de critiques environnementales négatives, on peut se le procurer seulement avec un moteur V6. D’une cylindrée de 3,6 litres et développant 288 chevaux ainsi qu’un couple de 270 livres-pied, il aide l’Enclave à boucler le 0-100 km/h en 8,3 secondes, pas si mal pour un camion de 2 268 kilos (5 000 livres).
Même jumelé à une boîte automatique à 6 rapports, le V6 de l’Enclave n’est pas tellement écoénergétique. Notre moyenne se chiffre à 14,2 L/100 km durant l’essai, mais à vrai dire ça ne nous étonne pas. Sa cote de 9,0 L/100 km sur l’autoroute semble plutôt optimiste.
Le gros Buick peut remorquer jusqu’à 2 041 kilos ou 4 500 livres. Bon, vous vous demandez probablement à ce stade-ci : « Pourquoi n’ont-ils pas simplement mis un V8 là-dedans? » Pas une mauvaise idée, sauf que le V6 suffit amplement. Encore là, l’économie d’essence avec le V8 de 5,3 litres de GM, muni de la désactivation de cylindres, ne serait pas vraiment plus ivrogne que le V6, et la capacité de remorquage serait plus élevée. Tant pis.
L’Enclave se montre peut-être rapide en ligne droite, pourtant les freinages de 100 à 0 km/h nécessitent beaucoup de bitume : il devrait faire mieux qu’une performance de 62 mètres. Laissez-faire le V8, puisque des freins plus efficaces constitueraient une amélioration plus importante.
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| L’Enclave est un multisegments compétent avec du style, de l’espace à revendre et beaucoup d’équipement. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |
Donc, c’est un multisegments, et un bon multisegments en plus. Partageant la même mécanique que les autres modèles assemblés sur la plateforme Lambda, les Chevrolet Traverse, GMC Acadia et feu Saturn Outlook, l’Enclave est le plus luxueux du groupe.
Afin de l’épargner davantage de critiques environnementales négatives, on peut se le procurer seulement avec un moteur V6. D’une cylindrée de 3,6 litres et développant 288 chevaux ainsi qu’un couple de 270 livres-pied, il aide l’Enclave à boucler le 0-100 km/h en 8,3 secondes, pas si mal pour un camion de 2 268 kilos (5 000 livres).
Même jumelé à une boîte automatique à 6 rapports, le V6 de l’Enclave n’est pas tellement écoénergétique. Notre moyenne se chiffre à 14,2 L/100 km durant l’essai, mais à vrai dire ça ne nous étonne pas. Sa cote de 9,0 L/100 km sur l’autoroute semble plutôt optimiste.
Le gros Buick peut remorquer jusqu’à 2 041 kilos ou 4 500 livres. Bon, vous vous demandez probablement à ce stade-ci : « Pourquoi n’ont-ils pas simplement mis un V8 là-dedans? » Pas une mauvaise idée, sauf que le V6 suffit amplement. Encore là, l’économie d’essence avec le V8 de 5,3 litres de GM, muni de la désactivation de cylindres, ne serait pas vraiment plus ivrogne que le V6, et la capacité de remorquage serait plus élevée. Tant pis.
L’Enclave se montre peut-être rapide en ligne droite, pourtant les freinages de 100 à 0 km/h nécessitent beaucoup de bitume : il devrait faire mieux qu’une performance de 62 mètres. Laissez-faire le V8, puisque des freins plus efficaces constitueraient une amélioration plus importante.
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| L’Enclave profiterait de freins plus puissants. (Photo: Matthieu Lambert/Auto123.com) |