Le même commentaire s'applique d'ailleurs à la troisième banquette (dont le confort et l'accessibilité sont plutôt symboliques), entièrement dissimulée dans le plancher et qu'un système électrique offert en option permet de déployer. Encore une fois, il faut s'y prendre plusieurs minutes d'avance tellement le système est peu rapide. Autrement, avec cette banquette rabattue, le SRX dispose d'un bon espace de chargement d'accès facile par un hayon arrière vaste et suffisamment bas et large.
Puissance au rendez-vous
C'est cependant derrière le volant que le SRX est le plus impressionnant. Il faut dire que notre modèle d'essai était équipé du moteur V8 Northstar de 4,6 litres d'une puissance inépuisable. Comme tous les Northstar, cependant, il a la fâcheuse habitude d'être passablement gourmand, ce qui n'est pas peu dire avec un véhicule de cette dimension.
En revanche, les amateurs de performances seront servis car, peu importe le régime et la vigueur de la sollicitation, ce gros engin, dont la réputation n'est plus à faire, répondra toujours avec efficacité, souplesse et un surprenant dynamisme. Même si, parfois, il a tendance à ronronner un peu fort, ce qui rend la conduite un peu moins agréable.
La boîte de vitesses automatique à 5 rapports qui équipait notre modèle d'essai répondait bien à la commande, et j'ai trouvé un peu inutile le système qui permet de l'utiliser comme une boîte séquentielle. Elle est douce et agréable sans avoir besoin de notre aide.
Par contre, on ne peut en dire autant de la direction assistée électroniquement qui peut sembler un peu lourde, mais qui favorise une étonnante maniabilité pour un véhicule de cette taille. Elle permet de placer le véhicule dans une trajectoire précise au millimètre près, et en utilisant intelligemment le système d'antipatinage, de se rendre aux limites de l'adhérence. Étonnant pour ce genre de véhicule.
Grand défaut cependant, la visibilité arrière est plutôt difficile. L'appuie-tête central vient se loger au beau milieu du champ de vision, empêchant un accès facile à l'arrière. Bien petit défaut pour un véhicule si bien monté.
Bien qu'il soit un peu cher, le SRX devrait se faire une niche dans le secteur controversé des véhicules multisegments. Le design, les performances et la réputation Cadillac sont certainement au rendez-vous.
Tenue de route
Moteur souple et puissant
Grande polyvalence d'utilisation
Toit ouvrant trop lent
Silhouette exclusive
Moteur bruyant à haut régime
Visibilité arrière
photo:Bertrand Godin
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| Bien que très efficace, la motorisation du SRX est loin d'être frugale. |
Puissance au rendez-vous
C'est cependant derrière le volant que le SRX est le plus impressionnant. Il faut dire que notre modèle d'essai était équipé du moteur V8 Northstar de 4,6 litres d'une puissance inépuisable. Comme tous les Northstar, cependant, il a la fâcheuse habitude d'être passablement gourmand, ce qui n'est pas peu dire avec un véhicule de cette dimension.
En revanche, les amateurs de performances seront servis car, peu importe le régime et la vigueur de la sollicitation, ce gros engin, dont la réputation n'est plus à faire, répondra toujours avec efficacité, souplesse et un surprenant dynamisme. Même si, parfois, il a tendance à ronronner un peu fort, ce qui rend la conduite un peu moins agréable.
La boîte de vitesses automatique à 5 rapports qui équipait notre modèle d'essai répondait bien à la commande, et j'ai trouvé un peu inutile le système qui permet de l'utiliser comme une boîte séquentielle. Elle est douce et agréable sans avoir besoin de notre aide.
Par contre, on ne peut en dire autant de la direction assistée électroniquement qui peut sembler un peu lourde, mais qui favorise une étonnante maniabilité pour un véhicule de cette taille. Elle permet de placer le véhicule dans une trajectoire précise au millimètre près, et en utilisant intelligemment le système d'antipatinage, de se rendre aux limites de l'adhérence. Étonnant pour ce genre de véhicule.
Grand défaut cependant, la visibilité arrière est plutôt difficile. L'appuie-tête central vient se loger au beau milieu du champ de vision, empêchant un accès facile à l'arrière. Bien petit défaut pour un véhicule si bien monté.
Bien qu'il soit un peu cher, le SRX devrait se faire une niche dans le secteur controversé des véhicules multisegments. Le design, les performances et la réputation Cadillac sont certainement au rendez-vous.
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Moteur souple et puissant
Grande polyvalence d'utilisation
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Silhouette exclusive
Moteur bruyant à haut régime
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Visibilité arrière
photo:Bertrand Godin
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