Le Sénat américain devrait voter au cours des prochaines heures, sur la somme totale de 2 milliards de dollars supplémentaires à consentir au programme anticasse, baptisé familièrement Cash for clunkers.
Le premier budget consenti, un montant de 1 milliard de dollars US, s’est écoulé en quelques jours à peine, et pour poursuivre jusqu’au 1er novembre comme prévu, une somme supplémentaire était nécessaire.
La sénatrice du Michigan, Debbie Stabenow, en entrevue au réseau de télévision Bloomberg, a affirmé que cette somme serait la dernière octroyée par le gouvernement américain à ce programme, mais que l’investissement a affectivement porté les fruits souhaités.
« Cela va vraiment au cœur même de la demande. Cela aide les gens à acheter un article dont ils ont besoin, ça fait baisser les inventaires, et on oblige ainsi les manufacturiers à construire de nouvelles voitures, ce qui crée des emplois», a-t-elle expliqué.
Les sénateurs républicains ont tenté d’imposer sept amendements au nouveau projet de loi, mais le regroupement démocrate a refusé de les intégrer à l’actuelle étude. « Nous avons accepté certaines propositions, mais nous devons d’abord accepter la hausse », a conclu la sénatrice du Michigan.
photo:Jupiter images
Le premier budget consenti, un montant de 1 milliard de dollars US, s’est écoulé en quelques jours à peine, et pour poursuivre jusqu’au 1er novembre comme prévu, une somme supplémentaire était nécessaire.
La sénatrice du Michigan, Debbie Stabenow, en entrevue au réseau de télévision Bloomberg, a affirmé que cette somme serait la dernière octroyée par le gouvernement américain à ce programme, mais que l’investissement a affectivement porté les fruits souhaités.
« Cela va vraiment au cœur même de la demande. Cela aide les gens à acheter un article dont ils ont besoin, ça fait baisser les inventaires, et on oblige ainsi les manufacturiers à construire de nouvelles voitures, ce qui crée des emplois», a-t-elle expliqué.
Les sénateurs républicains ont tenté d’imposer sept amendements au nouveau projet de loi, mais le regroupement démocrate a refusé de les intégrer à l’actuelle étude. « Nous avons accepté certaines propositions, mais nous devons d’abord accepter la hausse », a conclu la sénatrice du Michigan.
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